La Bretagne, nouvelle colonie de la criminalité importée ? Basta ! [Tribune libre]

Il faut avoir le courage de dire ce que tout le monde voit mais que personne n’ose énoncer publiquement — parce que la vérité, aujourd’hui, est parfois devenue un délit. De Nantes à Brest, de Rennes à Saint-Brieuc, les tirs résonnent, les fusillades se répètent, le deal prospère comme jamais, et les médias nous parlent encore de « jeunes », de « Parisiens », de « tensions entre quartiers ». La liturgie anesthésiante du déni.

Mais nous n’avons plus le temps. La Bretagne étouffe. La Bretagne saigne. La jeunesse bretonne va mourir.

Les balles sifflent désormais dans nos rues, et l’on nous intime encore de sourire, d’applaudir, de célébrer le « vivre-ensemble ». Vivre-ensemble ? Non. Survivre sous contrôle narco-ethnique, voilà le programme qu’on nous impose.

Car il faut cesser de tourner autour du pot : les réseaux qui inondent nos villes ne viennent pas de la lande ni des monts d’Arrée. Ils ne sont pas celtes. Ils ne sont pas bretons. Ils sont le produit direct de la politique migratoire massive, incontrôlée, délirante menée depuis vingt ans avec la bénédiction des élus régionaux, de l’État, des technocrates du ministère, et des éditorialistes qui vivent en centre-ville sécurisé.

Afriques francophones, Maghreb, Europe sud-balkanique qui arrivent en Bretagne via les métropoles françaises, via les politiques de la ville… on sait. Tout le monde sait. Mais personne, dans les grands journaux subventionnés, n’a les tripes de le dire (à moins que ce ne soit volontaire ?).

On parle de « jeunes d’origine parisienne ». Ou de « jeunes locaux » pour rappeler aux lecteurs que, parce que vivants en Bretagne, ils seraient des Bretons comme « vous et moi ».

Traduction pour ceux qui ne sont pas idiots : bandes afro-maghrébines et réseaux importés des banlieues françaises. Toutes les sources le démontrent. Il n y a pas de gangs de Suèdois, ni de gangs d’Argentins, en Bretagne. Pas non plus de vrais gangs dirigés par des autochtones même si certains d’entre eux servent de petites mains dans des réseaux qui essaiment aussi en ruralité. On qualifie de « conflits de territoire » des règlements de compte à l’arme de guerre.

On nomme « incivilité » un kidnapping en rase campagne. On maquille le réel comme un cadavre qu’on pompe pour lui donner bonne mine.

Ce n’est pas un fait divers. C’est une conquête territoriale.

À Rennes, Villejean devient un far-west métissé où l’on tire pour un point de coke. À Nantes, on voit tomber des corps dans la Loire. À Brest, des quartiers entiers vivent sous économie parallèle. À Vannes, Lorient, Quimper, les réseaux avancent, infiltrent, recrutent.
Les caïds dictent leur loi et les élus posent des fresques « contre la discrimination ».

Les politiques regardent ailleurs, pleurent sur « les quartiers oubliés », financent des associations-passerelles qui servent de couverture et libèrent des subventions pour acheter la paix sociale — une paix achetée comme on paye un racket.

Ils ne protègent pas les Bretons. Ils négocient avec ceux qui les menacent.

Et ils veulent que nous trouvions ça normal.

Soit nous continuons à nous coucher, en acceptant la transformation accélérée de la Bretagne en zone métastable, mosaïque ethnique sous contrôle de trafiquants. Soit le peuple breton — ce qu’il en reste encore de debout, d’insoumis, de lucide — ouvrira enfin les yeux et dira : STOP.

Déjà, la lassitude monte. Déjà, le murmure devient grondement. Les Bretons, peuple long à s’échauffer mais impossible à soumettre, savent ce qu’est la reconquête. Nos ancêtres ont repris leur terre à la pointe de l’épée ; aujourd’hui, on nous demande d’abandonner nos rues, nos villes, notre identité pour ne pas heurter quelques élus trouillards, et la presse subventionnée.

Eh bien non. Pas ici. Pas chez nous.

Nous ne voulons plus mourir dans le silence. Nous ne voulons plus être spectateurs. Nous ne voulons plus être complices par résignation.

Dehors les trafics, et les narco trafiquants, dehors ceux qui les organisent, dehors ceux qui les couvrent. Au tribunal tous ceux qui ont permis la destruction d’une société qui vivait parfaitement ensemble sans ces individus. Les Bretons méritent autre chose que la soumission polie et la peur nocturne. Nos villes ne doivent pas devenir les laboratoires d’un modèle multiculturel déjà effondré ailleurs.

La Bretagne n’est pas à vendre. Et encore moins à piller Basta. Stop. Harz !

Julien Dir

Les Corses ont su, et savent, se lever contre les dealers.

Crédit photo : DR

[cc] Breizh-info.com, 2022-5, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine

Cet article vous a plu, intrigué, ou révolté ?

PARTAGEZ L'ARTICLE POUR SOUTENIR BREIZH INFO

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Publicité

LES DERNIERS ARTICLES

RENNES

Rennes – Villejean : fusillade, enlèvement, armes, arrestations… et hypocrisie médiatique sur l’origine des criminels présumés

Lorient

MORLAIX

Un réseau de trafiquants de drogue démantelé entre Landivisiau et le pays de Morlaix

Politique

Vers un classement de la mouvance Antifa comme organisation terroriste ? Le sénateur Stéphane Le Rudulier relance le débat

International

Irlande. Enoch Burke, le Christ et le cachot : quand l’État punit les consciences

E brezhoneg, Sport

MMA : Benoît Saint-Denis a oar piv e vo e eneber a zeu

brest

Sociétal

Cocaïne : la France bascule dans l’ère du « tsunami blanc »

International, Santé

Dérives du système américain de dons d’organes : des témoignages glaçants sur une industrie mal contrôlée

Sociétal

EMFA, journalisme, label presse : vers une labellisation des médias en Europe sous l’égide de RSF et des GAFAM ?

Sociétal

Audiovisuel public : les Français partagés entre attachement culturel et critique du coût

Éoliennes

Environnement

Parc éolien flottant en Bretagne-Sud : l’Instance de Concertation démarre sous tension

ARTICLES EN LIEN OU SIMILAIRES

RENNES

Rennes – Villejean : fusillade, enlèvement, armes, arrestations… et hypocrisie médiatique sur l’origine des criminels présumés

Découvrir l'article

Politique

Vers un classement de la mouvance Antifa comme organisation terroriste ? Le sénateur Stéphane Le Rudulier relance le débat

Découvrir l'article

Politique

La recomposition silencieuse du vote gay

Découvrir l'article

Culture, Culture & Patrimoine, Sociétal

Formation des professeurs bilingues : l’État mis en demeure par les défenseurs du breton

Découvrir l'article

CARHAIX

Carhaix. Le préfet du Finistère ridiculisé par une rave-party géante et illégale

Découvrir l'article

Culture & Patrimoine, Patrimoine, Pornic

Pornic. Une marche aux flambeaux en l’honneur de la Vierge pour la fête de l’Immaculée Conception

Découvrir l'article

RENNES

Rennes : un narcotrafiquant marocain criblé de balles retrouvé mort dans une voiture au Blosne

Découvrir l'article

Economie, Immobilier

Crédits immobiliers : hausse des taux, recul de la solvabilité et atterrissage du marché

Découvrir l'article

Local, Tourisme

La thalassothérapie, les massages et les spas en Bretagne : le grand bol d’air iodé

Découvrir l'article

Economie

CREHA Ouest épinglée : failles de gouvernance, sécurité défaillante et doutes sur l’équité de l’accès au logement social en Bretagne et Pays de la Loire

Découvrir l'article

PARTICIPEZ AU COMBAT POUR LA RÉINFORMATION !

Faites un don et soutenez la diversité journalistique.

Nous utilisons des cookies pour vous garantir la meilleure expérience sur Breizh Info. Si vous continuez à utiliser le site, nous supposerons que vous êtes d'accord.

Clicky