Le tribunal judiciaire de Paris a débouté LFI qui réclamait la « communication forcée » des « Complices du Mal » le livre-événement d’Omar Youssef Souleimane dont la sortie est programmée le 2 octobre.
Dans ce livre annoncé comme le fruit d’une enquête remarquable, l’écrivain franco-syrien révèle de possibles relations entre La France Insoumise et des figures et organisations islamistes.
LFI avait saisi en référé le tribunal judiciaire de Paris contre la maison d’édition Plon afin d’obtenir « la communication anticipée et forcée » d’un exemplaire pour pouvoir « examiner le contenu avant publication » dans le but de « préparer d’éventuelles actions en justice » du parti mélenchoniste.
Le juge des référés en a décidé autrement et entend préserver la liberté d’expression. De plus le juge estime que la question des liens entre LFI et des islamistes « est déjà largement exposé dans les médias et connue du public, atténuant le préjudice éventuel ». Il est vrai que la stratégie d’aller chercher les 600 000 voix qui lui manquent pour accéder au second tour de l’élection présidentielle « dans les quartier populaires » (lire : les quartchiers à forte concentration d’immigrés et de descendant d’immigrés) ne plaide pas en faveur de Jean-Luc Mélenchon.
Revers de médaille : LFI a été condamné à verser 1 500 € à la maison d’édition Plon pour dédommagement de l’action engagée.
Rappelons que Omar Youssef Souleimane avait déclaré à la suite des polémiques entourant la sortie de son livre : « J’ai fui les persécutions du régime d’Assad en Syrie pour vivre librement dans la patrie des droits de l’homme, et je retombe treize ans plus tard sur des politiques qui voudraient me faire taire ! », en l’occurence LFI et les gauchistes complices de l’islamisme.
Illustration : DR
[cc] Article relu et corrigé (orthographe, syntaxe) par ChatGPT.
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