Ce cycle de cours sera organisé en partenariat avec la maison du patrimoine oral de Bourgogne (MPOB) créée en 2008 et cise à Anost, dans le Morvan qui recense, étudie et fait connaître le patrimoine immatériel des terres de Bourgogne.
Située des marges sud du Bassin parisien aux abords de la frontière suisse, la Bourgogne compte plusieurs aires linguistiques et, de fait, plusieurs langues : le Morvaudiau (divisé en plusieurs dialectes) au centre, le Champenois au nord, le Nivernais-Berrichon-Bourbonnais à l’est et le Franco-Provencal/Arpitan au sud.
Les cours commenceront le 17 septembre à l’Université de Dijon et regrouperont une quinzaine d’étudiants.
Crédit photo : Wikipedia
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6 réponses à “A Dijon, les langues de Bourgogne seront enseignées à l’université”
Qu’en pense Jordan Bordella et sa tata à la démarche ô combien distinguée…? On est bien loin de la démarche d’une dame de qualité!
Il est formidable que personne ne remarque que la mise en avant des régions, de leur culture propre et de leur langue morte est instrumentalisée pour détruire l’unité FRANCAISE et FRANCOPHONE, et ainsi mieux construire sur ses ruines un federalisme euro-mondialiste de langue anglaise…
Au contraire, il faut serrez les rangs de la francophonie et du royaume de France seule alternative au Chaos du monde d’après.
ça va servir à quoi ??
diviser encore diviser !!
ça va servir à quoi à l’international ??
ILS ne maitrisent déjà pas la langue française !!
Qu’ils commencent déjà par maitriser des langues utiles : anglais, allemand, espagnol, russe, etc, etc….
S’ils le font c’est qu’il y a une demande et en tant que Breton je peux le comprendre.
D’autant que la Bourgogne possède aussi une grande histoire.
Ah franchement, que d’esprits étroits par là : les langues régionales ce sont nos racines, et les enseigner largement est, au contraire de ce qui se dit plus haut, une façon de renforcer notre identité (française). Quand je pense au nombre de pauvres gens qui prétendent être breton et qui ne parlent pas un mot de breton (ni même de gallo…) paour-kaezh tud ‘ta : Ale Kenavo !
À Petitjean : si les Bourguignons ne peuvent apprendre leur langue régionale, et bien supprimons aussi le breton alors ! Équité.. langues « utiles » seulement ! C’est bien cela vos propos ? Et pour info, la langue bourguignonne est bien plus proche lexicalement « à l’international » comme vous dites, que le breton. Cdt.