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A Angers, le RED (Rassemblement des étudiants de droite) dénonce la désinformation et les mensonges autour des prétendues « Attaques de milices d’extrême droite » – Un policier confirme la version du RED

La mouvance antifasciste radicale bénéficie d’innombrables passerelles et copinages dans la presse mainstream, locale comme nationale. C’est ce qui explique notamment que depuis vendredi soir, une multitude d’articles sont apparus concernant Angers, et l’apparition de prétendues « milices d’extrême droite », qui auraient agressé des passants à la batte de baseball.

Des vidéos ont d’ailleurs circulé, montrant des jeunes armés de bouts de bois, se bagarrer avec d’autres, vendredi soir. Et d’autres jeunes se faire agresser et poursuivre par ce qui s’apparente à des jeunes de cité, samedi soir, dans les rues d’Angers. Une ville où il faut le rappeler, un commissariat a été attaqué par des racailles, une maison de quartier neuve intégralement détruire, des dizaines de voitures de particuliers brûlées.

https://twitter.com/tomsursnap6/status/1674896627214045184?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E1674896627214045184%7Ctwgr%5Ef41dbe00b2c83d2aa3384c6e08dee6747257f80c%7Ctwcon%5Es1_c10&ref_url=https%3A%2F%2Fbo-pic-regions.francetelevisions.tv%2F

Un faux tract de l’Alvarium a même été diffusé sur les réseaux sociaux, provoquant la colère de certains jeunes de cités venus garnir les rangs de « antifas » samedi, dimanche, et même encore ce lundi.

Mais suite à la pression médiatique et à l’emballement sur les réseaux sociaux provoqué par les antifascistes, la Justice a décidé d’ouvrir une enquête. Non pas pour arrêter les incendiaires, les émeutiers. Mais pour « Attroupement armé », comme annoncé par le procureur de la République d’Angers. Dès ce lundi matin, un local qui appartenait jadis à l’Alvarium (mouvement identitaire dissout et qui conteste toujours sa dissolution) rue du Cornet, mais aujourd’hui au Rassemblement des étudiants de droite (RED) a été perquisitionné. Un contraste saisissant avec les absences de suites concernant incendies, pillages, émeutes partout en France.

Face à la pression médiatique et à la désinformation, le RED a décidé de communiquer sur son compte twitter pour rétablir les faits.

« Depuis bientôt 24h, des informations circulent un peu partout sur une soi disant “agression fasciste” à Angers. Rétablissons la vérité, très loin des mensonges relayés par les médias complices; Alors que le chaos s’abat sur tout le territoire et que la France implose, notre local a été perquisitionné ce matin par la police, suite aux attaques que nous subissons depuis 3 jours!! Voici les faits RÉELS. Vendredi, des émeutes éclatent en centre-ville à Angers, à l’initiative de toute la gauche locale ainsi qu’en banlieue où la situation devient incontrôlable. Alors que nous nous retrouvions comme à notre habitude, pour boire un verre dans notre local rue du cornet, les émeutiers, après avoir incendié le jardin du Mail (photo), décident d’attaquer notre local vers 21h. Voyant un blackbloc ultra-violent d’une centaine d’individus s’approcher en scandant des menaces (“on va vous tuer”), 15 de nos militants sortent du local avec des manches à balai pour se défendre (photo du bloc angevin qui ravage Angers en toute impunité depuis des mois) S’ensuit une débandade pour les agresseurs armés et cagoulés qui pensaient pouvoir détruire notre local comme ils détruisent le mobilier urbain et les bâtiments publics …Dans les minutes qui suivent, à l’initiative de la gauche locale, la fausse rumeur selon laquelle une “milice d’extrême droite armée” agresse des passants au hasard circule, relayée par tous les médias. Lunaire. Parallèlement, nous sommes tous témoins du chaos dans lequel la racaille plonge la France depuis bientôt une semaine. Dans certaines villes, ils se baladent avec des armes de guerre, brûlent des mairies, des écoles, des commissariats (comme ici à Angers) »

« Et pourtant, ce sont bien nos militants qui sont la cible prioritaire des médias et du Procureur de la République, qui a lancé une enquête contre nous …Les visages, les identités et mêmes les adresses des identitaires angevins qui se sont défendus face à leurs agresseurs sont désormais relayés par les antifas. Non seulement eux mêmes, mais aussi leurs familles reçoivent des menaces depuis 48 heures. Le lendemain, 3 militants ouvrant le local se sont fait attaqués par 20 racailles cagoulés armées de couteaux. Muni d’une simple gazeuse pour se défendre, c’est pourtant l’une des victimes qui s’est faite interpellée par la police, tandis que les agresseurs continuèrent. Plus tard dans la soirée, de nombreux militants se sont retrouvés au local pour le protéger face aux menaces reçues. Plusieurs groupes de racailles tenteront de s’attaquer à nous dans la nuit, armés de hachoirs et de machettes. Ils seront systématiquement repoussés par … nos manches à balai. Bilan : seulement 4 interpellations du côté racaille (on retrouvera sur eux des armes, comme une machette). Des individus armés d’armes de poing ont également été aperçus faisant des rondes dans le quartier. Ceux qui s’indignent de patriotes défendant leur local face à la racaille d’extrême gauche et de banlieue, mais encouragent ces derniers à sortir dans la rue avec leurs armement de guerre pour terroriser les français, sont des manipulateurs et des traîtres à la nation. Heureusement, nous pouvons compter un soutien massif venu de toute la France mais aussi de l’étranger (…)

Par leurs mensonges et leurs manipulations grossières, ils ne visent qu’une chose; aboutir à leur projet de destruction de la France. La gauche jubile de voir l’immigration brûler notre pays. Face au chaos, rejoins les tiens ! »

Un policier confirme la version du RED

Nous avons eu un policier du secteur, qui pour des raisons évidentes, a souhaité conserver l’anonymat. Il connait parfaitement la situation locale : « Cela fait des années que les antifas essaient de mettre la pression sur l’Alvarium. Il y a eu pas mal de tentatives d’attaquer leur local. De dégradations de nuit, de menaces. Et là, ça a été la même chose vendredi soir,  puisqu’il y a toujours un groupe politique dans ce local qui n’est plus l’Alvarium. En plus violent, du fait du nombre des manifestants. Il y a eu des agressions, et je confirme qu’effectivement, la grande majorité des fois où les collègues sont intervenus, cela concernait essentiellement des provocations de l’extrême gauche.

Cela n’empêche pas quelques réactions sans doute parfois vives de l’autre côté, mais il faut quand même être honnête sur qui est l’agresseur et qui est l’agressé la plupart du temps ». Quand on évoque le traitement médiatique autour de cette affaire, ce dernier indique : « On ne doit pas être dans la même ville ni dans les mêmes évènements. On a l’impression de lire deux choses différentes. Mais je ne peux pas en dire plus, devoir de réserve oblige, mais il y aurait beaucoup à dire sur le sujet ».

Voilà qui aura le mérite d’être un tout autre son de cloche que la soupe servie actuellement.

A l’heure où nous écrivons ces lignes, ce sont des jeunes des cités locales qui tentent de s’en prendre au local, y compris ce lundi.

Crédit photo : DR

[cc] Breizh-info.com, 2023, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine

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2 réponses à “A Angers, le RED (Rassemblement des étudiants de droite) dénonce la désinformation et les mensonges autour des prétendues « Attaques de milices d’extrême droite » – Un policier confirme la version du RED”

  1. Vincent dit :

    Les journalistes comme les politiques sont dans cette affaire comme d’autres de même type de véritables ordures.

    L’objectif de tout celà ? Exciter et jeter les gens les uns contre les autres.

    Le but ? Déconstruire moralement puis matériellement la France

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