La scène s’est déroulée le 5 novembre dernier, en plein après-midi, à la gare ferroviaire de Redon. Un migrant de 26 ans, récemment arrivé en France, a été condamné ce vendredi par le tribunal correctionnel de Rennes après avoir provoqué une vive inquiétude parmi les voyageurs et riverains. Armé d’un bâton, il s’est approché d’un enfant en bas âge avant de s’en prendre physiquement à plusieurs passants, dont deux adolescents.
Selon le dossier, le jeune homme s’est dirigé vers un enfant de deux ans, bâton levé. La mère, choquée, a cru assister à une attaque imminente. L’individu, lui, a tenté de minimiser les faits à la barre, parlant d’un « jeu », argument difficilement compatible avec la scène observée par témoins et reprise dans la procédure.
Voyant la situation dégénérer, deux adolescents, 13 et 14 ans, ont tenté de s’interposer. L’homme les a alors agressés : coups de pied, coups de poing, col relevé, bousculades… Une jeune fille témoignant sur place a elle aussi été projetée contre un mur. Le climat de peur est alors monté d’un cran parmi les usagers de la gare.
Lorsque les forces de l’ordre sont intervenues, l’individu — décrit comme extrêmement agité — a multiplié insultes et rébellions. Enfermé en détention provisoire depuis son arrestation, il a été assisté d’un interprète lors de l’audience, mêlant déclarations en français et en arabe.
S’il a été brièvement évoqué un éventuel trouble psychiatrique, l’expertise médicale, réalisée dans le cadre de l’enquête, n’a pas conclu à une altération du discernement. Les forces de l’ordre, de leur côté, ont décrit un comportement violent et imprévisible.
Le tribunal a finalement condamné Koussaiela Kourtaa à un an d’emprisonnement ferme. Il restera derrière les barreaux.
Ce nouvel épisode à Redon illustre une fois encore les inquiétudes persistantes liées à certains profils de migrants ou étrangers déjà connus pour des comportements agressifs. Dans un contexte national où les questions de sécurité, d’errance et d’intégration se mêlent, ce type d’affaire nourrit le sentiment d’abandon des citoyens face à des individus qui, loin de s’intégrer, deviennent une menace pour l’ordre public.
Quelqu’un de censé saurait-il expliquer pourquoi ces affaires se multiplient et pourquoi, les Juges, jour après jour, continuent de décider sans le moindre compte à rendre de qui reste ou qui part du territoire ?
Illustration : DR
[cc] Article relu et corrigé (orthographe, syntaxe) par ChatGPT.
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