Encore une fois, les tartuffes qui nous gouvernent se trompent de cible. Ils agitent leurs petits muscles sénatoriaux et promettent de « réformer » l’Aide médicale d’État (AME) comme si elle était la cause de tous nos maux. Ils savent pourtant que c’est une imposture : supprimer ou restreindre l’AME ne changera rien au problème migratoire, mais aggravera le chaos sanitaire et moral dans lequel sombre notre pays.
Soigner n’est pas une option, c’est un devoir
Les soignants ne sont pas des gendarmes, pas des douaniers, pas des agents de préfecture. Leur mission est de soigner. Point. Dans des hôpitaux déjà saturés, demander aux médecins et aux infirmières de vérifier les papiers d’identité, de trier les malades entre « légaux » et « illégaux », relève de la pure folie bureaucratique. Ce serait condamner les soignants à l’impossible et les patients à l’abandon.
Pire encore : refuser de soigner des étrangers porteurs de maladies contagieuses reviendrait à prendre le risque d’épidémies. La santé publique ne connaît pas les frontières administratives. Refuser des soins, c’est exposer toute la population à des contaminations massives. Voilà l’imbécillité crasse de politiques qui jouent aux pompiers pyromanes.
Mais le scandale n’est pas seulement dans la stupidité sanitaire. Il est surtout dans l’hypocrisie politique. Car enfin, pourquoi ces mêmes responsables, incapables de fermer nos frontières, incapables d’expulser en masse les clandestins qui pullulent sur notre sol, viennent-ils ensuite pleurer sur le coût de l’AME ? L’État français tolère, alimente même, une immigration massive – légale comme illégale – et dans le même temps il veut priver de soins d’urgence ceux qu’il laisse entrer. Cherchez l’erreur !
Ce n’est pas l’AME qu’il faut supprimer. C’est l’immigration de masse, clandestine comme légale. Le reste n’est que diversion pour électeurs amnésiques.
La vraie solution : stopper l’immigration, pas les soins
Soyons clairs : un pays digne commence par fermer ses portes quand elle n’a plus les moyens d’accueillir. La solution n’est pas de laisser entrer le monde entier pour ensuite refuser un pansement, un vaccin ou un accouchement. La solution, c’est zéro immigration nouvelle, le rapatriement des clandestins par charters massifs, et l’exigence que les pays d’origine paient pour les frais médicaux de leurs ressortissants. Pas de règlement ? Pas un centime d’aide internationale.
Dans l’intervalle, un malade est un malade. Il doit être soigné. Non pas par angélisme, mais par simple réalisme sanitaire et par humanité élémentaire. Un peuple qui refuse de soigner sur son sol n’est pas un peuple fort : c’est un peuple en voie de tiers-mondisation.
La suppression de l’AME n’est rien d’autre qu’un écran de fumée. Les mêmes politiciens qui s’agitent aujourd’hui continueront demain d’ouvrir grand les vannes migratoires pour satisfaire le patronat mondialisé et les ONG immigrationnistes. Ils croient nous endormir avec des mesurettes comptables, mais ils évitent soigneusement la seule question qui vaille : voulons-nous rester maîtres de notre destin démographique et civilisationnel, oui ou non ?
Le choix est clair : soigner, toujours, parce que c’est le rôle d’un système de santé digne. Mais expulser, immédiatement, pour retrouver une la maîtrise de son territoire. Sinon, nous n’aurons ni santé publique, ni frontières, ni avenir.
Le reste n’est que comédie parlementaire pour politiciens sans courage.
YV
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Une réponse à “AME : hypocrisie d’État et lâcheté politique sur la question de l’immigration”
on peut tres bien supprimer l’AME .
elle est accordé apres 3 mois de presence .
En 3 mois les maladies contagieuses ont le temps de se dissiminer ,les cas de gale et méningite en sont un exemple.
De nombreux pays n’ont pas l’ame .
les soins d’urgence payant sont suffisants.
il faut cesser deja de délivrer des visa pour soins.
Et arrêter le statut des MNA et du droit d’asile, supprimer le droit du sol