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François Xavier Clément : « La formation des professeurs depuis plusieurs décennies s’est dégradée sur le plan disciplinaire »

En matière d’éducation, peu de personnes allient la pratique et la capacité à la théoriser — pour le meilleur — comme François-Xavier Clément, ancien directeur de l’enseignement catholique dans la Loire et chef d’établissement du groupe scolaire de Saint-Jean de Passy, à Paris, jusqu’au printemps 2020.  La preuve en est apportée dans son ouvrage tout juste paru aux Éditions Artège, La voie de l’éducation intégrale.

Présentation de l’éditeur :

L’enfant n’est pas seulement un cerveau avec un cartable, l’enfant ne se réduit pas à une boîte à savoirs. Fort de cette conviction, tout parent désire l’épanouissement de son enfant dans toutes ses dimensions. C’est le pari de l’éducation intégrale.
À une époque où les repères s’effacent et les structures éducatives sont à la peine, seule une vision moderne de l’éducation fondée sur l’humanisme chrétien est en mesure de répondre aux défis contemporains. Dans cette perspective, l’enfant est considéré non seulement pour lui-même, mais aussi en vue d’une participation effective au bien de la société.
Nourri d’une irremplaçable expérience de terrain dans le monde scolaire, l’auteur développe une approche innovante et accessible à tout parent comme à tout enseignant. Principes théoriques et applications pratiques sont ainsi parfaitement mariés pour donner naissance à un ouvrage qui, pour la première fois, synthétise avec grand talent l’éducation intégrale dans toutes ses composantes.

Nous avons interrogé François-Xavier Clément pour évoquer son livre.

Breizh-info.com : Pouvez-vous vous présenter à nos lecteurs ?

François Xavier Clément : Philosophe de formation, je suis père de quatre enfants, j’ai enseigné et j’ai dirigé plusieurs établissements scolaires catholiques. J’ai commencé ma carrière au Prytanée de la Flèche, puis à Nantes au collège Théophane Vénard, ensuite comme directeur des études du lycée Saint-Jean-Baptiste de la salle à Nantes aussi. Après j’ai pris des responsabilités au Collège de Marcq dans le Nord et à Paris. Sinon j’ai été directeur de l’Enseignement catholique du diocèse de Saint-Étienne durant 7 ans. Et je suis par ailleurs auditeur de l’IHEDN. 

Breizh-info.com : Qu’est-ce qui vous a amené d’abord à devenir enseignant, puis, plusieurs décennies après, à écrire votre livre, sorte de bilan, mais aussi de leçons et d’espérance quant au système éducatif français ?

François Xavier Clément : C’est la passion pour l’éducation et la croissance intégrale des enfants qui m’a conduit à enseigner et à devenir ce cadre éducatif. Ma formation philosophique m’a toujours conduit à beaucoup de liberté vis-à-vis du système éducatif français et de l’enseignement privé sous contrat en particulier. Ce livre fut pour moi l’occasion de partager mes convictions éducatives sur le sens de la vie, sur ce qu’est une vie réussie. C’est le fruit de ma formation, de mon éducation, de ma filiation avec quelques maitres et de mon expérience de 25 ans dans diverses structures éducatives. Par ailleurs, au moment de quitter l’Enseignement catholique j’ai souhaité revenir ce qui a donné du sens à mon action et qui est motif d’espérance. Pour être honnête, j’ai connu des moments très heureux durant lesquels j’ai pu assumer mes convictions de catholique engagé, mais à d’autres moments ce fut plus pénible, car je n’ai pas été soutenu par ma hiérarchie. 

Breizh-info.com : Pourquoi avez-vous été mis à la porte de Saint-Jean de Passy ?

François Xavier Clément : L’indépendance dont je vous parlais précédemment n’a jamais plu à tout le monde. Autant certains acteurs de l’enseignement catholique trouvaient intéressant qu’il y ait un directeur un peu indépendant qui fasse entendre une musique un peu différente, autant ce ne fut pas le cas du directeur diocésain de Paris qui ne m’a jamais caché son aversion pour mes idées, pour la mise en place d’un uniforme à Saint-Jean de Passy, pour l’installation d’une statue de la Vierge Marie dans la cour d’honneur entourée du drapeau français et du drapeau européen. Par ailleurs, il est vrai que le management d’un établissement scolaire qui a pour objectif l’éducation intégrale est quelque chose de très délicat. En effet, l’éducation intégrale a pour levier principal l’exemplarité des adultes et cette exemplarité s’accompagne et se dirige. Et plus l’établissement est exigeant avec les élèves et plus il est cohérent d’être exigeant avec les adultes. Cette exigence n’est pas une évidence, car elle concerne l’unité personnelle de chacun et elle n’est donc pas toujours bien vécue. Pourtant je ne connais pas d’autre moyen de faire grandir les enfants que de leur offrir des adultes exemplaires à leur côté. Cela ne signifie pas qu’ils soient parfaits ! Mais ils doivent être exemplaires, c’est-à-dire des exemplaires de ce qu’ils professent, de ce qu’ils enseignent ou de ce qu’ils exigent. 

Sur la question de la tenue scolaire il me parait essentiel que les enfants quand ils entrent à l’école, au collège et au lycée revêtent une tenue qui les institue dans leur statut d’élève. La plupart des enfants entrent en classe dans la tenue et l’état d’esprit dans lequel ils vivent leurs activités quotidiennes et ne font aucune différence entre l’environnement scolaire et l’environnement familial ou sportif. Ils conservent les codes vestimentaires ou relationnels dans lesquels ils vivent quotidiennement. Revêtir une tenue scolaire, sans que cela suffise bien évidemment, leur permettrait de se préparer psychologiquement à entrer dans un nouvel environnement qui a sa culture et ses règles en cohérence avec la finalité de l’enseignement. Dans les établissements qui ont fait le choix d’instaurer une tenue harmonisée, les enfants en comprennent très bien le sens. À chaque activité et à chaque situation de la vie, conviennent des tenues différentes. L’attention qui est attendue des élèves est avant tout une attitude psychologique qui peut être obtenue par des rites qui disposent la sensibilité, notamment l’imagination, et facilitent la concentration sur l’apprentissage. La mise en place d’un uniforme permettrait de plus de réduire les écarts sociaux entre les élèves, de faciliter leur intégration, de disposer à davantage de sobriété dans les territoires de favorisée sur le plan économique, et de diminuer la tyrannie de la mode vestimentaire qui provoque de vraies souffrances chez les jeunes et suscite de nombreux larcins de vêtements de marques.  

Breizh-info.com : Vous dites que l’enfant n’est pas seulement un cerveau avec un cartable ni une boite à savoirs. Est-ce la manière dont, aujourd’hui, l’Éducation nationale voit l’enfant ?

François Xavier Clément : Dans le système scolaire, l’enfant est très vite considéré comme évaluable, comme un apprenant soumis à une mesure, comme un cerveau qui doit retenir des savoir-faire et des savoir-être. On regarde l’enfant dans son statut d’élève en oubliant qu’il s’agit d’un enfant et même parfois d’une personne humaine. Quand un enfant ne parvient pas à réaliser la tâche qui lui est demandée, on affirme immédiatement qu’il a un problème d’apprentissage d’ordre cognitif. Les conséquences de la philosophie cartésienne vont jusqu’à oublier que l’enfant à un corps, il a une sensibilité, il a un cœur et une affectivité. On a oublié que son attention ou sa concentration n’est pas le fruit d’une décision, mais un apprentissage lent et profond qui s’acquière par une répétition d’actes. On a oublié que la mémoire n’est pas une carte avec une capacité inscrite à vie comme pour une clé USB. Elle est une faculté que l’on peut développer et grâce à laquelle on conserve un très grand nombre de connaissances à force d’entrainement. La mémoire s’entraine et se développe comme un muscle ! On a oublié que l’imagination est une capacité de création et non pas seulement le réceptacle des images animées ou non que nous livrent les écrans.  C’est ainsi que nos mémoires et nos imaginations sont sous-développées dans le système scolaire actuel. Une vision intégrale de la personne permet de comprendre cela et d’intégrer toutes ces dimensions de la personne humaine dans la croissance holistique de l’enfant. 

Breizh-info.com : Qu’est-ce que l’éducation formée sur l’humanisme chrétien que vous prônez ? En quoi diffère-t-elle de l’instruction proposée aujourd’hui dans les établissements scolaires sous contrat (y compris privés) ?

François Xavier Clément : L’humanisme chrétien est héritier d’une conception de la personne et de la vie humaine qui permet d’accompagner les actes éducatifs quotidiens en déployant les racines et les ailes des élèves. Cette conception comporte une vision essentielle qui change tout l’ordre éducatif, car elle lui donne sa finalité ultime, c’est-à-dire la vie éternelle. Le véritable et ultime enjeu de l’éducation intégrale c’est le salut des enfants et non pas seulement leur bienêtre actuel. Et cette finalité est radicalement différente de celle du bonheur terrestre, car cet objectif transforme notre conception de la réussite, transforme notre rapport à l’engagement, transforme notre rapport à la vie, transforme notre rapport à la souffrance et à la mort. C’est en ce sens que la perspective de l’éternité permet à l’éducation d’être intégrale, ou plus exactement c’est parce que l’éducation vise le Salut de l’enfant et lui offre une Espérance de vie éternelle, qu’elle devient intégrale. Cette conception est innovante parce qu’elle a été perdue et ce que je propose dans mon livre c’est d’en retrouver toute l’actualité. 

Breizh-info.com : Est-ce selon vous le rôle de l’Éducation nationale que de formater les enfants dans un moule « républicain », de leur apprendre des « droits et des devoirs » ou encore des « valeurs » ? 

François Xavier Clément : En aucun cas ! Cela est évidemment très pernicieux. Mais ce n’est pas le rôle de l’Église non plus ou même des parents de formater les enfants dans un moule. L’éducation c’est avant tout un processus de libération de l’enfant qui devient adulte à partir du moment où il est capable de choisir par lui-même ce qui est bon pour lui. Mais votre question soulève un problème très grave sur le processus d’endoctrinement que l’État a engagé depuis bien longtemps. Les programmes de l’éducation nationale sont depuis bien longtemps structurés par des doctrinaires à l’idéologie ravageuse. L’idéologie de quelques-uns au pouvoir domine les choix intellectuels des professeurs et de leur formation en amont. Cela commence dans les orientations de la recherche à l’Université et se termine dans la mémoire de nos enfants. Nous avons connu les affres des méthodes pédagogiques ubuesques qui ont conduit à enseigner les mathématiques comme une abstraction dès les classes élémentaires ou la déconstruction de l’apprentissage de la lecture par une globalisation intellectualisée. Tout cela a conduit à un système paradoxalement très élitiste dans lequel les élèves capables de réussir par eux-mêmes réussissent et les autres ont besoin d’un accompagnement ou de soutien. Heureusement la sanction du réel a conduit ces folies de la rue de Grenelle à un peu moins d’arrogance. Mais l’idéologie du Gender à laquelle vous faites allusion est plus grave encore. Autant les errances pédagogiques conduisent à l’ignorance ou à l’incapacité à penser par soi-même, autant les études du Gender ont pour effet de déstabiliser l’unité psychologique des jeunes adolescents dans la construction de leur unité sexuée. Enseigner en cours de biologie (SVT) en classe de seconde que le sexe physique ne doit en rien déterminer le sexe psychologique, ouvre une brèche existentielle et crée une alternative des possibles entre hétéro et homosexualité là où jusqu’à présent le chemin de l’altérité et de la complémentarité était perçu comme le plus conforme à la nature. Cette idéologie a envahi toutes les étapes de la scolarité par des livres de lecture enfantine ou des romans de jeunesse très orientés. Finalement on peut affirmer que le ministère de l’Éducation nationale est davantage affairé au formatage idéologique des jeunes générations qu’à la formation de leur intelligence par une transmission des méthodes et des savoirs. 

Breizh-info.com : En quoi l’Éducation à la liberté est-elle fondamentale, et quelles formes doit-elle prendre ?

François Xavier Clément : La formation à la liberté est fondamentale, car c’est parce qu’il est libre que l’homme peut assumer la responsabilité personnelle de ses actes, c’est parce qu’il est libre qu’il peut penser par lui-même, c’est parce qu’il est libre qu’il peut s’engager et servir une cause, c’est parce qu’il est libre qu’il est admirable quand il se donne gratuitement et définitivement dans le mariage ou dans la vie religieuse. C’est pour cela que l’éducation à la liberté doit-être un axe majeur des actes éducatifs en famille comme à l’école. Et l’apprentissage de la liberté nécessite avant tout une formation de l’intelligence, c’est-à-dire des connaissances pour être éclairé sur ce qui est bien et ce qui est mal et sur les circonstances de l’agir humain. Notre conscience humaine ne tourne pas à vide, elle est la faculté intellectuelle qui permet d’examiner nos actes avant, pendant et après leur réalisation. Après la formation de l’intelligence, il convient d’apprendre à l’enfant et au jeune adolescent de se libérer de ses passions en apprenant à les maitriser. C’est un aspect majeur de l’éducation à la liberté. S’il n’y a pas de maitrise des passions, alors l’adolescent sera livré à ses pulsions, à ses envies du moment, à ses caprices qui se reproduiront inlassablement et inlassablement le décevront. L’adolescence c’est l’enfance qui se rejoue, comme disent les pédopsychiatres. C’est pourquoi il est impératif de régler les passions de l’enfant en corrigeant ses excès du quotidien. 

Breizh-info.com : Les attaques contre l’école à la maison, mais aussi contre les écoles hors contrat, ne vont-elles pas à l’envers de l’éducation que vous prônez pour nos enfants ?

François Xavier Clément : Il faut absolument rappeler et répéter souvent que les parents sont les premiers éducateurs des enfants et cela ne souffre pas d’exception. Oui ce principe est au fondement de ma conception éducative et les attaques récentes sur l’école à la maison me choquent. Ces attaques sont une sorte de relent du socialisme des « grandes » années mitterrandiennes. On s’est progressivement installé dans une tyrannie républicaine et nous réagissons trop rarement aux évolutions législatives qui remettent en cause le droit naturel ou qui organisent l’unanimisme des idées. La famille est la cellule constitutive du tissu social, la première cellule domestique à partir de laquelle se construit la société tout entière. La famille est le lieu de la première vie sociale, au sens où elle est la première société de l’enfant, le premier lieu de relation et de fraternité. L’État devrait prendre soin de la famille comme un agriculteur prend soin de sa terre pour assurer la qualité de la récolte. 

Breizh-info.com : L’Éducation nationale est-elle réformable et si oui, que faudrait-il faire, notamment en matière de formation des enseignants ?

François Xavier Clément : La formation des professeurs depuis plusieurs décennies s’est dégradée sur le plan disciplinaire pour laisser de plus en plus de place aux questions de didactique par une intellectualisation des intentions pédagogiques. Il convient de retrouver une démarche de transmission des connaissances. Et pour cela les professeurs doivent recevoir une formation éducative qui leur permettra de réunir les conditions de possibilité d’enseignement. La réforme LMD de 2009 (alignement sur le système européen Licence Master Doctorat) prolongeait de deux ans la formation des maîtres, puis, considérant que cela allait diminuer encore un peu plus les vocations de professeurs, en 2012 le MEN a modifié la législation pour permettre aux futurs professeurs de passer le concours en M2. Malgré cette réduction d’une année du temps de formation, il demeure très difficile de recruter des professeurs de France actuellement. Dans certaines disciplines on ne trouve plus aucun candidat, ce qui est une vraie difficulté pour les concours puisque c’est le nombre de candidats qui permet de fixer le barème de l’admission. Les Rectorats vont désormais chercher les suppléants dans les dispositifs de Pôle emploi. Quant au concours il a connu une chute du niveau d’exigence depuis 30 ans. On trouve ainsi dans les établissements scolaires publics ou privés sous contrat des professeurs (titulaires ou suppléants) sous-qualifiés et totalement démunis devant la mission éducative et pédagogique qui leur incombe. En mars 2021, une nouvelle réforme de la formation des professeurs et du contenu du concours du CAPES réduit les épreuves à une matière dite professionnelle fondée sur les sciences de l’éducation. Cette réforme consacre un peu plus le rôle du professeur comme animateur de séquence de découverte. Il convient de lire l’article de Philippe Némo joint à cette note : « Tous les jeunes français à l’école primaire jusqu’à 17 ans » pour le Journal des libertés.

Il convient de modifier dès le départ le recrutement et la formation des professeurs en modifiant l’image du métier et en redonnant un contenu académique disciplinaire au cursus de leur formation. 

Modifier l’image du métier de professeur : on pourra changer l’image du métier de professeur en modifiant le climat éducatif qui entoure l’acte d’enseigner. Si les principes du point 1°) de cette note sont réellement mis en place alors les écoliers, les collégiens et les lycéens entreront dans leur établissement avec davantage de respect. Cela doit être poursuivi avec un encadrement éducatif structurant pour que l’ensemble des cadres éducatifs participent à créer les conditions de possibilité de l’enseignement. Il faut pour cela penser une formation des éducateurs. Ce qui n’est pas le cas aujourd’hui. Le professeur a désormais l’image d’un animateur de séances de découvertes du monde ! Et la formation des professeurs a suivi le mouvement. On les forme davantage en sciences de l’éducation que dans leur discipline. Modifier l’image du métier de professeur passera certes par une nouvelle revalorisation salariale (le classement des salaires des professeurs en Europe place la France au huitième rang), mais ce n’est pas par des campagnes nationales que l’on a pu changer quoi que ce soit dans ces dernières décennies. 

Contenu académique : l’expérience de l’École Professorale de Paris (EPP) fondée par le philosophe Philippe Némo doit servir de laboratoire national pour étayer l’idée que les bons étudiants de l’université attirés par le professorat le sont avant tout pour des raisons disciplinaires. Ce sont avant tout des passionnés de lettres, de mathématiques, d’anglais, etc. L’EPP fait droit à leur intérêt premier pour la matière qu’ils ont choisi d’approfondir et dont ils ont vocation à devenir des experts. Certes il faut que les professeurs acquièrent des méthodes d’enseignement actualisées par leur connaissance de la psychologie de la jeunesse contemporaine, mais c’est avant tout leur attrait et même leur amour de leur discipline qui les conduit à vouloir la transmettre. Par ailleurs, la formation initiale ne suffit pas, il est indispensable que les professeurs aient un véritable suivi professionnel de leur carrière avec un programme de formation continue. La formation initiale ne suffit pas à donner un bagage pour une carrière de 35 ans ! Il convient donc de modifier le processus des inspections pour éviter l’infantilisation des professeurs et les responsabiliser avec davantage d’exigence.  

Propos recueillis par YV

Crédit photo : DR (photo d’illustration)
[cc] Breizh-info.com, 2021, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine

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