Le 2 mars 2025, les gendarmes de Vertou, dans la banlieue de Nantes, étaient appelés pour une dispute conjugale. Les deux protagonistes s’enguirlandaient mais… sur le toit de l’immeuble ! A l’arrivée des militaires, la femme expliquait qu’elle avait été étranglée par son époux car elle refusait de lui laisser son téléphone portable. Quand celui-ci réussira à s’en emparer il refusera, à son tour, de le donner aux militaires.
L’époux en question, un Tunisien arrivé en France en 2011 avec un visa d’étudiant (pour des études qu’il a vite abandonnées) s’en était déjà pris à sa conjointe le vendredi d’avant au pied d’une discothèque où madame « sortait avec une amie ». Lui promettant mille morts et sévices anaux, le Tunisien avait fini par casser un rétroviseur du véhicule de la mère de ses enfants.
Il faut dire que madame avait déjà visiblement trompé monsieur « lors d’un séjour en Tunisie ». Celui-ci étant fort jaloux et peu prêteur, il n’avait pas apprécié la blague, même s’il ne se gêne pas pour entretenir également des aventures !
Placé sous contrôle judiciaire, le Tunisien, chauffeur de VTC de profession, était présenté au tribunal correctionnel de Nantes en milieu de semaine dernière. Au final, il écope de 4 mois de prison avec sursis (alors qu’il y avait des menaces de mort !), un stage de sensibilisation aux violences intra-familiales et une interdiction d’entrer en contact avec sa désormais ex-femme. Plus quelque argent à payer à celle-ci et à ses enfants.
Mais la condamnation ne sera pas inscrite sur le volet du casier judiciaire accessible aux employeurs afin qu’il ne perde pas son travail et il ne sera, bien entendu, pas expulsé vers son pays. Il serait dommage de se passer d’un si précieux « enrichissement ».
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