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Ce que Laurent Alexandre n’osera jamais dire sur le QI [Tribune libre]

23/10/2017 – 07h30 Paris (Breizh-Info.com) – Les points de vue exposés dans cette rubrique n’engagent que leur auteur et nullement la rédaction. Média alternatif, Breizh-info.com est avant tout attaché à la liberté d’expression. Ce qui implique tout naturellement que des opinions diverses, voire opposées, puissent y trouver leur place. 

C’est un entretien à Capital qui a été partagé à de multiples reprises sur les réseaux sociaux depuis sa publication, le 18 octobre dernier. Intitulé « Alerte ! Le QI des Asiatiques explose, le nôtre baisse », il donne la parole à Laurent Alexandre. Chirurgien urologue, il est le fondateur de Doctissimo et spécialiste de l’intelligence artificielle.

Le QI, une question polémique ?

Le titre de cet article est en décalage avec le sujet de l’entretien, essentiellement axé sur la question de l’intelligence artificielle. En quelques lignes, Laurent Alexandre déclare que « même si ce n’est pas politiquement correct de le dire, il existe aussi des gens moins malins, moins innovants, pas transversaux. Ces gens-là vont être dans une extrême difficulté [à cause de l’essor de l’intelligence artificielle, ndlr]. Il va falloir les aider. » Et Laurent Alexandre de parler du QI : « Il faut améliorer l’école. Le QI moyen en France est de 98, alors qu’il est de 108 à Singapour. La différence n’est pas génétique. Avant, le niveau des Singapouriens était inférieur au nôtre. Mais eux ont modernisé l’école et paient très bien leurs professeurs… […] Le QI moyen baisse en France alors qu’il explose en Asie. […] A l’ère de l’intelligence artificielle, le QI ne peut pas être un tabou. »

Quand il affirme que le QI ne peut pas être tabou, Laurent Alexandre ferait-il allusion au fait que les mesures de cet indicateur précis de l’intelligence humaine donnent des résultats très différents selon les populations? Ainsi, les Asiatiques de l’est sont plus intelligents en moyenne que les Européens qui sont eux-mêmes, toujours en moyenne, plus intelligents que les Africains.

Etudier le QI et les différences intellectuelles entre populations humaines, c’est atomiser le postulat égalitariste selon lequel nous serions tous les mêmes.
Voilà pourquoi, conscient de la dangerosité de son propos, Laurent Alexandre déclare que « la différence n’est pas génétique. ».

Cette affirmation relève t-elle de la science ou de l’idéologie?

La vérité sur le QI

Soyons clairs, ce qui suit est connu de tous les spécialistes de l’intelligence humaine, même des plus fervents idéologues égalitaristes. Laurent Alexandre, ou toute autre personne, serait bien en peine de remettre en cause les affirmations suivantes.

1/ Selon le consensus scientifique, les tests de QI mesurent très bien l’intelligence humaine. Ils sont notamment d’excellents indicateurs de la capacité cognitive générale (facteur G), qui est une régularité statistique entre toutes les formes d’intelligences.

2/ Selon le consensus scientifiques, les tests de QI bien administrés ne peuvent pas être biaisés culturellement.

3/ Selon le consensus scientifique, le QI est fortement relié à de nombreux indicateurs individuels essentiels comme les résultats éducatifs et professionnels ou d’autres indicateurs sociaux.

4/ Selon le consensus scientifique, le QI est fortement lié à l’inné (génétique) plutôt qu’à l’acquis (environnement). Les estimations varient entre 40 % et 80 % d’influence de la génétique mais la majorité des spécialistes établit la proportion à 60 % (ou 0.60). Cela n’empêche pas l’environnement d’être une variable très importante.
L’héritabilité (lien avec les gènes) ne doit pas être confondue avec l’hérédité (transmission par les parents). Avec deux parents à haut ou bas QI, on observe le phénomène de retour à la moyenne. L’enfant aura, en moyenne, une intelligence plus basse ou plus haute que ses parents puisque les cartes sont a priori « rebattues » presque indépendamment du QI parental.
Quoi qu’il en soit, déclarer que « la différence n’est pas génétique » comme le fait Laurent Alexandre, c’est proférer une énorme contre-vérité.

5/ Selon le consensus scientifique, il existe des différences entre les facultés cognitives générales des différents groupes de population. Toutes les mesures de QI des différentes nations et groupes de populations ont été réalisées par rapport à un échantillon de la population anglaise.

6/ Selon le consensus scientifique, les Asiatiques de l’est ont un QI moyen compris en 105 et 110.
Les Européens occidentaux ont un QI moyen d’environ 100.
Les Africains ont un QI moyen compris entre 70 et 80.
Le groupe humain ayant le QI le plus élevé serait celui des Juifs ashkénazes avec un QI moyen d’environ 115.
Celui avec le QI moyen le plus faible serait le groupe des Aborigènes avec environ 62.

7/ Selon le consensus scientifique, aux Etats-Unis (pays où les études par ethnies sont autorisées), les Américains d’origine européenne ont un QI moyen d’environ 100 tandis que les Américains d’origine africaine ont un QI moyen d’environ 85.

8/ La baisse du QI moyen français peut en partie être expliquée par l’influence de l’immigration extra-européenne massive.

Bon courage à ceux qui voudraient tenter de prouver que ces huit affirmations sont fausses.

Paul Logier

Pour aller plus loin, sur l’intelligence humaine :

Sciences. 536 gènes liés à l’intelligence découverts, une percée majeure
Les enfants réfugiés sud-soudanais auraient un QI extrêmement faible
Taille du cerveau et intelligence seraient fortement liées
Sciences. Quarante gènes de l’intelligence découverts
Baisse du QI moyen en France : l’influence de l’immigration ?
[20 an après] The Bell Curve : Le QI moyen diffère entre les groupes ethniques
Danemark. Les conscrits extra-européens ont un QI inférieur à celui des conscrits européens
Emil Kirkegaard : « Le quotient intellectuel mondial est à peu près de 85 » [Entretien]

Crédit photo : Allan Ajifo [CC BY 2.0]
[cc] Breizh-info.com, 2017, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine

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34 réponses à “Ce que Laurent Alexandre n’osera jamais dire sur le QI [Tribune libre]”

  1. guylaine dit :

    Quand on entend que cette régression du QI des Européens dûe aux chances avec lesquelles on nous oblige à vivre, il y a de quoi se rebeller !

    • jaedena dit :

      C’est pire que cela. Avec la nature essentiellement génétique du QI (80% d’héritabilité à l’âge adulte), les 20% restants qu’on ne sait pas influencer, l’immigration de masse, et la fécondité délirante africaine, ce qui menace le monde est un second moyen-âge, causé par un effondrement global du QI dû à l’africanisation biologique du monde.

  2. clovis dit :

    Dans mon livre de géographie édité par  » une réunion de professeurs » cad les frères des écoles chrétiennes il y a un petit siècle, on pouvait lire  » les Annamites » sont le peuple le plus intelligent de la terre ». Les frères ds écoles chrétiennes avaient alors des établissements dans le monde entier. Ils savaient de quoi ils parlaient. Confirmation aujourd’hui par le QI,

  3. JeanPhi85 dit :

    « Bon courage à ceux qui voudraient tenter de prouver que ces huit affirmations sont fausses. » Déjà, cet exposé passe sous silence l’essentiel, à savoir la définition de l’intelligence. Il peut ensuite raconter n’importe quoi sur le QI « selon les scientifiques ».

    Le point 2, qui prétend que la culture n’influence pas le test de QI, est contradictoire avec tous ceux qui suivent, qui montrent une différence selon les populations donc la culture générale.

    Le point 3 montre que le QI ne mesure pas l’intelligence : « selon le consensus scientifique, le QI est fortement relié à de nombreux indicateurs individuels essentiels comme les résultats éducatifs et professionnels ou d’autres indicateurs sociaux ». Justement, résultats scolaires et test de QI sont frères ! Le QI est un test d’aptitude à la résolution de problèmes théoriques. C’est un procédé scolaire. Les bons élèves y réussiront mais pas les autres qui sont les meilleurs pour la société.

    Les plus grands créateurs et chefs d’entreprise sont autodidactes, c’est à dire ont eu des résultats scolaires désastreux. Les plus diplômés (X, ENA, HEC, Centrale, etc.) font carrière dans l’administration et parfois les grands groupes. Ils n’inventent jamais rien et ne créent pas d’entreprises. La grande intelligence ne se satisfait pas du « système », elle veut le transformer. C’est justement ce qu’on lui demande. Le QI est un outil du système, carrément insupportable par sa façon de vouloir faire entrer de force le bien le plus précieux de l’homme dans des boîtes.

    Ma définition de l’intelligence est la suivante : « raisonnement sur la connaissance ». C’est simple et très puissant. Cela fait trente ans que je l’utilise dans ma R&D en intelligence artificielle et elle ne m’a jamais fait faux bond. Je vais imiter Paul Logier : «  »Bon courage à ceux qui voudraient tenter de prouver que cette affirmation est fausse. »

    • Paul L dit :

      Bonjour Monsieur,

      Merci pour votre commentaire.

      1/ Sur la définition de l’intelligence. Si les définitions de l’intelligence sont évidemment multiples, il n’y a pas non plus de fossés entre ces définitions qui, peu ou prou, évoquent la même chose. Les spécialistes de l’intelligence humaine admettent tous que les tests de QI mesurent bien ce qu’on nomme intelligence.
      Mieux, les tests de QI mesurent très bien le G. Plus de détails ici : https://fr.wikipedia.org/wiki/Facteur_g

      Il n’y a personne parmi tous les scientifiques s’intéressant à la question (des psychologues aux chercheurs en intelligence humaine) qui nient la pertinence des tests de QI pour mesurer l’intelligence humain.

      2/ Rien de contradictoire. Un test de QI bien administré ne peut pas être biaisé culturellement. C’est-à-dire que certains tests de QI peuvent être administrés à des populations ne partageant pas la même culture que la nôtre (occidentale) voire même qui ne parle pas du tout la même langue.

      Si des personnes d’autres cultures que la nôtre ont des scores différents, ce ne peut donc pas être lié à des différences culturelles !

      Si ces différences intellectuelles ne peuvent pas être expliquées par des différences culturelles, il faut donc explorer d’autres pistes. L’importance de la génétique devrait déjà vous ouvrir quelques pistes de réflexion.

      3/ Les tests de QI et les résultats scolaires ne sont pas « frères », ils sont corrélés. En moyenne (j’insiste bien sur cette notion de moyenne), les personnes à haut QI feront de plus grandes études que les personnes à bas QI. Mais le QI est également corrélé avec de multiples indicateurs autres.
      Enfin, vous généralisez très largement lorsque vous écrivez : « Les plus grands créateurs et chefs d’entreprise sont autodidactes, c’est à dire ont eu des résultats scolaires désastreux. »

      4/ Pour finir, tous les points abordés dans ma tribune libre sont corroborés par des dizaines et des dizaines d’études scientifiques sur la question. Ce sont des affirmations qui font largement consensus parmi les spécialistes du sujet. En l’état actuel des connaissances, il s’agit d’une liste indéboulonnable de faits scientifiques.

      Bien à vous,

      Paul Logier

      • JeanPhi85 dit :

        Bonjour, Paul (restons civilisés),

        « il n’y a pas non plus de fossés entre ces définitions qui, peu ou prou, évoquent la même chose » Pas du tout d’accord ! Cela fait 3 ans que je discute sur la notion d’intelligence et je peux vous dire qu’on est loin d’un consensus. Regardez les définitions sur le web. Déjà, rares sont ceux qui reconnaissent l’évidence que l’intelligence repose sur le raisonnement. Alors on est mal parti…

        « Il n’y a personne parmi tous les scientifiques s’intéressant à la question (des psychologues aux chercheurs en intelligence humaine) qui nient la pertinence des tests de QI pour mesurer l’intelligence humain. » Lol ! Je ne rencontre que ça. Voyez sur Internet « pertinence des tests de QI ». Et que valent ces opinions de scientifiques qui ne savent pas ce qu’est l’intelligence au point qu’ils sont incapables de se mettre d’accord pour lui donner une définition simple ? Avouez que la mienne : raisonnement sur la connaissance » a le mérite d’être simple et claire et que, du coup, on peut en discuter (ce que vous n’avez pas voulu faire).

        « En l’état actuel des connaissances, il s’agit d’une liste indéboulonnable de faits scientifiques. » Ça, c’est ce qu’on appelle une pétition de principe ! Pour ma part, moi qui suis un scientifique spécialiste de l’intelligence artificielle, je me méfie terriblement de la validité du test de QI quand il s’agit d’embaucher un salarié intelligent, je ne l’ai jamais utilisé et ne m’en suis jamais porté mal.

        Pour résumer utilement, je dirai ceci : le test de QI pourra avoir une valeur quand il sera précédé d’une définition de l’intelligence qu’il prétend mesurer, PAS AVANT !

        Cordialement

        Jean-Philippe de Lespinay

      • Jaedena dit :

        L’intelligence qu’il prétend mesurer est le facteur général d’intelligence (g), qui est impliqué partiellement dans toutes les tâches cognitives, et qu’on mesure indirectement en l’extrayant par analyse factorielle d’une batterie de tests contenant divers types de tâches cognitives différemment chargées en g.

        Bien à vous.

    • Jaedena dit :

      Alors, dans l’ordre :1/ L’intelligence conceptualisée en une unique entitée peut être mesurée par des tests d’intelligence et quantifiée par le QI. La théorie de l’intelligence en tant qu’entité unique a été formulée par Spearman en 1904, qui a montré que toutes les facultées cognitives étaient positivement intercorellées, de tel sorte que les gens qui réussissaient bien certaines tâches avaient tendance à bien réussir toutes les autres. Spearman a conçu la méthode statistique de l’analyse factorielle afin de montrer que la performance à toutes les tâches cognitives était partiellement déterminée par un facteur commun. Il a désigné ce facteur commun g, pour « intelligence générale ». Pour expliquer l’existence de ce facteur commun, Spearman a proposé l’explication selon laquelle il doit y avoir une sorte de puissance mentale qui détermine la performance à toutes les tâches cognitives et est responsable de leur inter-corrélation positive.

      Concernant la définition de l’intelligence :
      L’intelligence est une capacité mentale très générale qui, en autres, implique la capacité de raisonner, planifier, résoudre des problèmes, penser de manière abstraite, appréhender les idées complexes, apprendre rapidement et apprendre de l’expérience. Cela reflète une large et profonde capacité à comprendre son environnement. (Gottfredson, 1997)

      Il s’agit du construit le plus fiable dont on dispose en sciences humaines (corrélation de 0.95 entre plusieurs tests, stable au long de la vie adulte, quand le cerveau a finit de se développer).

      2/ Il existe des tests cognitifs acculturels, tels que les matrices progressives de Raven, fortement chargées en g. Et vous commettez une erreur de logique : les différences entre les populations sont environnementales ET génétique (dérive génétique, séparation dans des environnements différents), donc on ne saurait attribuer à priori les différences de résultat moyen entre population à des différences de culture.

      Le QI a une héritabilité comprise entre 0.75 et 0.85 à l’âge adulte selon les études, ce qui veut dire que 75%-85% de la variance est attribuable à des facteurs génétiques. De plus, les jumeaux homozygotes élevés séparément ont à l’âge adulte une correlation de leur QI de 0.76, là où des frères adoptifs élevés ensemble ont à l’âge adulte une corrélation de leur QI de 0.04 (Assessing adult and adolescent intelligence, 2006). Ces faits détruisent la théorie de l’explication essentiellement environnementales des différences de QI.

      Concernant les différences entre groupe, d’après l’étude sur les adoptions transraciales dans le minnesota (https://en.wikipedia.org/wiki/Minnesota_Transracial_Adoption_Study), les enfants noirs adoptés par des familles blanches CSP+ avaient à l’âge adulte un QI moyen correspondant à la moyenne de leur groupe (83,7 soit un écart-type de moins que les blancs), les enfants blancs adoptés avaient à l’âge adulte un QI moyen de 101.5, soit la moyenne de leur groupe, et les hybrides avaient un QI moyen de 93.2, soit la moyenne des 2 groupes.

      Pour information, il est mesuré systématiquement 1-1.1 écart type de différence moyenne entre blancs et noirs aux USA. Différence stable depuis un siècle. Et les comparaisons de régressions vers la moyenne chez les frères et soeurs d’adultes à haut ou à bas QI chez les blancs et les noirs confirment que les régressions se font vers des moyennes différentes.

      3/ Ce n’est pas un procédé scolaire, étant donné que le test de QI consiste en différents items de différentes catégories, plus ou moins chargés en g, donc plus ou moins complexes, afin d’obtenir une approximation du facteur g sous-jacent, par analyse factorielle. On ne peut pas s’entrainer pour un test de QI tel que le Wechsler, qui est la référence.
      Sur quoi vous basez-vous pour dire que les mauvais éleves qui auront un résultat en dessous de la moyenne sont les meilleurs pour la société ? Les faibles QI ont les moins bons revenus, le taux de chomage le plus élevé, la plus grande criminalité, le plus d’enfants hors marriage, la plus forte aggressivité et impulsivité, le plus grand taux de maladie mentales, le plus haut taux d’infidélité, le plus grand taux de MST, etc. Bref, tous les problèmes sociaux sont inversement correlés au QI. Et les prix nobels, les grands inventeurs, ceux qui ont fait progresser le monde, ont des QI gigantesques. Les grands entrepreneurs n’avaient pas de résultats scolaires désastreux (des pans entiers de l’industrie française ont été bâtis par les polytechniciens), mais tout au plus un manque d’intérêt pour les filières classiques, prévues pour des QI pour courants.

      Au contraire, le système a horreur du QI, qui permet de briser l’idéologie égalitariste dominante, et qui cherche à attribuer toutes les différences de résultat à des formes d’oppressions, là où le QI et ses conséquences sociologiques omniprésentes peut fournir des explications rationnelles.

      Si vous avez besoin de plus d’explications ou de références, n’hésitez-pas.

      • JeanPhi85 dit :

        Désolé, Jaedena, votre exposé est beaucoup trop long et verbeux pour que je m’y attarde. J’ai été bref, vous ne pouvez pas montrer votre intelligence en étant clair et concis ?

      • Jaedena dit :

        Concernant la définition de l’intelligence :
        L’intelligence est une capacité mentale très générale qui, en autres, implique la
        capacité de raisonner, planifier, résoudre des problèmes, penser de
        manière abstraite, appréhender les idées complexes, apprendre rapidement
        et apprendre de l’expérience. Cela reflète une large et profonde
        capacité à comprendre son environnement.

        Les facultées cognitives sont intercorrellées, ce qui indique l’existence d’un facteur d’intelligence générale (g). Le QI a pour but de quantifier ce facteur.
        Il s’agit du construit le plus fiable dont on dispose en sciences humaines (stable, corrélation de 0.95 entre plusieurs tests).

        2/ Les matrices progressives de Raven sont un test de QI acculturel, et permettent donc de comparer des populations différentes. Et vous commettez une erreur de logique : les différences entre les populations sont environnementales ET
        génétiques donc attribuer à la culture les différences est un raccourci.

        Le QI a une héritabilité à l’âge adulte de 80%, et les vrais jumeaux élevés dans des familles différentes ont un QI correlé à 0.76. De plus, les enfants noirs adoptés par des familles blanches CSP+ aux USA ont en moyenne le QI moyen de leur groupe biologique à l’âge adulte. Ces faits détruisent la théorie environnementale des différences de QI.

        3/ Ce n’est pas un procédé scolaire, étant donné qu’on ne peut pas s’entrainer pour un test de QI.

        Votre assertion sur les faibles QI meilleurs pour la société est fausse, étant donné que tous les problèmes sociaux sont négativement correlés avec le QI, que ce soit entre individus, ou entre populations.

        Enfin, vous avez faux sur le QI et le système, étant donné que l’idéologie dominante marxiste explique que toutes les différences de résultat entre individus ou populations sont la conséquence d’oppression et de préjudice historique, là où les études autour du QI permettent de prouver le contraire.
        Les « intellectuels » du système sont dans la sociologie, la psychanalyse et l’économie, pas dans la psychométrie. Avez-vous entendu parler d’un seul psychométricien français ?

      • JeanPhi85 dit :

        Jaedena, je dois vous remercier et vous féliciter pour votre définition intéressante de l’intelligence. C’est un exploit assez rare pour être signalé : « L’intelligence est une capacité mentale très générale qui, en autres, implique la capacité de raisonner, planifier, résoudre des problèmes, penser de manière abstraite, appréhender les idées complexes, apprendre rapidement et apprendre de l’expérience. Cela reflète une large et profonde capacité à comprendre son environnement. »
        Votre définition contredit-elle la mienne, beaucoup plus courte et puissante (puisque je l’ai programmée et l’utilise depuis 30 ans pour développer des programmes en langage naturel) : intelligence = raisonnement sur de la connaissance ?

        1) nous sommes déjà d’accord sur le rôle déterminant de la capacité de raisonnement
        2) la planification ne fait pas intervenir d’intelligence mais de la mémoire (pour simplifier) : le test du labyrinthe par exemple.
        3) Résoudre un problème fait appel à du raisonnement appliqué à de la connaissance et à du tâtonnement.
        4) appréhender une idée complexe c’est la simuler dans son esprit par le biais du raisonnement avec l’aide de sa connaissance
        5) apprendre de l’expérience c’est mon invention, la Maïeutique, faite en 1986 : une méthode d’extraction des connaissances inconscientes sous forme de règles en langage naturel exploitables par le raisonnement. C’est une connaissance, sur laquelle on peut raisonner. Il y a aussi l’apprentissage type arc-réflexe (réseau neuronal) qui ne fait pas appel à l’intelligence mais aux statistiques.

        Vous voyez, on en revient toujours à raisonnement x connaissance et le test ed QI est complètement inapte sous cet angle…

      • JeanPhi85 dit :

        Jaedena, je n’ai plus de nouvelles de vous depuis 6 jours. J’en conclus que mon argumentation a porté et qu’une fois définie l’intelligence on se rend compte que le test de QI ne la mesure pas.La discussion est donc close.

        D’ailleurs, vous n’avez cessé de répéter qu’il y a « consensus scientifique » sur la validité du QI. Pourtant, récemment, un grand scientifique s’est justement dressé contre cette unité de mesure qu’il juge faussée (voyez le Breizh Info d’hier soir 31 octobre) : « The basic misenderstanding is assuming test scores are unit of measurement like inches or liters or grams. They are not. » Il explique que ce test permet de comparer des populations mais n’évalue pas l’intelligence intrinsèque d’un individu.

      • JeanPhi85 dit :

        Jaedena, je n’ai plus de nouvelles de vous depuis 10 jours. J’en conclus que mon argumentation a porté et qu’une fois définie l’intelligence on se rend compte que le test de QI ne la mesure pas.La discussion est donc close.

        D’ailleurs, vous n’avez cessé de répéter qu’il y a « consensus scientifique » sur la validité du QI. Pourtant, récemment, un grand scientifique s’est justement dressé contre cette unité de mesure qu’il juge faussée (voyez le Breizh Info d’hier soir 31 octobre) : « The basic misenderstanding is assuming test scores are unit of measurement like inches or liters or grams. They are not. » Il explique que ce test permet de comparer des populations mais n’évalue pas l’intelligence intrinsèque d’un individu.

      • Ludo22 dit :

        Facile…

      • Ludo22 dit :

        CQFD.

    • Abrux dit :

      « Les plus grands créateurs et chefs d’entreprise sont autodidactes, c’est à dire ont eu des résultats scolaires désastreux. Les plus diplômés (X, ENA, HEC, Centrale, etc.) … » – En France ou dans les monde ?

      En France, ce sont plutôt les bac+2 (IUT, BTS) qui émergent pour les entreprises moyennes. Ils se sentent bloqués dans un système français totalement bloqué.

      Ne pas non plus confondre courage et intelligence. Autidacte et résultat scolaire parfois excellent avant d’en sortir, notamment il y a 50 ans.

      Pour les derniers très grands créateurs d’entreprises en France : Francis Bouygues : Centralien, Bernard Arnaud : X.

      Les plus grands qui dominent le monde : Bill Gates, Steve Jobs, Zukerbeg, Google: Page et Brin… étaient tous brilliants sciientifiques. Les parents des fondateurs de Google, notamment Brin : Scientifiques refugiés juifs russes, NASA … Et Warren Buffet qui calcule de tête sans ordinateur.


      Tout cela va dans le sens de l’article

      • JeanPhi85 dit :

        « Bill Gates, Steve Jobs, Zukerbeg, » de brillants scientifiques ! Et puis quoi encore ? Il n’y a qu’à voir l’absence de service recherche dans leurs entreprises, l’absence totale d’innovations chez Microsoft depuis plus de 20 ans. Le multifenêtre et la souris ont été pompé chez Xerox, etc. Quant à Zuckerberg, à ma connaissance il est sans diplôme et Facebook sans la moindre innovation.

        D’accord pour Francis Bouygues mais c’est un cas vraiment à part. Dans ce cas citons Xavier Niel, sans diplôme et tout de même le roi de l’innovation qui a réussi dans un système tout entier dressé contre lui.

        Au cours de ma vie j’ai été frappé de n’avoir jamais vu de création d’entreprise réussie faite par un grand diplômé (X, Ena, HEC, Centrale, etc.), les plus belles réussites étant le fait d’autodidactes.

        Tout cela démontre que l’article ne tient pas debout.

    • Ludo22 dit :

      « Les plus grands créateurs et chefs d’entreprise sont autodidactes, c’est à dire ont eu des résultats scolaires désastreux ».

      Quelques non bacheliers célèbres:
      René Monory, Pierre Bérégovoy, Yves Montand, Fabrice Luchini ou encore Bernard Tapie, pour ne citer qu’eux, sont de ceux-là.

      Cependant des études sérieuses ne nuisent pas:

      Marcel Dassault, né Marcel Ferdinand Bloch le 22 janvier 1892 dans le 9ᵉ arrondissement de Paris et mort le 17 avril 1986 à Neuilly-sur-Seine, est un ingénieur , homme politique et entrepreneur français. Wikipédia

      Carlos Ghosn dit Bichara, né le 9 mars 1954 à Porto Velho au Brésil, est un industriel libano-brésilien-français. Wikipédia
      Date et lieu de naissance : 9 mars 1954 (63 ans), Porto Velho, Rondônia, Brésil
      Taille : 1,7 m
      Profession : Industriel
      Enseignement : École nationale supérieure des mines de Paris (1978)

      « QI est un test d’aptitude à la résolution de problèmes théoriques. C’est un procédé scolaire. Les bons élèves y réussiront mais pas les autres qui sont les meilleurs pour la société  »

      Dans quel film ? :)

      « Le QI est un outil du système, carrément insupportable par sa façon de vouloir faire entrer de force le bien le plus précieux de l’homme dans des boîtes. »

      Ah ! le système !
      L’ étude des différences de QI parmi les « supposées races humaines » n’ est pas demandée par le « système », au contraire, le politiquement correct la condamne.
      Cependant la corrélation entre différences de QI et développement saute aux yeux des moins bornés.

      • JeanPhi85 dit :

        Inutile de citer les rares cas de chefs d’entreprises ayant réussi. On dirait l’arbre qui cache la forêt.

        « Dans quel film ? :) » Merci pour ce mépris mal déguisé. Là, je fais appel à votre intelligence : les meilleurs pour la société sont ceux qui réussissent ce qu’ils ont créé (Bouygues, Niel, etc.), pas ceux qui réussissent en gérant un existant créé par d’autres (Carlos Ghosn). J’espère que vous comprendrez ce postulat sans éprouver le besoin d’aller au cinéma.

        « Cependant la corrélation entre différences de QI et développement saute aux yeux des moins bornés. » Encore ce mépris qui ne court pas le risque d’argumenter. Un mépris qui plus est stupide puisque justement l’article de Paul Logier démontre le contraire, à savoir que le QI des moins développés (asiatiques de l’Est) est souvent plus élevé que celui des plus développés (occidentaux)…

        La prochaine fois, tournez votre langue 7 fois dans votre bouche avant d’exhaler votre mépris… Merci.

      • Jaedena dit :

        Qui sont-ils, vos grands entrepreneurs et inventeurs à faible QI ? Des noms ?

        La corrélation entre QI et développement est une réalité, que ce soit entre individus, ou entre populations. Dans IQ and the wealth of nations, elle est mesurée à 0.62 pour les nations. Quasiment tous les pays les plus pauvres sont également ceux dont le QI moyen est le plus faible, et au sein des pays, les populations avec le QI le plus élevé sont aussi les plus riches, et celles avec le QI le plus faible sont les plus pauvres.

        Concernant l’Asie de l’est, leurs revenus en occident sont plus élevés que ceux des autochtones, et hors communisme en Chine et Corée du nord, leur revenus sont aussi élevés que les pays européens.

      • JeanPhi85 dit :

        Jaedena, voyez ma réponse ci-dessus à Ludo22

      • Ludo22 dit :

        « Inutile de citer les rares cas de chefs d’entreprises ayant réussi. On dirait l’arbre qui cache la forêt. »

        Les chefs d’ entreprise ayant réussi possèdent donc obligatoirement un QI d’ huitre ?
        Ne feriez-vous un amalgame fâcheux entre QI élevé et diplômes ?

        Autodidacte ne signifie pas cancre scolaire, mais travail personnel solitaire pour quelqu’ un qui n’ a pas suivi un cursus d’ études supérieures (milieu social, impossibilité économique).
        Cela dénote l’ existence d’ un QI supérieur permettant de réussir autrement que par la voie des grandes écoles.
        S’ il suffisait d’ être un cancre pour réussir dans la vie cela se saurait :)

        « QI est un test d’aptitude à la résolution de problèmes théoriques. C’est un procédé scolaire. Les bons élèves y réussiront mais pas les autres qui sont les meilleurs pour la société  »

        Par quel tour de passe-passe les mauvais élèves, ceux qui rateraient les tests de QI parce qu’ ils s’ avèrent être des cancres scolaires, seraient-ils « les meilleurs pour la société » ?

        Encore une fois confusion entre QI élevé et diplômes scolaires.
        On peut sortir de l’ ENA et être con comme un balai, nous en avons plus d’ exemple que nous le souhaiterions ou au contraire ne pas avoir suivi de longues études, posséder un QI élevé et réussir, par un travail de formation personnelle, dans la création et le développement d’ une entreprise.
        Par contre, être à la fois un cancre et se tirer un 70 de QI ne laisse pas d’ énormes chances d’ ascension sociale.

        « Paul Logier démontre le contraire, à savoir que le QI des moins développés (asiatiques de l’Est) est souvent plus élevé que celui des plus développés (occidentaux)… »

        L’ affirmation est que les Asiatiques nous ont rattrapés puis dépassés en QI moyen. Ils montent alors que nous régressons. Cela a pour conséquence qu’ ils sont en passe de nous enterrer sur le plan du développement et de la création de richesse. Un cauchemar pour les USA qui voudraient bien conserver leur leadership sur le monde, une cécité volontaire (autruche) pour l’ Europe qui brade sa technologie pour des bénéfices à court terme qui la mènent à sa perte à moyen terme.
        Le Maghreb et l’ Afrique par contre ont un développement en adéquation avec leur QI moyen.
        Il s’ agirait maintenant pour nous de ne pas les rejoindre alors que nous sommes en phase de paupérisation et de tiers-mondisation, mais il semble que tout soit fait pour que cela s’ accélère: immigration massive originaire de pays à bas QI, destruction de l’ éducation nationale, société déculturée et volontairement abêtie…

      • JeanPhi85 dit :

        « Ne feriez-vous un amalgame fâcheux entre QI élevé et diplômes ? » J’explique justement le contraire ! Je pense que les résultats scolaires ne sont absolument pas le reflet de l’intelligence et que plus le diplôme est élevé moins il mène à une carrière réussie et plus il mène à une carrière de fonctionnaire (ou de médecin). Or, ces gens-là forment le « système » corrompu dont nous souffrons.

        « S’ il suffisait d’ être un cancre pour réussir dans la vie cela se saurait :) » Moi je vous réponds :S’ il suffisait d’ être un polytechnicien ou un énarque pour réussir dans la vie (hormis dans l’administration) cela se saurait ».

        « L’ affirmation est que les Asiatiques nous ont rattrapés puis dépassés en QI moyen. Ils montent alors que nous régressons ». Je n’en crois rien. Je pense que l’intelligence du Français est toujours aussi élevée et la réussite économique de la France (productivité entre autres) en dépit du poids exorbitant du système en est la preuve. Un Français ne peut pas devenir moins intelligent d’une génération à l’autre dans un monde en progrès exponentiel, ça ne tient pas debout. C’est une raison supplémentaire de douter de la valeur du QI.

        « La corrélation entre QI et développement est une réalité » : alors, quand le Japon, à force de nous copier, est devenu plus fort économiquement que la France c’est que les japonais étaient devenus plus intelligents que nous ? Et quand les Coréens et les Taïwanais ont pris la suite c’est qu’ils étaient plus intelligents ? Et maintenant les Chinois qui leur succèdent et sont en train de les dépasser économiquement sont devenus plus intelligents qu’eux et nous ? Vous ne voyez pas ce que c’est absurde ?

        Le QI ne mesure pas l’intelligence mais la façon scolaire d’aborder un test parfaitement artificiel. L’intelligence est un outil pour simuler l’univers réel ! Pas pour résoudre des problèmes théoriques inventés par des scientifiques torturés autant qu’exclus du monde réel.

      • Sophie Leac dit :

        Il est très difficile de mesurer l’intelligence. De plus la place de la dimension culturelle des tests n’est pas à négliger…

      • JeanPhi85 dit :

        Oui, on est d’accord.

      • Sophie Leac dit :

        Vous confondez don et talent comme De très nombreux auteurs d’ailleurs. De surcroit le talent peut prendre differentes formes (academique, artistique etc). Le talent recouvre toutes les activités humaines. On peut être doué sans être talentueux. La question est de savoir si la réciproque est vraie…

      • JeanPhi85 dit :

        Ici, on ne parle pas de talent ni de don mais de QI et d’intelligence.

      • Sophie Leac dit :

        Mais si… QI don et talent sont liés…

  4. Pschitt dit :

    N’accablez pas trop Laurent Alexandre. En tant que scientifique, il est probablement très conscient de l’incidence de l’immigration sur le niveau moyen du QI en France. Mais sans une concession au philosophiquement correct du genre « la différence n’est pas génétique », avait-il la moindre chance que son interview paraisse dans un journal de premier plan ?

  5. FrenchboyinHanoi dit :

    Quid de la possibilité qu’eventuellement il se pourrait que ce médecin ai raison et que le niveau d’éducation au effectivement baissé. Avec des raisonnements comme cela, on dirait que le monde est simple. Si on veut augmenter le niveau de qi il faut réduire l’immigration donc. Moi je conteste les conclusions scientifique américaine, ou les vôtres. Puisque vous concluez que si les qi sont différents selon les origines géographique des populations, la raison serait génétique. Mais on pourrait aussi dire qu’avec le phénomène de ghettoisation, l’accès à l’éducation et inégale entre les groupes de différentes origines. Ce qui tend à prouver que le qi n’est pas génétique mais plutôt lié à l’éducation. Enfin bon bien-sûr qu’il y a des biais dans chacune de ces affirmations… Et donc chacune est réfutable.

    L’eugénisme est une invention de la science c’est pourquoi il faut toujours rester prudent.

    Dans le fond le vrai problème est « comment allons nous réagir face à l’arrivée de l’IA dans nos vies. »

    • Paul L dit :

      Bonjour Monsieur,

      Merci pour votre commentaire.

      1/ « Quid de la possibilité qu’eventuellement il se pourrait que ce médecin ai raison et que le niveau d’éducation au effectivement baissé. »

      C’est évidemment une explication plausible mais ce n’est pas la seule. La première des variables quand on s’intéresse au QI, c’est la génétique, pas l’éducation.

      2/ « Mais on pourrait aussi dire qu’avec le phénomène de ghettoisation, l’accès à l’éducation et inégale entre les groupes de différentes origines. Ce qui tend à prouver que le qi n’est pas génétique mais plutôt lié à l’éducation. »

      Les études scientifiques sur la question de la part de la génétique et de l’environnement (éducation entre autres) ont été réalisées et validées par tous les spécialistes de la question. Leur conclusion est sans appel : le QI dépend à la fois de la génétique et de l’environnement, avec une prépondérance claire de la génétique.

      3/ « Enfin bon bien-sûr qu’il y a des biais dans chacune de ces affirmations… Et donc chacune est réfutable. »

      Cf. point précédent. Les spécialistes de la question sont tous d’accord. Votre affirmation n’a donc – j’en suis vraiment désolé – que peu de valeur comparée aux dizaines d’études scientifiques menées sur la question.

      Cordialement,

      Paul Logier

    • Ludo22 dit :

      En France, pays où la scolarisation est obligatoire et gratuite jusqu’ à l’ âge de seize ans, on ne peut soutenir que l’ accès à l’ éducation est inégal.
      S’ il l’ est, c’ est plutôt à l’ encontre de la population de souche qui ne bénéficie pas de l’ investissement supérieur concédé aux zones de regroupement d’ ethnies allogènes: ex. les zones d’ éducation renforcée, les classes de 12 élèves de CP mises en place par le ministre en poste.
      L’eugénisme est l’attitude philosophique ou la théorie qui préconise une amélioration du patrimoine génétique de certaines populations humaines par la sélection, par l’interruption de la grossesse, par l’interdiction de la reproduction des individus considérés comme inférieurs ou même par élimination. Source: La Toupie.org
      Il suffit de constater la couleur dominante dans les files d’ attente devant les bureaux de la CAF pour admettre que ce danger est inexistant en France et qu’ il s’ agit d’ un leitmotiv récurrent des égalitaristes forcenés visant à salir toute idée contraire à leur idéologie.

    • Jaedena dit :

      Les différentes populations humaines ont des QI moyens de groupe différents. On peut comparer, vu qu’il existe des tests sans facteur culturel, telles que les Matrices Progressives de Raven.

      Le QI, à l’âge adulte, c’est 80% de génétique et 20% d’environnement, mesuré par les études sur les jumeaux, et sur les adoptions, y compris entre races. On se sait pas comment manipuler la part environnementale, autre que vers le bas avec sous nutrition, deficit iode, etc.

      Vu que l’immigration concerne des populations issues de pays dont le QI moyen est plus faible, oui, mécaniquement, cela diminue le QI moyen du pays de destination.

      Aux USA, la différence de QI entre blancs (100) et noirs (85) est constante depuis un siècle. Aucune tentative d’augmenter significativement de manière durable le QI des enfants noirs n’a jamais réussit (Head Start, etc). Même les adoptions d’enfants noirs par des familles blanches CSP+ n’augmentent pas durablement le QI des adoptés, à l’âge adulte les effets disparaissent.

      Enfin, les chercheurs en psychométrie ne se contentent pas d’affirmations gratuites, l’une valant une autre : ils accumulent des indices en appliquant des techniques statistiques, dont les résultats doivent pouvoir être reproduis, et en améliorant de manière continue la méthodologie de leurs études afin de les protéger des biais découverts.

  6. Robin dit :

    « Bon courage à ceux qui voudraient tenter de prouver que ces huit affirmations sont fausses. »
    Effectivement, elles sont globalement exactes, mais voici malgré tout quelques commentaires tout droit tirés du dernier best-seller de Laurent Alexandre intitulé « La guerre des intelligences ».
    Ce qui me dérange, c’est que les assertions proposées pourraient donner au lecteur partisan une confirmation erronée de ses préjugés, ce que j’ai pu lire quelques commentaires plus bas. Permettez-moi de remettre l’église au milieu du village, sans aucunement attaquer la validité de votre article.
    D’abord on ne peut pas nier le caractère inné du QI, ce que l’auteur ne manque pas d’expliquer dans son livre :
    « En synthèse, il est aujourd’hui établi que notre ADN détermine au moins 50 % de notre intelligence. Les environnements familial et scolaire doivent se partager une part déjà minoritaire »
    Comme vous l’avez dit, le QI est également fonction du vécu, en des proportions malgré tout considérables (20 à 50 %).
    Que pensez des différences de QI à l’international dans ce cas ?
    Comment les expliquez?
    Laurent Alexandre réfute l’hypothèse génétique : »… il n’y a pas de différences potentielles entre les « races » : leur individualisation est tellement récente dans l’histoire humaine que c’est génétiquement impossible… »
    De plus, l’effet Flynn démontre que ce sont les différences liées à l’environnement qui engendrent les différences de QI entre les « races ».
    (« L’effet Flynn désigne l’accroissement des scores aux tests calculant un quotient intellectuel observé en comparant une population donnée sur plusieurs générations. » (Wikipédia))
    Causes de l’effet Flynn :
    « Les essais d’explication incluent la nutrition, la diminution de la taille des familles, une meilleure éducation, l’égalité homme/femme, une plus grande complexité d’environnement ainsi qu’une forme d’eugénisme. Une autre proposition serait tout simplement que nous sommes de plus en plus familiarisés avec ces types de test. » (Wikipédia again)
    Le décalage de QI entre les multiples peuples provient du décalage temporel de leur effet Flynn respectif.
    Ainsi, l’Europe a augmenté son QI moyen de 21 points de 1952 à 1982 (ça vient encore de « La guerre des intelligences »)
    Il est raisonnable de penser que les populations en de pays en voie de développement profiteront également de Flynn.
    Un exemple notable nous est offert par l’Asie, dont le QI moyen dépasse désormais le nôtre.

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