Le développement des langues régionales est une condition sine qua non pour la renaissance de l’esprit occidental et enraciné. Le développement de l’Islam rigoriste chez les immigrés et la fascination pour l’univers « banlieue » chez les jeunes Français n’est que la conséquence du déracinement et du règne de l’urbain, ferment de l’aliénation culturelle et personnelle. La question actuelle de la santé mentale participe de la même problématique : « Désidentarisés » au niveau personnel, sexuel, linguistique, national, les jeunes et les moins jeunes ne savent plus qui ils sont !
Aujourd’hui, toutes les villes se ressemblent, toutes sont des melting-pots et des portes d’entrée pour la sous-culture mondialiste à la sauce franglish wesh-wesh, or le « récit français » est trop désincarné, trop « contrat social », trop étatique pour proposer un réenracinement massif à une jeunesse en quête de sens, de singularité, d’âme et d’identité. Personne ne mourra en martyr pour la laïcité et « l’association volontaire d’individus » qu’est la France théorisée par Ernest Renan. Par contre, on mourra pour la Bretagne ou la Corse, patries charnelles.
C’est en ce sens que l’organisation catalaniste Unitat Catalana demande à Paris l’ouverture d’un secrétariat d’état aux langues régionales. Selon l’organisation « il est nécessaire de mieux coordonner les politiques publiques en faveur des langues régionales et ce dans le but de garantir une égalité de traitement entre elles. Notamment en matière d’enseignement, d’audiovisuel et de bilinguisme dans les services publics.
Le message a été directement transmis à Sébastien Lecornu qui oeuvre actuellement à la constitution d’un gouvernement.
Illustration : DR
[cc] Article relu et corrigé (orthographe, syntaxe) par ChatGPT.
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