Un jeune homme a été tué par balle vendredi soir, dans le quartier de Bellevue à Brest. Un drame de plus dans une ville qui, comme d’autres métropoles bretonnes, porte désormais les stigmates tardifs des politiques de la ville menées en France depuis trente ans : dispersion des responsabilités, absence d’autorité réelle, immigration extra européenne importante, narco trafic, et naïveté chronique face à des phénomènes de violence importés ou aggravés par le laxisme national.
Un jeune homme tué en pleine rue
Les policiers sont intervenus peu avant 21 h, alertés par plusieurs coups de feu dans le secteur de la rue de Vannes, à proximité du terrain de football. Sur place, les forces de l’ordre ont découvert un jeune homme mortellement touché par balle.
L’intervention, renforcée par une vingtaine d’agents et des équipes cynophiles, a permis de sécuriser rapidement la zone. Les circonstances exactes restent à préciser par le parquet.
Quelques rues plus loin, dans la même soirée, d’autres témoins évoquent plusieurs tirs distincts. Une enquête est ouverte, et les policiers appellent à la prudence sur tout élément prématuré.
Un climat de violence qui s’installe
À Brest, ce drame intervient moins de 48 heures après un féminicide suivi d’un suicide dans un autre quartier populaire de la ville. Une succession d’événements violents qui, pour de nombreux habitants, confirme un basculement : celui d’une Bretagne laissée sans protection face à des phénomènes qui avaient été, pendant des décennies, contenus ailleurs.
Les métropoles bretonnes – Rennes, Brest, Lorient, Saint-Brieuc – voient aujourd’hui se répéter les mêmes scénarios que dans des villes de l’Hexagone confrontées depuis longtemps à la montée des trafics, des règlements de comptes et de la délinquance armée.
Avec toujours les mêmes ingrédients : quartiers abandonnés aux réseaux, gestion administrative sans cap politique clair, et refus persistant d’admettre que l’angélisme accumulé depuis vingt ans porte ses fruits amers.
À Bellevue, des habitants présents au moment des tirs parlent d’une scène d’une grande brutalité. Certains mentionnent trois coups distincts, tirés depuis le parking au pied des immeubles. Les secours, arrivés rapidement, n’ont pas pu ranimer la victime.
Deux suspects sont activement recherchés. Les enquêteurs de la police judiciaire étaient encore sur place tard dans la soirée, à la recherche d’indices.
La Bretagne dans la roue des politiques nationales
Ce nouveau drame expose une réalité de plus en plus difficile à nier : la Bretagne n’est plus à l’écart. Ses élus ont en effet tout fait, depuis des années, pour rattraper leur « retard » sur ce qui gangrène actuellement les métropoles françaises.
Les discours institutionnels sur « la tranquillité publique », les réaménagements urbains ou les projets de cohésion sociale ne suffisent plus à masquer l’extension progressive d’une violence que d’autres territoires subissent depuis longtemps.
L’échec des politiques de la ville françaises ne se mesure pas seulement en milliards engloutis, mais aussi en spirale sécuritaire qui finit par toucher des régions jusque-là relativement préservées. Les mêmes causes produisent les mêmes effets : quartiers livrés au désordre, services publics dépassés, et habitants abandonnés à une montée en puissance des armes et des règlements de comptes.
Une fois encore, les Bretons découvrent – souvent malgré eux – que les choix politiques faits loin de chez eux finissent toujours par atteindre la périphérie. Et qu’à défaut d’un changement de cap, d’autres drames sont malheureusement à redouter.
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6 réponses à “Brest : Un homme tué par balles à Bellevue, symptôme d’un modèle urbain en crise”
J’ai connu »la France métropolitaine » avant 1962:à cette époque les femmes pouvaient sortir seules, le soir, sans être agressées, etc…mais, en 1962,de Gaulle a »donné » l’indépendance aux musulmans de nos colonies…Les Algériens ont chassé 1 million de »Français » non musulmans de leur pays natal, puis 5 millions d’Algériens ont suivi les mécréants en France au lieu de RESTER dans »leur » pays »indépendant » car ils sont bien reçus dans notre pays où ils répandent la terreur et l’islamisme sous les yeux approbateurs des politiciens qui nous gouvernent!…
Merci Macouille !
Ls Bretons ont eu permis eux un Homme Politique qui a tenté de les « réveiller » ainsi que l’ensemble du peuple de FRANCE .
On peut affirmer que ,à travers leurs vote ils n’ont tenu aucun compte de l’avertissement de l’Homme de la Trinité Sur Mer .
Le bilan est aujourd’hui terrible ,voir effrayant. Jean Marie Le Pen s’est battu comme un beau diable ,lui et tous ceux qui l’ont accompagnés
pour éviter la situation que nous vivons aujourd’hui en Bretagne ,mais pas que. Comme une litanie le nombre de morts augmente année après année dans un pays ou la violence des truands issus principalement de l’immigration -invasion s’exprime dans une sorte de quasi impunité.
Accompagné bien souvent par l’islamisme ou la frontière est plus que poreuse.
On a quand même eu des gouvernants Hachement balaises dans notre pays depuis 50 ans !
J’ai connu une année Bellevue avec sa Fac cool Raoul loin du centre ville à part les gueules saoules étudiantes RIEN! C’était le temps de la Gentilho (le café bourge des étudiants branchés en Droit! En face au milieu d’un champs les préfabriqués des locaux syndicaux où la CGette excitait les CRS qui cognaient les ouvriers des chantiers et autres qui manifestaient…(Je n’invente RIEN j’ai VU…puisque les écolo-bobo-gôchiasses m’agressent!). Honnêtement ces lombrics intellectuels doublés de limaces gluantes de la pensée m’ont mis en pleine forme! Et à l’époque un classique…La Soute!
Pauvre Bretagne!! Elle n’a que ce qu’elle mérite. En votant depuis toujours à gauche, ils ont laissé entrer l’immigration de masse dans toutes les grandes villes de Bretagne.
Quant à Brest, le maire étant élu par la population immigrée devenue Française, il est réélu pour son 3ème ou 4ème mandat, et en plus d’être maire de Brest, il est aussi président de la métropole!! Alors, c’est par bus complets que des clandos ou des déplacés de la région parisienne arrivent chez nous et pourrissent chaque jours un peu plus la ville. Et ces braves ne perdent pas de temps, les Suédoises ont toutes une poussette remplie et 2 ou 3 autres à côté. Elles ont bien compris le fonctionnement de la caf. Franchement je ne reconnais plus Brest. Je suis dégouté. Kénavo.