Le meurtre bestial, insensé, révoltant de la réfugiée ukrainienne Iryna Zarutska a suscité une forte réaction sur les réseaux sociaux. Au-delà de la profonde tristesse que la perte d’une si jeune innocente engendre, au-delà du dégoût absolu que génère le spectacle des cinq individus afro-américains assistants impassibles à la scène, c’est le traitement médiatique ahurissant de ce drame qui a indigné et continue de le faire.
Nuevas fotografías y video del asesinato de la hermosa ucraniana Iryna Zarutska, a manos de un negro. pic.twitter.com/13etdMjpZS
— Ernesto Madrid (@JErnestoMadrid) September 11, 2025
Pendant plus de trois semaines, silence radio des médias du système. Rien. Pas un mot. Il aura fallu que ces images atroces deviennent virales sur les réseaux sociaux pour que les Jean-Foutre des grands journaux daignent se pencher sur la mort tragique de la jeune femme.
Des homicides ont-ils lieu quotidiennement ? Certes. Mais celui-ci aurait au moins dû les interroger. Comment se peut-il qu’un homme considéré comme particulièrement violent et dangereux, interpellé 14 fois pour crimes et délits, ait été libéré avant le terme de sa peine ? La réponse est simple, l’idéologie « ne pas incarcérer » a encore frappé. Et on cache sous le tapis ses résultats : le massacre, pur et simple, bête, évitable, d’une femme rescapée aux horreurs de la guerre mais assassinée par le gauchisme, le progressisme, le marxisme culturel, la culture de l’excuse, la dictature des minorités… maintes appellations pour une même idéologie à l’oeuvre, que plus personne ne peine à identifier.
Mais puisque nos détracteurs nous accusent d’agir par « ressentis » et autre « sentiment », soyons précis. Pendant presque un mois, à propos de ce meurtre sur « CNN rien, NewYork Times rien, Reuters rien. George Floyd a été cité 5 897 fois par le New York Times, Iryna, zéro, silence assourdissant de la presse mainstream, de la presse nationale. C’est de poids, deux mesures » comme le rappelle avec justesse André Bercoff.
La surmédiatisation de la mort de Geoge Floyd visait à démontrer un fait de société, le racisme systémique au sein de la police et de la société américaine toute entière, répondent les Jean-Foutre. Mais le meurtre d’Iryna Zarutska, et plus largement l’insécurité de les transports publics, la non-prise en charge des troubles psychiques et l’insensé laxisme judiciaire, ce ne sont pas des sujets de société, ça ?
Le racisme anti-Blanc, c’est pas un sujet, ça ?
Le motif raciste ne peut pas être invoqué rétorquent les Jean-Foutre. Dommage qu’il ne peut pas non plus être écarté (il y avait cinq autres personnes autour de DeCarlos Brown Jr, mais c’est la Blanche qu’il a choisi de poignarder, ajoutant apparemment « j’ai eu la fille blanche »). Et puis avouons-le, les victimes blanches prises au hasard par des « racisés » aux casiers judiciaires long comme le bras sont légion dans toutes les sociétés multiculturelles occidentales et elle ne trouvent pas l’écho qu’elles devraient dans les médias de grand chemin (sauf quand on les y oblige).
Et les Jean-Foutre de crier à la récupération. Parlons-en de la récupération. N’est-ce pas là une des missions du politique ? Récupérer les problèmes de société pour tenter de les résoudre ? Ah mais c’est vrai qu’il n’y a qu’un problème dans la société, c’est l’avancée de l’extrêêême droiaaaate…
Quant à la photo – vraie ou fausse – qui circule d’Iryna dans sa chambre ornée d’une bannière Black Lives Matters, elle est affligeante… Affligeante et dégueulasse, quelque soit la lecture que l’on en fait, qu’il s’agisse de mettre en relief l’ironie qu’une partisane du mouvement BLM soit tuée par un Noir, ou de souligner qu’elle était anti-raciste et donc qu’elle méritait moins la mort que d’autres…
Ce que n’ont pas compris ces warriors du clavier – de droite comme de gauche – c’est que la plupart des assassins « racisés » qui agissent par haine du Blanc n’ont absolument que faire des opinions de leur proie. Elles sont là, ils sont armés et justifiés moralement par une gauche pousse au crime, ils la tuent. Point barre. En plus, il y a de fortes chances pour qu’un gentil magistrat les libère. C’est malheureusement, très malheureusement, aussi simple que cela.
Audrey D’Aguanno
Crédit photo : DR
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Une réponse à “Iryna Zarutska soutenait Black Lives Matter ? Et alors ? [L’Agora]”
Après cette juste comparaison entre Iryna Zarutska et George Floyd, il va falloir comparer l’assassinat de Charlie Kirk et celui de Martin Luther King.