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Cléopâtre : le dernier pharaon d’Égypte était une femme grecque, mais Netflix manipule encore l’histoire

Netflix est une véritable machine à broyer notre histoire. Un danger pour les enfants qui peuvent se laisser influencer par ce géant de la distribution et de la production cinématographique. Dernier exemple en date avec la sortie à venir de  Cléopâtre, une série documentaire consacrée à celle qui fût Reine d’Egypte, mais pas que. L’actrice principale est en effet…noire. Ce qui ne correspond pas du tout à la réalité historique, comme nous vous le rappelons ci-dessous, à travers cet article publié dans le livre « Les Audacieuses » (voir plus bas les références).

Cléopâtre, le dernier pharaon d’Égypte était une femme grecque

Puissance, beauté, intelligence, mais aussi cruauté et ambition : la dernière des reines d’Égypte avait tout pour alimenter la légende. Aimée par deux des hommes les plus puissants de son temps, sa vie fut un véritable roman.

Le sang qui coulait dans ses veines prenait sa source en Macédoine, cette même terre qui, trois siècles plus tôt, avait donné à la Grèce son conquérant le plus fameux : Alexandre le Grand. Il fit de l’immense et richissime empire d’Égypte un royaume grec et y battit sa capitale : Alexandrie. Quand il vint à mourir, Ptolémée un de ses fidèles généraux, en hérita. Sa dynastie y régnera pendant trois cents ans, imposant la culture grecque au sein de l’élite du pays. Très respectueux des croyances et des traditions autochtones, les rois ptolémaïques se feront proclamer Pharaon, « roi d’essence divine ».

À la mort du pharaon Ptolémée XII, ses enfants — Cléopâtre et son petit frère Ptolémée XIII — lui succédèrent. Malgré ses dix-sept ans, la fille imposa d’emblée son tempérament de souveraine… s’attirant ainsi l’aversion des nobles plus enclins à soutenir le jeune et malléable garçon. Craignant qu’on ne lui fasse du mal, elle s’enfuit, bien décidée à trouver toute l’aide nécessaire pour reprendre les rênes du pouvoir.

Comme l’avait fait son père avant elle, Cléopâtre se tourna vers la plus grande puissance de l’époque : Rome, dont le nouveau maître n’était autre que le Général Jules César. Elle désirait le rencontrer en tête-à-tête, mais consciente des risques encourus, elle mit sur pied un stratagème : à la nuit tombée, elle partit dissimulée dans un tapis que l’on déroula au pied de l’Italien. Elle en sortit resplendissante ; il en tomba amoureux et fera en sorte de lui restituer la couronne.

Le pouvoir de séduction de l’Égyptienne était étourdissant, comme nous l’explique Plutarque : « Sa beauté, considérée en elle-même n’était pas incomparable au point de ravir d’étonnement et d’admiration dès le premier abord. Mais sa fréquentation avait tant d’attrait qu’il était impossible de lui résister. Les charmes de son visage, soutenus par les appâts de sa conversation et par toutes les grâces qui peuvent émaner du plus heureux caractère, laissaient de profondes blessures. Sa voix était d’une douceur extrême. »

 

Illustration d’Aude Benoit

 

Cléopâtre et César s’aimèrent et voguèrent sur le Nil pendant de longs mois. Quand il regagna sa mère patrie, elle se joint à lui. Elle vécut dans une magnifique villa entourée de luxuriants jardins pendant deux ans, durant lesquels elle s’entretenait avec les grandes personnalités politiques de la cité. La pharaonne, qui s’exprimait parfaitement en plusieurs langues, avait l’esprit vif et détenait une grande culture, ce qui rendait sa compagnie un véritable plaisir.

Mais cette liaison était mal vue à Rome, car Cléopâtre demeurait le chef d’une puissance étrangère et César semblait vouloir rétablir la monarchie, que ses concitoyens abhorraient. Menaçant qu’il était pour la République, il fut assassiné. Cléopâtre rentra immédiatement en Égypte, avec le fils né de leur passion, le petit Césarion. En son nom elle régnera pendant de longues années, n’ayant qu’une idée en tête : rendre à son pays sa grandeur passée.

Entre-temps à Rome, la partie orientale de l’empire avait été dévolue à un autre grand Général : Marc-Antoine. Quand celui-ci convoqua les souverains des royaumes orientaux, Cléopâtre eut une façon bien à elle de se présenter, remontant le fleuve lovée sur un navire recouvert d’or et de pourpre, travestie en Aphrodite —  la déesse grecque de l’amour — et entourée de ses plus belles servantes vêtues telles des nymphes marines… Quand il la rejoignit à bord pour le plus luxueux des banquets, ce fut le coup de foudre. Ils resteront ensemble quatorze ans et auront trois enfants.

Cependant, on pensait Marc-Antoine envoûté par cette femme exotique, il ne se souciait plus de son honneur et avait perdu le sens du devoir. Cela était impardonnable pour les Romains, qui portaient ces valeurs plus haut que tout. Lorsqu’il lui offrit d’immenses terres, conquises par le sang et la sueur des légionnaires, c’en était trop ! Octave, qui régnait sur la partie occidentale de l’empire, décida de l’affronter dans une grande bataille navale, au large d’Actium. La téméraire Cléopâtre le suivit sur son propre bateau amiral. Mais, lorsque le vent tourna en faveur d’Octave, elle fit marche arrière et Marc-Antoine abandonna ses soldats pour la suivre.

Son rêve oriental fracassé, la mort semblait être la seule issue. Il se perça de son épée et se fit conduire, mourant, auprès de son aimée pour s’éteindre dans ses bras. La dernière reine d’Égypte, elle, choisira la fatale morsure d’un serpent.

Extrait du live les Audacieuses (interview à lire ici) à commander ci-dessous :

https://europa-diffusion.com/fr/accueil/7999-les-audacieuses-heroines-d-hier-pour-jeunes-filles-d-aujourd-hui.html

Crédit photo : DR

[cc] Breizh-info.com, 2023, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine

 

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42 réponses à “Cléopâtre : le dernier pharaon d’Égypte était une femme grecque, mais Netflix manipule encore l’histoire”

  1. alienor dit :

    “il ne se souciait plus de son honneur et avait perdu le sens du devoir. Cela était impardonnable pour les Romains, qui portaient ces valeurs plus haut que tout.”……ça, ça fait rêver, si vous voyez à qui je pense ;-)

  2. Philippe dit :

    Mais voyons, tout le monde sait que les Egyptiens étaient noirs, qu’ils avaient l’électricité grâce aux pyramides et qu’ils ont donné à l’Europe toute sa culture chevaleresque ! Source : Maître Gims.

    • Phil dit :

      Tiens, et pourquoi, selon “l’historien” Gims, les pyramides ne donnent plus d’électricité alors qu’elles ont la même forme qu’avant ?

      • Clovis dit :

        Et Toutankhamon est mort électrocuté, ben oui il a voulu changer une ampoule électrique comme Claude François qui était d’origine égyptienne👌

    • Seksymonkey dit :

      Dit il avec ses œillères. D’une elle est grecque et sa mère est probablement africaine. Même la communauté des historien ne sais pas à quoi elle ressemble, mais phillip lui il sait.
      Le plus drole une cleopatre noire ça choque, mais des années de représentation de cleopatre en tant qu européenne ça noooon, god of Égypte avec un casting totalement occidental ça passe. Vous êtes des blagues et sacrément fragile.
      Ah jésus avec un visage européen dans les église tu le vie comment?

      Vivant avec une grecque si elle nest pas noire elle ne ressemblerait pas à une européen.
      Certain blanc sont fragile qd meme

      • René dit :

        Pour Clovis
        francs saliens S7
        Elle était peut-être noire
        Et peut-être qu’il mort électrocuté
        en branchant une pile de Bagdad
        Alors peut-être qu’ils avaient l’électricité
        Donc peut-être qu’elle était pas blanche
        Comme c’est pas colomb qui a découvert l’Amérique
        Vous en savez strictement rien

    • Seksymonkey dit :

      Oh passage renseigné toi sur les grande histoire de cowboy, la plupart sont des histoire de cowboy noir remis en blanc.
      Vous etes fragiles les gars, on remet en cause votre imaginaire construit de toute pièce et vous vacillé

      • Trez dit :

        Bonjour,
        Il n’y a rien de raciste à dire que Cléopatre était plutôt de couleur claire car d’origine Grec. Il ne faut pas voir le mal partout.
        C’est un peu comme si Martin Luther King était blanc dans une série sur Netflix! Ça n’aurait pas de sens!
        Pour vous reconforter, sachez que durant plusieurs dynasties, de grands pharaons étaient noirs car Nubien.
        Belle journée à vous.
        Peace and love.

      • Francis Bervin dit :

        Ma réponse concerne l’intervention de Trez.

        1. Les pharaons nubiens auxquels vous faites allusion n’ont pas régné sur plusieurs dynasties ; ils furent les rois d’une seule et unique dynastie, la 25ème dynastie manéthonienne.

        2. Contrairement à ce que vous sous entendez, tous les pharons furent des Noirs, et pas seulement les rois nubiens de la 25ème dynastie. Approfondissons un peu le sujet :
        2.1. De nombreux savants de l’Antiquité, contemporains et témoins oculaires des Égyptiens anciens (Hérodote, Aristote, Diodore de Sicile, Strabon, Ammien Marcelin, etc.), nous ont laissé des descriptions de l’apparence physique des Égyptiens anciens ; or que nous disent ces savants ? Ils affirment, à l’unanimité, que les Égyptiens anciens ont la peau noire (tout comme les Éthiopiens) et les cheveux crépus. Aristote, l’un des philosophes les plus prestigieux de l’Antiquité européenne, va même jusqu’à dire à propos de la couleur de peau des Égyptiens anciens et des Éthiopiens anciens : « agan melanochroes ». Faisons la traduction : «agan», en grec ancien, est un superlatif signifiant «très, extrêmement, excessivement» ; «melanochroes», quant à lui, est le mot le plus fort en grec ancien pour désigner la «couleur» noire. Par conséquent, Aristote nous apprend que les Égyptiens anciens, au même titre que les Éthiopiens anciens, ont la peau non seulement noire, mais extrêmement noire. Votre idée d’une Égypte ancienne blanche, à tout le moins non négro-africaine, est donc une chimère que les faits non seulement ne supportent pas, mais qu’ils infirment totalement.
        2.2. De quelle manière les Égyptiens anciens se sont-ils eux-mêmes dépeints ? Ils nous ont laissé de très nombreux témoignages matériels (statues, bas-reliefs, papyri), autant d’artéfacts qui nous informent de la façon avec laquelle les Égyptiens anciens se voyaient eux-mêmes ; or, que nous disent ces milliers d’artéfacts ? Que les Égyptiens anciens se percevaient bel et bien comme des Noirs. Il ne vous aura pas échappé qu’aucune statue, qu’aucun bas-relief polychrome ne dépeint les Égyptiens anciens avec des cheveux blonds, châtains, bruns ou roux ; leur chevelure est systématiquement noire (ou grise ou blanche lorsque l’Égyptien ancien représenté est une personne âgée), avec des tresses de cheveux crépus (notez deux choses : a) que la représentation iconographique des cheveux crépus est difficile, b) sachant que coiffer des cheveux crépus est difficile, parfois laborieux, la femme égyptienne ancienne se rasait la tête puis, tant par souci de commodité que de coquetterie, portait une perruque de cheveux crépus déjà coiffés et tressés de manière permanente) ; il n’y a aucune image laissée par les Égyptiens anciens les montrant avec des yeux bleus, verts ou pers ; au contraire, leurs yeux sont systématiquement noirs. Certains bas-reliefs nous montrent des femmes égyptiennes anciennes à la peau «jaune» ; c’est d’autant plus étonnant que sur les mêmes bas-reliefs, les hommes sont représentés avec une peau brune foncée. Comment interpréter ce qui, à première vue, peut sembler être une anomalie ? Contrairement aux égyptologues qui portent souvent un regard au premier degré sur les images laissées par les Égyptiens anciens, il faut constamment garder à l’esprit la portée symbolique des oeuvres iconographiques égyptiennes : la couleur «jaune» que les Égyptiens anciens attribuent parfois aux représentations iconographiques de leurs femmes renvoie, en fait, à la couleur de l’or, métal précieux et sacré par excellence pour les Égyptiens anciens puisqu’ils l’assimilent à la chair des divinités. Que comprendre ? Que dans la société matriarcale de l’Égypte ancienne (contrairement aux sociétés sémitiques et gréco-romaines, farouchement patriarcales et misogynes), non seulement la femme est l’égale de l’homme, elle est perçue comme un être sacré (la mère, l’épouse, la fille), que l’homme se doit d’aimer et de respecter totalement.

        3. Tout ce qui précède nous amène à l’origine de votre perception erronnée, chimérique de la race des Égyptiens anciens. Cette perception, farfelue s’il en est, trouve sa source dans l’égyptologie. Qu’est-ce que l’égyptologie ? Une discipline qui voit le jour au 19ème siècle de notre ère, discipline fondée par des Européens (Jean-François Champollion tout d’abord, dit «Champollion-le-jeune», puis Champollion Figeac, etc.). Or, vous ne pouvez pas ne pas savoir que tout phénomène n’est compréhensible que si on le replace dans le contexte (historique, social, etc.) qui lui a donné naissance. Ce contexte que fut-il ? Celui de la mise en esclavage (donc de la déshumanisation la plus sauvage, la plus brutale qui soit) de nombreux Africains, évidemment de race noire, par des États blancs d’Europe ou d’Amérique. Ce contexte a défini et définit jusqu’à ce jour l’égyptologie. Presque tous les égyptologues, depuis Jean-François Champollion jusqu’à Christian Jacq, en passant par Auguste Mariette, Gaston Maspéro et Christianne Desroches-Noblecourt, ont été ou sont encore des racistes (qui ne disent par leur nom) irrités, hantés par la négritude des Égyptiens anciens, négritude qu’ils ont tenté et tentent encore de nier à l’encontre même des témoignages unanimes des faits.

        4. En conclusion : tous les pharaons et pharaonnes furent des êtres humains de race noire, des négro-Africains (ni des Asiatiques, ni des Européens) du début jusqu’à la fin de l’histoire pluri-millénaire de la civilation égyptienne ancienne (tous les faits l’attestent de la manière la plus formelle). Attribuer le titre de pharaon* à un personnage historique d’ascendance européenne ou asiatique est donc une chimère, un fantasme propre à l’égyptologie : les Hyksos, les Assyriens, les Perses, les Ptolémées, les Romains sont autant d’envahisseurs, haïs du peuple égyptien, qui ne furent évidemment jamais pharaons.

        * Le mot «pharaon» porte à confusion, une confusion sciemment et savamment entrenue par les égyptologues. Le roi dominant les Deux Terres (Haute et Basse Égyptes) ne s’appelle pas «pharaon» puisque ce mot renvoie non à la personne du roi, mais à la demeure, au palais depuis lequel le roi gouverne le pays et l’empire qui en découle. Le palais royal étant perçu par les Égyptiens anciens comme une représentation sur Terre de l’Univers ordonné lui-même. Dès lors, quel était le véritable nom, le véritable titre du roi de l’Égypte ancienne ? «Nesout» c’est-à-dire «Celui qui vient du Sud», du coeur de l’Afrique. On comprend dès lors pourquoi les égyptologues ont toujours cherché à passer sous silence le véritable titre du roi de l’Égypte ancienne.

    • Smb dit :

      Bien sûre que l’Égypte ancienne était noir et d’abord il ne s’appelait pas les Egyptiens… C’est de l’Eurocentrisme de penser qu’ils étaient blanc comme c’est de l’Afrocentrisme de penser qu’ils ne ce sont pas métissé au fil du temps au point de voir apparaître des pharaons blanc comme les Ptolémées. De plus même si Netflix fait de la reconstruction de l’histoire… Souvenez vous de la reine de Saba qui était noir et qu’on ne s’est pas gêné a faire blanche…. Les hommes sont tous pareils déconstruire.. reconstruire l’histoire accusé et blanchir ou noircir l’histoire selon son propre prisme… Quelle importance de le faire puisque l’histoire nous appartient à tous.

      • Yukio Mishima dit :

        Les Ptolémée ont pratiquer l’inceste sur plusieurs générations (Cléopâtre a été mariée a ces 2 frères par exemple) et si ce n’était pas le cas ils ce mariaient entre macédonien. En plus d’avoir retrouvé un buste d’époque on a aussi des descriptions de ces contemporains. Cléopâtre avait les traits macédonien.

    • omar ould ali dit :

      Tout a fait, les occidentaux racontent l’histoire sur des points de vues à les avantager pour inculquer inconsciemment leur supériorité aux autres peuples . Mais on sait que ce qu’ils racontent est en majorité faux et ils ne faut plus se référer à leurs écrits quand on veut savoir la vérité sur l’histoire et sur les accomplissements réaliser dans le monde

    • Nicky dit :

      Vous avez tout dit, même avec de l’humour. L’Égypte pharaonique était bien noire. En regardant les stèles sans les scruter, tout est révélé. Je tenais aussi à signaler que Bertrand Duguesclun, grand chevalier, connétable du roi de l’époque, créateur du Mont Saint-Michel, était aussi noir. Pourquoi voler l’histoire d’un peuple, qui n’a fait que rendre service au monde entier. Il va falloir avoir un minimum d’honnêteté intellectuelle et arrêter de plagier, de voler. En Egypte les hyèroglyphes n’ont rien à voir avec l’arabe. Les 1ers grecs venaient d’Afrique, d’ailleurs Europe soeur de Cadmos, était une femme africaine, d’où le nom du continent européen. Cadmos fils d’Epaphos venait enseigner l’écriture aux noirs (1ers habitants d’Europe, tels Sheddar man, l’homme de Grimaldi, ancêtres des français, ainsi que la dame de Brassempouy) déjà installés en Europe.

    • Celo dit :

      Oui effectivement les égyptiens à l’époque des pharaons étaient bien des noirs

  3. Jean-Claude Rembotte dit :

    J’attends avec impatience un “biopic” sur un De Gaulle africain, un Louis XIV peau rouge, une Marie-Antoinette asiatique… Décidément c’est bien la preuve qu’au nom d’une soit disante “repentance” c’est une épouvantable “conneries” qui s’implante dans nos médias… Ce qui est contre-productif et condescendant pour tous les grands personnages comme Senghor, Ho Chi Min et bien d’autres qui valaient bien nos Napoléon, Louis XIV et autres personnages… Ridicule, cette soit-disante bien pensance alors que de grandes figures valaient largement ces personnages d’origine Européenne…

  4. PL44 dit :

    A défaut d’être noire, c’était la seule dans la dynastie Ptolémée à parler égyptien.

  5. Hadrien Lemur dit :

    Netflix est un organe de propagande anti-blanc, anti-famille, anti-Français, anti-chrétien et pour faire court anti-civilisation européenne. Il faut à tout prix boycotter et mettre les producteurs, d’abord au chômage et puis en prison.

    • Libyen dit :

      Déjà Cleopatra était d’origine grecque et les Grecs sont historiquement très étroitement liés au Proche-Orient et ils sont très différents (d’un point de vue phénotype et même génétique) des européens du Nord.
      Les négrocentristes et les eurocentristes sont les deux faces d’une même médaille.

      • Nicky dit :

        Les arabisant ne sont pas mieux, ce qu’on appelle afrique blanche est un pléonasme. Les arabes peuples nomades, patriarcaux sont venus peupler et décimer l’afrique, le crime était presque parfait.

  6. Patteblanche dit :

    Après 300 ans de règne des rois ptolémaïques certains s’étonnent que 3 siècle durant, il soit inconsevable qu’il y ait eu un métissage alors que l’histoire se déroule en Égypte. Quoi que vous vouliez l’Afrique est le berceau de l’humanité donc l’origine de tout un chacun. Arrêtez vos complexe de supériorité face au noir.
    Personnellement je ne l’imagine pas avec une peau noir d’ébène et non plus blanche comme neige. Votre monde s’arrête dès l’instant où cleopatre n’est pas blonde au yeux bleu et que Ariel la petite sirène ai des dread.

    • Hadrien Lemur dit :

      On ne sera jamais si Cléopâtre était blanche ou métisse, mais en tout cas surement pas noire comme la photo d’illustration qui suppose un père et une mère noire africaine. Et puis perso je préfère imaginer une Elysabeth Taylor ou une Monica Bellucci pour camper le personnage. Quoique Halle Berry ça serait pas mal non plus.

    • Mortimer dit :

      Votre souffrance m’émeut. Mais hélas nous avons des descriptions contemporaines de Cleopatre…

    • Libyen dit :

      Déjà Cleopatra était d’origine grecque et les Grecs sont historiquement très étroitement liés au Proche-Orient et ils sont très différents (d’un point de vue phénotype et même génétique) des européens du Nord. Les négrocentristes et les eurocentristes sont les deux faces d’une même médaille

      • Laure dit :

        Par contre , on dit « Afrocentriste » pas négrocentriste.
        Et il y’a plus d’eurocentriste que d’afrocentriste.
        (Ex: Dans beaucoup d’écoles africaines, le programme scolaire est fortement axé sur l’histoire européenne).
        Donc ce n’est pas vraiment les 2 faces d’une même médaille. (Surtout quand l’autre face prend plus le dessus sur l’autre face).

  7. Mellini dit :

    Article plutôt idiot.
    C’est pas sorti de nul part cette Cléopâtre noir, il y des études sérieuse sur cette possibilité historique.
    L’histoire est et doit être perpétuellement remise en cause.
    Il me semble qu’on a retrouvé les reste d’une tombe qui serait celle d’une personne de sa famille et qu’elle avait des origines africaine.

    • Perhatian dit :

      @Mellini
      N’importe quoi… Faut arrêter de prendre pour argent comptant les élucubrations d’un rappeur raté…
      Le wokisme est un cancer

      • Nicky dit :

        Le colonialisme, le racisme, sont pires que des cancers à l’image de leurs souteneurs. Mortels, descendanr de Seth et des Shetiou.

  8. Francis Bervin dit :

    1) Qui fut Cléopâtre 7 ? Une femme, d’ascendance européenne (macédonienne et non grecque : se renseigner sur les tentatives des Grecs d’aujourd’hui de faire d’Alexandre le Grand un Grec alors que du temps de ce dernier, les cités-États de la Grèce percevaient les Macédonniens comme des barbares, c’est-à-dire des étrangers, des non Grecs au même titre que les Illyriens ou les Thessaliens par exemple), issue d’une famille d’envahisseurs européens (les Égyptiens contemporains d’Alexandre n’ont, évidemment, jamais demandé au barbare macédonien de les libérer du joug perse – le peuple autochtone avait déjà, à maintes reprises, tenté de le faire, parfois avec succès, mais finalement réprimé dans le sang ; bref, les Égyptiens n’ont jamais souhaité qu’un joug macédonien se substitue au joug perse). Par conséquent, Cléopâtre ne fut jamais pharaon ou reine d’Égypte (il s’agit là d’un fantasme propre à l’égyptologie) ; elle fut toujours aux yeux du véritable peuple égyptien une étrangère, une envahisseure tout comme le furent, des siècles avant les Ptolémées, les Hyksos, les Assyriens, les Perses. Compte tenu du mépris des envahisseurs lagides pour le peuple autochtone, dont ils ne daignaient toucher et exploiter que les richesses, il est peu probable que l’étrangère Cléopâtre ait eu du sang noir, donc égyptien, dans ses veines : elle fut une femme blanche, appartenant au camp des envahisseurs et colonisateurs européens venus de Macédoine (d’où sont succès dans le cinéma hollywoodien à qui il ne viendrait pas à l’idée de faire un film sur une vraie pharaonne, véritable reine d’Égypte issue du peuple autochtone telle que Hatchepsout par exemple, ayant gouverné l’Empire égyptien au cours de la 18ème dynastie du Nouvel Empire).
    2) Cela nous amène à l’égyptologie. Vous aurez remarqué que les égyptologues sont prompts à taxer d’ 《afrocentriste》, c’est-à-dire de suprémaciste noir, tout individu rattachant la civilisation égytienne ancienne à l’Afrique noire antique (ce qui devrait être pour toute personne rationnelle et attachée aux faits, et non à l’idéologie, une évidence aussi éclatante que le soleil) ; car enfin, que pouvait bien être l’Égypte ancienne (à ne pas confondre, bien sûr, avec l’Égypte d’aujourd’hui, territoire envahi par des Arabo-musulmans, des Sémites venus d’Asie – comme les Hyksos autrefois et non des Africains – depuis le 7ème siècle, c’est-à-dire à une époque où la civilisation égytienne ancienne avait disparu depuis plusieurs siècles déjà) née sur le continent africain (pas en Asie, encore moins en Europe ou en Amérique), issue de civilisations négro-africaines plus anciennes (qui lui donneront, par exemple, ses premiers hiéroglyphes et donc la base de son écriture, mais aussi sa philosophie, sa cosmogonie, ses valeurs matriarcales, son totémisme, etc autant de traits civilisationnels fondamentaux, cardinaux qui non seulement préexistèrent à l’Égypte ancienne, mais qui la caractériseront du début jusqu’à la fin de son histoire) sinon une civilisation négro-africaine elle-même ? Les égyptologues affirment qu’ils ne sont ni racistes, ni négrophobes ; mais force est obligée de constater qu’ils sont obsédés par la race, la couleur de peau des Égyptiens anciens, alors que leur centre d’intérêt ne devrait se borner qu’à la culture, la langue, la philosophie, les arts, la science, l’architecture, bref en un mot comme en mille, à la civilisation de l’Égypte antique. Presque tous les égyptologues, depuis Jean-François Champollion jusqu’à Christianne Desroches-Noblecourt et Christian Jacq, en passant par Gaston Maspéro, furent des racistes irrités, hantés par la négritude des anciens Égyptiens, négritude qu’ils tentèrent de nier de toute leur force à l’encontre même des faits. L’égyptologie n’est donc pas, comme on cherche à le faire croire, une discipline scientifique ; elle relève plutôt d’une littérature romanesque et raciste, idéologique, qui ne dit pas son nom, d’où sa nature charlatanesque.
    3) En conclusion, Cléopâtre 7 fut une femme blanche, qui s’est prostituée à deux hommes politiques romains (d’abord Jules César puis Marc-Antoine) dans l’espoir de garder la main mise sur un territoire qui ne fut jamais le sien mais qui fut bel et bien envahi par ses ancêtres.

    • Pharaon dit :

      Maintenant les Grecs ne sont plus des « européens » et la Grèce ne serait plus le berceau de la «civilisation occidentale »…ou bien s’agit-il d’une autre Grèce,celle de Hollywood qui aurait été peuplée de grands gaillards blonds aux yeux bleus mythiques et fictifs(comme ceux du fameux film Alexandre joué par Colin Farell) comme ceux que vous avez l’habitude de voir dans des «films » produits par cette même industrie propagandiste ????

      • Nicky dit :

        Ceci étant dit une cohorte scientifique a été menée chez les grecs et des chercheurs ont remarqué que les grecs avaient le gène de ka drepanocytose. Où est le mensonge ?

    • Corvis dit :

      C’est une réalité certaines, concernant cette analyse, c’était tout simplement des envahisseurs et ne sont surtout pas à l’origine de cette egypte de l’époque.et vos historiens ont voulu délibérément effacer ce peuple noir qui habitaient l’Égypte par pure racisme,

    • Tatiana Papadopoulosdopoulos dit :

      Merci pour votre analyse ! Bien d’accord jusqu’à point 3 Hahahaha mais ça fait plaisir de lire quelqu’un qui s’est renseigné et résumé bien ses recherches.

      • Francis Bervin dit :

        Je ne vois pas pourquoi vous êtes en désaccord avec le 3ème point de mon argumentation : Cléopâtre 7 s’est bel et bien donnée sexuellement à Jules César d’abord, à Marc-Antoine ensuite en échange d’une compensation, compensation consistant à maintenir son potentat sur l’Égypte. Il s’agit bien là de la définition de la prostitution : les faits sont têtus.

    • Dimitrios dit :

      Encore une personne qui n’a pris la peine de se renseigné suffisamment sur l’histoire des peuples grecs de l’antiquité, car il y a plusieurs peuples qui peuplais la Grèce continentale, les ionien, les Doriens, les macédonien, les thessaliens etc, c’était tous des cités état avec une langue commune et un culture commune et les macédonien ont déjà prouvé leurs origines Grec à plusieurs reprises pour pouvoir participer au jeux Olympiques mais avant de venir déballer ça soi-disant science ici il faudrait mieux ce renseigné sur les ADN et groupe étnique etc
      Tu fais référence juste à un passage où demosthene traite les macédonien de non grec car il voulais les discréditer et les humiliée car il les détestait.
      Et je finirais par dire que les soi-disant neo-macedonien de macédoine du nord sont venus bien après tout ça des steppes de Russie donc rien avoir avec les vrais macédonien qui sont GRECS !!

      • Francis Bervin dit :

        1) La Macédoine contemporaine de Philippe et d’Alexandre n’était pas une cité-État mais un royaume.
        2) La langue grecque ancienne n’est pas la langue maternelle d’Alexandre : les Macédonniens possédaient leurs propres langue et dialecte qui n’étaient pas du grec.
        3) Dans l’Antiquité, même les Romains avaient été admis à participer aux Jeux olympiques, ça n’en faisait pas des Grecs pour autant ; seules les victoires militaires de Philippe le Macédonnien au détriment des cités-États grecques lui permirent, en tant que conquérant victorieux, de s’imposer aux Jeux olympiques, bien qu’il fut un parfait étranger, un non Grec.

      • Francis Bervin dit :

        N.B.: Il y a beaucoup de confusion chez vous : les Ioniens sont des Grecs mais ils n’habitaient pas la Grèce continentale (tels que, par exemple, les Athéniens, les Spartiates, les Thébains) qui se trouve en Europe ; les Ioniens résidaient en Asie, sur un territoire correspondant approximativement à la Turquie actuelle. Faites l’effort de vous affranchir de vos idées préconçues et de vos fantasmes pour vous attacher plutôt aux faits, cela vous fera le plus grand bien.

    • Peetroons dit :

      En résumé, vous niez la science pour vous fier à des hypothèses et autres interprétations personnelles non démontrées ni validées.
      Si vous n’appartenez peut-être pas à la mouvance militante afrocentriste et à ses visées politico-identitaires, vos propos au sujet de l’égyptologie ne sont pas loin du complotisme propre à cette mouvance.
      Si les Egyptiens n’étaient pas blancs, ils n’étaient pas noirs non plus. Il ne s’agissait d’ailleurs pas d’une population homogène : Et ceci est l’opinion de la communauté scientifique internationale, n’en déplaise à un Cheikh Anta Diop et autres mystificateurs politisés.

      • Francis Bervin dit :

        Ma réponse s’adresse à Peetroons :

        1. « Afrocentriste », « complotisme », « mystificateurs politisés » autant d’épithètes injurieux dont la valeur argumentative est nulle. La hargne avec laquelle vous répondez à ma précédente intervention prouve votre irritation (pour ne pas dire plus) face aux faits têtus – et non des hypothèses comme vous l’affirmez, mais nous y reviendrons – témoignant unanimement d’une chose : les Égyptiens anciens1 étaient bel et bien des Noirs ; ils ne constituaient pas une population hétérogène, racialement parlant, comme le veut le fantasme égyptologique2, mais une population humaine négro-africaine : par exemple, l’analyse d’échantillons d’épiderme prélevés sur plusieurs momies de pharaons de la 18ème dynastie (Nouvel Empire), analyse visant à déterminer le niveau de mélanine3 dans la peau de ces momies, a démontré de la manière la plus formelle, absolue que ces pharaons appartenaient bel et bien à la race noire. Notez que le Nouvel Empire (18ème, 19ème et 20ème dynasties) correspond à une période de l’histoire de l’Égypte ancienne au cours de laquelle la nation égyptienne est souveraine, maîtresse de son destin politique et non sous occupation étrangère européenne ou asiatique. Vous noterez aussi que les trois dynasties qui constituent le Nouvel Empire se situent à une époque bien antérieure à la 25ème dynastie nubienne, elle aussi de race noire, dont l’égyptologie voudrait nous faire croire qu’elle fut la seule dynastie négro-africaine dans l’histoire plurimillénaire de l’Égypte ancienne.
        2. Attardons-nous maintenant en profondeur à votre réponse ; nous pouvons, en substance, la décortiquer en trois types d’arguments : a) les affirmations gratuites non étayées par les faits, b) les insultes ou attaques ad hominem cherchant à masquer l’absence d’arguments factuellement et scientifiquement valables, c) les arguments d’autorité dont la validité en science est nulle.
        2.1. Vous dites « En résumé, vous niez la science (…) ». L’égyptologie n’est pas une science puisque, concernant la race des Égyptiens anciens (entre autres choses), elle relève de l’idéologie plutôt que des faits. Toute discipline reposant sur des a priori, sur des préjugés idéologiques plutôt que sur les faits, les artéfacts, les textes et autres sources historiques, ainsi que sur leurs témoignages les plus formels, ne relève pas de la science. L’égyptologie correspond parfaitement à cette description. Votre premier argument est donc scientifiquement irrecevable.
        2.2. Vous dites aussi « (…) la mouvance militante afrocentriste (…) » et, un peu plus loin « (…) vos propos au sujet de l’égyptologie ne sont pas loin du complotisme propre à cette mouvance. ». Ces qualificatifs creux, au caractère gratuitement injurieux, ne démontrent rien, pas plus qu’ils ne réfutent quoi que ce soit. Cette intervention navrante de votre part illustre de façon éclatante ce que j’affirmais et dénonçais dans mon intervention précédente : le terme « afrocentriste » est mis de l’avant comme synonyme de « suprémaciste noir » afin de tenter (mais en vain, je vous rassure) de discréditer l’interlocuteur dont on ne partage pas le point de vue ; mais, comme je le soulignais en début de paragraphe, ce terme ne démontre rien, ne réfute rien, il correspond tout au plus à une insulte gratuite visant à faire l’économie d’une démonstration en bonne et due forme. Les termes gratuitement injurieux « complotisme » et « mystificateurs politisés » sont de la même eau. Votre deuxième argument est donc, lui aussi, scientifiquement nul.
        2.3. Enfin, vous dites aussi « Et ceci est l’opinion de la communauté scientifique internationale (…) ». Une opinion, fusse-t-elle de la communauté internationale, n’est pas un fait, ce n’est qu’une opinion, un point de vue ; si ce point de vue n’est pas étayé par les faits, il ne vaut rien scientifiquement parlant, ne vous en déplaise. Or l’opinion à laquelle vous faites allusion, qui serait soi-disant celle de la communauté scientifique internationale, non seulement n’est étayée par aucun fait mais est totalement infirmée par le faisceau de faits dont nous disposons aujourd’hui. Nier les faits parce qu’ils ne confortent pas la vision idéologique que vous avez du réel n’est pas de la science. Votre troisième et dernier argument, au même titre que les deux précédents, est évidemment scientifiquement nul.
        P.S. : vous trouverez ci-dessous les trois notes explicatives :
        1. Dans leur langue, les Égyptiens anciens se sont désignés suivant plusieurs termes : « Egyptiens » n’en a jamais fait pas partie ; en effet, il n’existe aucun texte légué par les Égyptiens anciens dans lequel apparaît le mot « Égyptiens ». Le mot « Égyptiens » est une appellation fautive que l’on doit à des Grecs de l’Antiquité (donc des étrangers leucodermes qui, évidemment, ne maîtrisaient pas la langue des autochtones) ayant visité l’Égypte. Certains prêtres égyptiens de Memphis (« Mennefer » qui est l’un des véritables noms par lesquels les Égyptiens anciens désignèrent cette ville) communiquèrent aux Grecs le nom de leur ville par le terme « Hu Ka Ptah », ce qui signifie « la Demeure le l’âme de Ptah ». Les Grecs, des étrangers, déformèrent ce terme et en firent « Aegyptos ». L’égyptologie, qui n’est pas une science rappelons-le, s’empresse de reprendre ce terme erroné pour désigner l’ensemble du pays et de la civilisation égyptienne ancienne sous le terme, évidemment erroné, d’« Égypte ». Parmi les noms que se donnaient les Égyptiens anciens (noms que l’on retrouve dans les papyri qu’ils nous ont légués), se trouvent « Kemou » (les Noir.es), « Kemtiou » (ceux et celles issus ou originaires de la Noire, la patrie des Noir.es, etc, «la Noire» étant l’un des noms que donnaient les Égyptiens anciens à leur pays).
        Hérodote : « les Colches sont une colonie des Égyptiens, parce que, comme eux, ils ont la peau noire et les cheveux crépus »
        2. L’égyptologie étant une discipline négrophobe, mais ayant aussi compris que depuis Cheick Anta Diop il était devenu impossible de blanchir totalement l’Égypte ancienne, elle a cru pouvoir trouver une échappatoire en inventant l’idée d’une nation égyptienne ancienne racialement hétérogène, métisse en quelque sorte. Le but visé, toujours le même, est de frustrer les Noirs de leur histoire, de leur passé, de leur patrimoine, de leur héritage civilisationnel, surtout si ce dernier se révèle d’un prestige et d’une importance inestimables. Malheureusement pour vous – et les égyptologues – tous les faits, tous les artéfacts exhumés montrent unanimement, et de la manière la plus formelle, que les Égyptiens anciens étaient des Noirs ; pas des métisses, pas des Méditerranéens au teint mat, à peine bronzés, pas des Asiatiques venus en Égypte à dos de chameaux ou des Européens venus par bateaux mais bel et bien des négro-Africains, comme les autres habitants de l’Afrique antique.
        3. La mélanine est une protéine présente dans les cellules de la peau : les Noirs présentent un niveau de mélanine nettement supérieur à celui des populations leucodermes d’ascendance asiatique ou européenne ; ce fait n’a rien d’étonnant sachant que les Égyptiens, comme les autres Africains de l’Antiquité, vivent dans des régions fortement ensoleillées à longueur d’année or, la mélanine procure une protection efficace contre les rayons du Soleil. Le niveau de mélanine trouvé dans la peau des momies pharaoniques coïncide en tous points avec celui des Noirs d’aujourd’hui (et d’hier).

  9. Mao dit :

    Si sa demi-soeur Arsinoé était métissée, sa mère était Africaine. Alors pourquoi pas elle ? Il se peut qu’elle fût une métisse plus ou moins clair de peau.
    Qui sait réellement à quoi elle ressemblait ?

    Plus récemment dans l’histoire de l’esclavage transatlantique, des femmes métisses très claires de peau aux cheveux plus ou moins lisses se sont fait passer pour des femmes blanches pour échapper à leur sort d’Esclaves. Et cela est passé comme une lettre à la poste.

    300 ans d’occupation de l’Égypte par les Grecs n’a pas créée de métissage avec les autochtones selon vous ? Et surtout que ces monarques venus d’Occident se sont proclamés pharaons !

    Même Alexandre le Grand avait épousé une Afghane pour asseoir son pouvoir.

    La racisation, c’est un concept moderne occidental à l’échelle de l’histoire.

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