Bien que pratiquée dans la majorité des pays du globe, la remigration ou le retour forcé des immigrés en situation irrégulière, est souvent taxée de lubie d’extrême-droite par les médias du système. Un système qui prétend que l’invasion migratoire serait inéluctable, et que tout changement de cap serait impossible. Mais plusieurs réalités européennes affirment le contraire et invoque le manque de volonté politique. En Italie, une nouvelle réalité, visant à inscrire la question de la remigration au cœur des discussions au sein des hautes instances, a émergé.
Lors de la fête nationale de CasaPound, qui s’est déroulée du 4 au 7 septembre dernier, une nouvelle proposition de loi soutenue par les principales réalités de la droite radicale italienne comme Rete dei Patrioti, Brescia ai Bresciani et VFS a été présentée. L’objectif est de recueillir les 50 000 signatures nécessaires pour apporter la proposition de loi au Parlement. La collecte aura lieu à travers des stands dans les places d’Italie et en ligne.
«Avec cette initiative nous voulons donner une réponse concrète à un thème que la politique continue d’ignorer. La rémigration n’est pas un slogan mais un projet réel visant à replacer les Italiens au cœur de l’avenir de notre nation. En octobre, nous présenterons officiellement le comité « Remigration et reconquête » dans un événement ouvert à tous, parce que cette bataille doit devenir un patrimoine collectif ». Luca Marsella, porte-parole de CasaPound.
Le comité officiel coordonnera les activités et garantira un front commun. La proposition de loi s’articule en dix points, ici résumés :
1. Contrôle des flux migratoires
Renforcement du cadre réglementaire afin de distinguer avec plus de rigueur et de clarté les conditions de l’immigration légale et les conséquences de l’immigration illégale, par la définition de seuils d’entrée soutenables et l’introduction d’instruments efficaces pour neutraliser les effets déstabilisateurs de l’immigration incontrôlée. Révision du cadre du regroupement familial afin qu’il ne soit pas utilisé pour contourner les limites de l’immigration.2. Confiscation contre l’exploitation des immigrés
Renforcement des sanctions patrimoniales à l’encontre de ceux qui tirent profit illicitement de l’exploitation de l’immigration. Extension de l’institution de la confiscation, y compris sous forme préventive, aux entreprises, biens et patrimoines liés à des activités illégales liées au trafic d’êtres humains et à l’exploitation des travailleurs.3. Expulsion des clandestins et des délinquants
Investissements et introduction de nouvelles mesures opérationnelles visant à assurer l’exécution effective des mesures d’expulsion des immigrés en situation irrégulière. Expulsion obligatoire de tout étranger auteur de délits sur le territoire national. Introduction d’une interdiction de réadmission pour une période minimale de 10 ans.4. Département de la Rémigration
Introduction, dans le cadre d’une stratégie plus large de récupération de la souveraineté et de l’identité nationales, de l’institut de la rémigration comme instrument gouvernemental du phénomène migratoire visant à encourager le retour des étrangers dans leur pays d’origine.5. Pacte de remigration volontaire
Mise en place d’un accord entre l’État et le particulier permettant à l’étranger résidant légalement en Italie de recevoir une contribution financière pour son retour dans son pays d’origine en contrepartie de la renonciation définitive et irrévocable à tout droit de séjour et de citoyenneté en Italie.6. Fonds national pour la remigration
Les économies résultant de la réduction drastique des dépenses publiques consacrées à l’immigration seront entièrement affectées à un fonds destiné au financement des pactes de rémigration volontaire, des coûts logistiques et administratifs et de toutes les mesures liées à la politique de rémigration.7. Stop aux ONG du trafic migratoire
Cessation de toute forme de financement public, direct ou indirect, aux ONG, coopératives et associations qui facilitent l’immigration illégale. Renforcement des instruments de sanction et des activités de lutte contre le trafic d’êtres humains en Méditerranée.8. Abolition du Décret Flux et retour des italo-descendants
Suppression du système de programmation des flux migratoires pour des raisons économiques en provenance de pays hors UE afin de lutter contre l’exploitation de la main-d’œuvre étrangère à bas prix et restituer dignité aux travailleurs et centralité au travail italien. Incitations (allègements fiscaux, programmes d’insertion professionnelle et soutien à l’intégration) visant à stimuler le retour en Italie des descendants d’Italiens résidant à l’étranger.9. Fonds pour la natalité italienne
Création d’un fonds dédié exclusivement aux familles italiennes, dans le but de soutenir la natalité et de lutter contre le déclin démographique et la crise identitaire de la nation.10. Logements et crèches : nouveaux critères de priorité
Introduction de critères renouvelés qui, dans le respect de la Constitution, garantissent la priorité aux citoyens italiens dans l’accès aux logements publics et aux places dans les crèches, en valorisant des exigences telles que la résidence stable depuis au moins 12 mois et la continuité dans les paiements fiscaux et contributifs.
Comme on peut le constater, les points ci-dessus mentionnés ne sont ni révolutionnaires, ni inhumains. Il s’agit tout au plus de bon sens… si l’on veut que les peuples d’Europe continuent à exister.
Et de nous demander : les Italiens, les Français, les Anglais, les Suédois ont-ils le droit de vouloir rester majoritaires sur leur terre ? Ou ce dernier est-il réservé aux seuls peuples non-Blancs ?
Audrey D’Aguanno
Crédit photo : Casapound Italia
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