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Cinéma. 7 films à voir ou à revoir sur les sociétés du Maghreb

Breizh-info vous propose désormais une chronique hebdomadaire intitulée « 7 films à voir ou à revoir » et réalisée par Virgile pour le Cercle Non Conforme, qui nous a donné son accord pour reproduire le texte.

Cette semaine, 7 films à voir ou à revoir sur le thème des sociétés du Maghreb

La présence de fortes communautés musulmanes en Europe ne manque pas de causer nombre de problèmes identitaires, n’en déplaise aux immigrationnistes les plus fanatiquement niais. Les rapports de force entre les communautés autochtones et des minorités numériquement de plus en plus nombreuses diluent chaque jour un peu plus le substrat ethnique européen. Passons sur les faits d’actualité induits par une jeunesse issue de l’immigration, complètement acculturée par une idéologie républicaine et droit-de-l’hommiste qui empêche paradoxalement à cette immigration tout sentiment d’appartenance construit. Le propos ne vise pas à sombrer dans la culture de l’excuse et dédouaner, loin de là !

La majorité grandissante de cette minorité immigrée mais gageons que nul individu déterminé par sa terre ne souhaiterait connaître tel phénomène d’acculturation identitaire. Les fléaux liés à l’immigration modifient considérablement la vision du monde arabe outre-méditerranéen, intégralement rejetée en bloc. Est-il pourtant autorisé au voyageur curieux l’envie de découvrir des terres dont l’Histoire est indiscutablement liée à l’Europe depuis la conquête romaine entreprise à partir du 2ème siècle avant Jésus-Christ ? Un ami, courageusement vagabond solitaire en Algérie et au Maroc, n’avait pas manqué de vanter son exquise découverte de la société arabe. Son immense frustration avait été l’imperméabilité de celle-ci à tout étranger. Si les touristes se contentent du spectacle du souk de Marrakech, il n’est guère permis au voyageur non musulman d’en découvrir beaucoup plus. Le constat était néanmoins sans appel quant aux différences comportementales entre des populations d’un même sang selon qu’elles vivent de part et d’autre de la Méditerranée.

Quel fut l’âge d’or des sociétés maghrébines ? En totale opposition avec une historiographie officielle et revancharde, soucieuse d’une culpabilisation à outrance de l’œuvre coloniale, les guerres d’indépendance marquèrent moins une césure dans la persistance des schémas patriarcaux des sociétés du Maghreb que la progressive radicalisation d’un Islam de plus en plus assujetti au wahhabisme, importateur d’une plus grande barbarie et intrinsèquement étranger aux terres qui s’étendent de la Mauritanie à la Lybie. Les pays arabes, l’Occident, et plus particulièrement la France, ont loupé leur acquisition d’indépendance, pour les uns, et leur décolonisation pour les autres. Les premiers par un sentiment revanchard stérile qui ne manqua pas de rapidement plomber le développement économique des pays, les seconds par la transformation de leur victoire militaire en défaite politique, amenant un désengagement hautain.

Ceux qui n’eurent pas le temps de faire monter leur valise sur le bateau n’ont pas oublié le cercueil qu’on leur préparait. Plus que tout autre, Alain de Benoist, dans son ouvrage demeuré incompris parce que majoritairement mal lu, voire pas lu du tout, Europe, Tiers monde, même combat, avait compris la convergence d’intérêts qui devait unir ex-puissances coloniales et pays émergents afin de développer un nouveau pôle géostratégique face aux ennemis des blocs de l’Est et de l’Ouest. Loin de cela, l’Europe a préféré parachever le boulot exigé depuis Washington. Moins de quatre années après l’avoir invité à planter sa tente bédouine au camping de l’Elysée, Nicolas Sarkozy-Brutus poignarde depuis les airs Mouammar Kadhafi-César. Bernard Kouchner et Bernard-Henri Lévy poursuivent leur sinistre besogne de commerciaux d’un chaos qui continue de se propager dans toute l’Afrique du Nord tandis que les rives de l’ancienne Mare nostrum semblent de plus en plus irréconciliables. Ceux qui n’ont pas encore sombré dans une arabophobie la plus primaire trouveront, à raison, en le cinéma arabe un intérêt légitime… Les pays du Maghreb ne manquent pas d’une production de qualité en effet. La présente chronique évacuera la problématique de l’Islamisme pour s’attacher à la description des sociétés marocaine, algérienne et tunisienne.

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A PEINE J’OUVRE LES YEUX

Film franco-tunisien de Leyla Bouzid (2015)

Tunis, l’été 2010, quelques mois avant le Printemps tunisien qui consacrera la destitution de Zine el-Abidine Ben Ali. Farah est âgée de 18 ans et vient de décrocher son baccalauréat. Au sein d’une famille “libérale”, Farah fréquente la jeunesse branchée de la capitale. Brillante lycéenne, sa famille imagine la jolie jeune fille future médecin. Farah a en réalité d’autres préoccupations. La lycéenne est la chanteuse d’un groupe de rock engagé contre le pouvoir de Ben Ali. La jeune femme découvre la fête nocturne, l’alcool et l’amour avec Bohrène, le guitariste et parolier du groupe, en même temps que la contestation politique. Sa mère Hayet sait que cet engagement ne sera pas sans conséquences. Tandis que la formation de rock enchaîne les concerts et fait se trémousser les jeunes tunisiens, les conservateurs et les services secrets ne tardent pas à avoir à l’œil Farah et ses amis…

Fille de Nouri Bouzid, figure du cinéma tunisien, Leyla livre un premier long-métrage intéressant sur le tumulte prérévolutionnaire tunisien et sa société culturelle souterraine. La jeune insoumise Farah campe le fil rouge de cette jeunesse rebelle et éprise de liberté. Loin d’être une égérie de la révolution, la jeune héroïne est une jeune adulte parmi tant d’autres de sa génération. Malheureusement, la réalisatrice peine à prendre de la hauteur par rapport à son sujet. La nature dictatoriale du régime de Ben Ali, sans cesse dénoncée, n’est quasiment pas figurée à l’écran. Tout au plus sent-on le poids d’une mince surveillance sur la carrière scénique du groupe musical. Totalement invisible est la montée irrépressible de l’islamisme. Un film assez peu manichéen qui pêche par son côté trop intimiste. La réalisation est, en revanche, servie par une brillante bande originale. Un premier film encourageant.

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ALI ZAOUA, PRINCE DE LA RUE

Film franco-marocain de Nabil Ayouch (2010)

Ali est un enfant des rues de Casablanca qui a fui le domicile après avoir cru que sa famille voulait le vendre. Avec ses amis Kwita, Omar et Boubker, Ali habite le port depuis que sa bande a quitté celle de Dib, adolescent muet et cruel qui exerçait une emprise brutale. Si le quotidien des enfants est difficile, ils sont liés par une indéfectible amitié. Partir est le rêve qui hante je jeune garçon. Ali veut devenir marin et faire le tour du monde à la recherche de l’île aux deux Soleils. La dure réalité des enfants errants reprend vite le dessus. Au cours d’une rixe entre la bande de Dib et la sienne, Ali meurt accidentellement après avoir reçu une pierre sur la tête. Ses jeunes amis entreprennent de l’enterrer comme un prince. Il convient désormais de trouver l’argent nécessaire, des vêtements propres mais surtout, prévenir la famille de l’enfant au destin brisé…

A l’exception de Saïd Taghmaoui qui interprète le rôle de Dib, tous les enfants acteurs et figurants du film sont de véritables enfants des rues casablancaises, ce qui renforce évidemment la force du film. Ce ne sont que des enfants. Pourtant, leur visage exprime déjà la rudesse d’une existence vagabonde. Livrés à eux-mêmes dans une société marocaine qui ne s’intéresse guère à leur sort, l’exercice de la solidarité constitue la seule issue afin que ces enfants demeurent des êtres sensibles malgré le danger qu’ils revendiquent comme un mode de vie. Ces enfants jouent à des jeux dangereux, volent, sniffent de la colle et se comportent comme de débrouillardes teignes au cœur pourtant fragile. Ayouch livre un film d’une grande violence qui ne manque pas de poésie et évite l’écueil de sombrer dans le misérabilisme et la morale. Parfois trop prévisible, le film n’en est pas moins plaisant.

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BARAKAT !

Film franco-algérien de Djamila Sahraoui (2006)

La guerre civile déchire l’Algérie dans les années 1990, cible de nombreux attentats islamistes. La trentaine, Amel est médecin urgentiste et rentre d’une garde à l’hôpital lorsqu’elle constate la disparition de Mourad, son mari journaliste. Les autorités ne semblent gère marquer d’empressement à débuter les recherches. Amel n’a d’autre possibilité que se débrouiller pour retrouver son époux. Elle est accompagnée de sa collègue Khadija, infirmière soixantenaire au fort tempérament qui, dans sa jeunesse, a participé avec détermination à la guerre d’indépendance. L’expérience en matière de guérilla sera bien utile à Amel pour retrouver Mourad. Les deux femmes sont contraintes de pénétrer les maquis islamistes, certaines que le journaliste n’est pas loin. Elles sont bientôt prisonnières des terroristes…

Deux femmes vont apprendre à se connaître et s’entraider dans le tumulte algérien qui secoue le pays trois décennies après l’acquisition de l’indépendance. Venue du documentaire, Sahraoui livre un premier long-métrage intimiste sur une femme à la recherche de son époux qui va se plonger dans l’horreur des maquis islamistes et rencontrer d’autres destins brisés par le terrorisme que la réalisatrice condamne sans concession. Les héroïnes entendent demeurer libres et exercer leur souveraineté sur elles-mêmes dans la rue ou au café. Le glissement des mentalités algériennes vers le rigorisme religieux est assez bien représenté. La mise en scène est parfois maladroite mais le film ne manque pas d’une belle émotion malgré de trop nombreuses emphases. Un plaisant film sobre. A voir !

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L’ENFANT ENDORMI

Film franco-belgo-marocain de Yasmine Kassari (2005)

Un petit village de l’Atlas marocain célèbre les noces de Zeinab. L’ambiance n’est pourtant pas à la fête. Zeinab sait que son époux quittera clandestinement, dès le lendemain, le Maroc en direction de l’Espagne, en compagnie d’autres hommes des environs. Ceux-ci estiment qu’ils n’ont rien à attendre de ces territoires déserts du Nord-Est marocain. Quelques semaines plus tard, Zeinab devine qu’elle est enceinte. Sous la pression de sa belle-mère, la jeune femme fait endormir son fœtus, selon une vieille tradition de magie blanche, jusqu’à ce que son mari revienne. La vieille légende arabe indique que cette sorcellerie permet de retarder la naissance de plusieurs mois, voire même plusieurs années. Encore faut-il que le mari rentre un jour…

De nouveau, un premier long-métrage signé par la jeune réalisatrice Kassani. Le mythe de l’enfant endormi est une légende solidement ancrée dans la mentalité collective marocaine. La législation islamique nationale accepte même cette pratique magique et admet cette gestation contraire à la médecine moderne pour une durée ne pouvant dépasser une année. L’objectif est double : éviter la non-filiation d’un enfant dont le père serait absent ; de même et plus hypocritement, éviter la peine de mort pour une épouse enceinte dont le mari serait parti depuis plus de neuf mois. On peut douter que cette magie juridique soit perçue du meilleur œil par un Islam plus rigoriste… Mais revenons au film afin d’indiquer qu’il est un plaisant conte sociale empreint d’une belle sobriété et remarquablement interprété par un duo d’actrices campant des femmes esseulées et frustrées, organisant leurs journées monotones dans de magnifiques paysages. C’est une réussite !

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HALFAOUINE, L’ENFANT DES TERRASSES

Titre original : Asfour Stah

Film tunisien de Ferid Boughedir (1990)

A Halfaouine, quartier pauvre de Tunis, le jeune Noura, âgé de bientôt douze ans, explore toutes les facettes de son quartier dans lequel la séparation entre les sexes est de mise. La découverte du monde patriarcal s’exerce dans la rue tandis que son jeune âge et son état imberbe l’autorisent encore à accompagner sa mère au hammam. Mais la puberté approche et Noura commence à appréhender différemment la nudité des femmes qui l’entourent dans la chaude moiteur des bains. Mounir et Moncef, ses deux plus proches amis, plus âgés et avec lesquels Noura fait gentiment les quatre cents coups, sont tout heureux de bénéficier de ses précisions descriptives de l’anatomie féminine. Un regard trop appuyé et les femmes du hammam comprennent qu’il est temps d’en expulser Noura devenu un adolescent…

Joyeuse chronique sociale d’un quartier populaire de Tunis illustrant avec talent la complexité des rapports entre les sexes dans les sociétés musulmanes, à l’aide d’une large galerie de personnages traditionnels et pittoresques. Boughedir livre une tendre évocation de l’enfance d’un garçon discret et sensible qui craint d’autant plus les incertitudes du passage à l’âge adolescent qu’il fait encore, pour peu de temps, figure de héros, petit prince d’un royaume sensuel. Comme pour Cendrillon, minuit sonne inexorablement. L’hypocrisie du monde phallocrate musulman en matière de sexualité est moquée sans outrances ni clichés. Le réalisateur, dont il s’agit de la première fiction, en profite également pour dénoncer l’autoritarisme du régime tunisien par le prisme d’un dissident emprisonné, autre initiateur du jeune héros. Un beau film tout en nuances ! Et courageux !

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LA SOURCE DES FEMMES

Film franco-belgo-italo-marocain de Radu Mihaileanu (2011)

De nos jours, dans un petit village du monde arabe. Sous un soleil de plomb, les femmes vont inlassablement chercher de l’eau à la source en haut de la montagne. Leila vient de se marier avec Sami l’instituteur et assiste à la chute d’une femme enceinte qui fait une fausse couche sur le trajet du retour. Les femmes ne supportent plus ces trajets harassants, seaux à l’épaule, tandis que leurs maris demeurent au village. Leila tente de convaincre les femmes du village de faire la grève du sexe tant que les hommes ne graviront pas à leur tour la montagne. Cela ne se fait pas sans mal. Leila manque de l’autorité acquise à celles nées au village et les femmes exécutent cette tâche ingrate depuis la nuit des temps. Sami apporte son soutien à son épouse, bientôt suivie par Vieux Fusil, une ancienne du village. La guerre des sexes divise désormais les lieux…

Mihaileanu s’inspire d’une histoire vraie qui s’était déroulée en Turquie dix années avant l’éclosion de son projet cinématographique tourné au Maroc. Plus qu’une présentation d’une révolte féministe, le réalisateur ne manque d’inclure nombre de thèmes qui autorisent un regard sérieux sur la société arabe : les mariages forcés, la soumission des femmes aux hommes interdisant l’idée du viol, la montée du fondamentalisme islamiste, le problème de l’approvisionnement en eau, mais également la corruption généralisée et les changements sociaux provoqués par le tourisme européen. Cela rend le film d’autant plus intéressant bien que Mihaileanu peine à apporter quelque profondeur à l’ensemble des thèmes qu’il entend embrasser en se rangeant résolument du côté des révoltées. A trop vouloir bien faire… Le film demeure néanmoins intéressant à visionner.

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VIVA LALDJERIE !

Film franco-algérien de Nadir Moknèche (2004)

Alger pendant l’hiver 2003. Dans un hôtel du centre-ville, trois femmes sont contraintes de se réfugier dans une modeste chambre sous la pression de la montée de l’islamisme. La maman, Papicha, est une ancienne danseuse orientale qui rêve d’un prochain retour triomphal au cabaret. Sa fille, Goucem, photographe de 27 ans, est émancipée et a une relation avec un homme marié qui ne cesse de reporter sa promesse de bientôt divorcer. Son amie, Fifi, est une prostituée. Les trois femmes de mauvaises mœurs tentent de vivre normalement malgré le danger qui guette au dehors. Faisant fi d’un climat de plus en lourd, Goucem prend plaisir à sortir en boîte de nuit. La jeune femme insouciante vole le revolver du souteneur de son amie Fifi. Ce dernier, bien évidemment, suspecte sa “protégée” et lui demande des comptes. L’entrevue tourne mal. La prostituée est tuée…

Un trio d’actrices remarquable tient à bout de bras un film intéressant dans sa chronique sociale de la vie algéroise mais qui manque singulièrement de souffle et de surprise. A l’aide de belles images de la capitale algérienne, Moknèche dresse un agréable portrait de sa ville, de ses ruelles, de la mer qui la borde et de ses habitants. Alger, ville qui se souhaite libre et libérée mais ville inlassablement promise à la répression et corruption politiques et à l’émergence du fondamentalisme, qui hante la capitale tel un fantôme. Des cartes postales algéroises qui contrastent avec l’amertume d’une population qui ne parvient à façonner son pays et à trouver une véritable identité. Si le scénario est plombé par quelques incohérences, il a le mérite de lever le voile, sans mauvais jeu de mot, sur un certain nombre de tabous au sein de la société arabe.

Virgile / C.N.C.

Crédit photo : DR

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