COP30. La nouvelle religion climatique : autodestruction programmée d’une civilisation fatiguée

Ils ont remplacé Dieu par le climat. Ils ont troqué le catéchisme pour le consensus scientifique.

Ils ont remplacé le péché originel par le « carbone », et le Jugement dernier par la COP30.

Bienvenue dans la religion mondiale de la peur verte, celle qui impose la contrition universelle à coups de spots publicitaires, de programmes scolaires et de bulletins météo apocalyptiques. Le nouveau prêtre n’a plus de soutane, il porte un badge du GIEC. Il ne parle plus d’âme, mais « d’empreinte carbone ». Et il ne promet plus le paradis, mais une planète « neutre » d’ici 2050, c’est-à-dire morte.

Une terreur douce, mais constante

Le message est simple : « Tu pollues, donc tu es coupable. »

Coupable d’exister, de respirer, de conduire, de manger, d’enfanter. Oui, surtout d’enfanter.

Car désormais, on ne fait plus d’enfants — on calcule son impact. Des jeunes, pétris de peur, affirment qu’ils refusent de « mettre au monde un enfant dans une planète saturée ». Des moins jeunes regrettent carrément d’en avoir fait et le disent ouvertement. Voilà le triomphe de la propagande : transformer la pulsion de vie en honte de vivre.

La terreur climatique n’est pas une science, c’est une pédagogie de l’angoisse. À l’école, on apprend à trier, à culpabiliser, à « sauver la planète » avant même d’apprendre à la comprendre. Dans les médias, on répète que « les scientifiques disent » — comme jadis on disait « l’Église enseigne ». Et quiconque doute est un hérétique, un climato-sceptique, un suppôt de Satan pétrolier.

Le capitalisme vert : le suicide marchand

Le plus ironique, c’est que le grand capital a tout compris. Il a transformé cette panique morale en business plan.

Chaque entreprise exhibe sa « charte éthique », ses gobelets recyclables, ses publicités dégoulinantes de bons sentiments. On peut désormais racheter son péché en ligne : « Payez 15 euros pour compenser votre vol Paris-Barcelone. » L’indulgence du XXIᵉ siècle s’appelle « crédit carbone ».

Cette fusion du gauchisme moral et du capitalisme planétaire produit un monstre : le green totalitarianism, la tyrannie verte. D’un côté, les ONG culpabilisent ; de l’autre, les multinationales monétisent la repentance. Le résultat ? Une génération entière de névrosés climatiques, anxieux, stériles, fragiles, déconnectés du réel — parfaits consommateurs d’angoisse sous cellophane biodégradable.

Le monde réel, lui, s’en moque

Pendant que l’Occident s’autoflagelle à la COP30 de Belém, les Indiens, les Chinois, les Africains, eux, construisent, produisent, se développent. Ils n’ont pas le temps de s’excuser d’exister : ils veulent vivre, et ils le font.

La planète entière se moque des lubies écologiques des bourgeois blancs de l’Occident finissant. C’est une tragédie : nous sommes les seuls à nous saborder au nom d’une morale que personne d’autre ne partage.

Je ne sais pas qui a raison sur le climat. Et peu importe. Car l’homme s’est toujours adapté. Quand il faisait froid, il allumait un feu. Quand la terre se desséchait, il creusait un puits. Et demain, si le monde devient inhabitable, il ira ailleurs — sur Mars, sur Titan ou sur une île artificielle. C’est ce que fait une espèce vivante : elle s’adapte, elle avance, elle ne pleurniche pas.

Une civilisation qui ne veut plus vivre

La question n’est pas scientifique. Elle est métaphysique. Nous sommes une civilisation qui ne veut plus survivre.

Nous avons remplacé l’espérance par la honte, le courage par la peur, la fécondité par la stérilisation volontaire.

Alors je pose la question : si ces nouveaux ascètes verts ont honte d’exister, qu’ils cessent de respirer notre air. Qu’ils aillent jusqu’au bout de leur logique. Qu’ils se sacrifient pour la planète qu’ils idolâtrent. Qu’ils se suicident tous. Mais qu’ils cessent de terroriser nos enfants avec leurs sermons culpabilisants.

Car ce n’est pas le climat qui nous tuera.. C’est la lâcheté d’un monde qui ne croit plus en lui-même.

Belém, COP30 : messe des incrédules

La COP30 de Belém, grande foire de l’éco-culte mondial, n’est qu’un théâtre. Les chefs d’État y récitent leur acte de contrition écologique, pendant que les lobbies de l’énergie, des minerais rares et de l’agro-industrie signent en coulisse les contrats du futur.

C’est l’alliance de l’hypocrisie et de la peur : le progrès maquillé en pénitence.

L’écologie devrait être une science de l’équilibre. Elle est devenue une idéologie de la culpabilité, une arme de déconstruction.

Là où il faudrait bâtir, elle interdit.
Là où il faudrait transmettre, elle stérilise.
Là où il faudrait vivre, elle enseigne la honte d’être né.

Nous vivons un suicide organisé, méthodique, planifié, financé.  Mais le monde ne s’effondre pas : c’est l’homme occidental qui renonce et se suicide.

Alors, à ceux qui doutent encore, je dis ceci : faites des enfants. Plantez, bâtissez, riez, chassez, aimez. Prenez l’avion. Roulez en voiture. Naviguez. Ne vous souciez pas des faux prophètes de malheur.

C’est la seule réponse valable à l’effondrement annoncé.

Respirer est devenu un acte de résistance. Et vivre, dans un monde qui se nie, est le plus grand des défis.

YV

Illustration : DR
[cc] Article relu et corrigé (orthographe, syntaxe) par ChatGPT.

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