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Après les migrants, Macron veut répartir les délinquants sur le territoire : Quel réponse des Bretons ? [L’Agora]

Après la « transition démographique » annoncée le 15 septembre 2022 par Emmanuel Macron qui vise à envoyer les migrants dans les campagnes, celui-ci vient de dévoiler un nouveau volet du Grand Remplacement : l’Etat français compte « répartir les difficultés » après les émeutes de ce début d’été ! « Répartir les difficultés », cela veut dire envoyer les familles de délinquants dans les campagnes pour les éloigner de leur biotope naturel. Familles de délinquants qui, bien entendu, formeront de nouveaux foyers de chaos à Limoges, Landerneau ou Châteauroux.

Face à cette catastrophe annoncée et au risque grave de guerre civile qui vient et se diffuse sur tout le territoire, les militants nationalistes bretons ne peuvent pas rester les bras croisés.

Lors des dernières émeutes, des groupes d’auto-défense ont fait leur apparition à Lorient et, très récemment, à Nantes. Face à cette réalité nouvelles, que feront les patriotes breton sous la seule bannière du Gwenn-ha-Du ? Qui, sinon les Bretons eux mêmes,  pour assurer la défense de nos campagnes, les villes étant déjà majoritairement perdues, et l’Etat ayant depuis longtemps abandonné les citoyens ?

Qui pour faire face, demain, si le désordre venait à s’installer, dans des villes moyennes qui sont déjà en phase de dégradation lourde ? Châteaubriant, Locminé, Pontivy, Loudéac, Redon, Morlaix, la liste est déjà trop longue de ces « quartchiers » qui se résument souvent à quelques pâtés d’immeubles où des citoyens risquent de se retrouver seuls face à des hordes de pilleurs.

Et quelle sera l’attitude des nombreux gauchistes qui trahissent en permanence leur propre peuple face à toutes les vilénies

Heureusement, ceux-ci sont désormais tous plus ou moins non-binaires et perchés sur des talons de 15 cm. Les rares mâles restant ayant suivi la mode « hommes soja », ceux-ci ne représenteront pas une menace trop importante. Au pire, ils s’opposeront en « twerkant » !

Cet appel aurait suscité, il y a encore quelques années, de sournois sourires. Aujourd’hui, il doit être pris au sérieux face à une situation fort dégradée ! Le gouvernement français a décidé de répartir la charge de l’immigration dans les campagnes. Ce sont donc des millions d’Africains sub-sahariens, d’Afghans et de Maghrébins qui vont être envoyé pour « repeupler » certaines contrées d’Europe déjà touchées par les difficultés de logement et une délinquance inédite.

Il y’a très peu d’espoir que la situation s’améliore. L’avenir, c’est désormais la Sécession. Sécession du territoire, ou pour être plus réaliste, la sécession DES territoires. Car nous devrons sûrement, nous aussi, abandonner des territoires urbains dans les grandes villes bretonnes.

Autre changement de paradigme : l’ennemi n’est plus le Français ! J’irais même plus loin : l’ennemi n’est plus le nationaliste français. Je suis pleinement conscient que ce changement complet de paradigme peut être choquant pour un emsaver mais demain nous devrons nous opposer dans une alliance de circonstance avec les patriotes français contre l’ennemi commun : l’immigration et son cocu utile : l’islamo-gauchisme. Rester dans une posture héritée de l’épopée Breiz Atao est une erreur et un crime contre l’avenir. Allons nous refuser l’aide des patriotes français de l’Alvarium d’Angers quand d’autres Callac ou Saint-Brévin émergeront par exemple ? Nous ne pourrons pas lutter sur plusieurs fronts et le peuple breton choisira naturellement les nationalistes français si nous ne sommes pas sur le terrain avec le Gwenn-ha-du pour proposer, en bonne intelligence, une autre alternative. L’alternative bretonne.

De la même façon, il faut ouvrir les yeux, nous ne sommes pas dans une situation à l’Irlandaise ou même à la Basque, le peuple breton, s’il a une certaine acrimonie contre les élites et Paris, n’est pas anti-français. Celui-ci cultivant plutôt une certaine « synthèse » entre son identité bretonne et son identité française. Et trouvant surtout un débouché électoral chez Marine Le Pen et Eric Zemmour. Débouché électoral que nous n’avons pas su créer.

Nous restons donc des indépendantistes bretons mais nous devrons forcément composer demain avec les forces nationalistes françaises pour sauver notre peuple de la victoire du camp du Grand Remplacement. C’est terrible, mais c’est ainsi. Et c’est la dure voix de la sagesse et du réel sur le romantisme.

Nous n’avons désormais plus beaucoup de temps. Emmanuel Macron vient de l’annoncer. L’approche des Jeux Olympiques devraient donner le top départ du déménagement de milliers d’immigrés parisiens vers la Bretagne, avec apport supplémentaire des flots qui débarquent chaque jour de Méditerranée et de la route des Balkans. Les patriotes Bretons doivent dès à présent réfléchir, pour anticiper les prochaines émeutes ou pour protéger les citoyens bretons des campagnes, absolument désarmés, face aux conséquences qui pourraient naître de ces flots de nouveaux arrivants non invités sur notre territoire.

Force est de constater – et les exemples récents de Lorient ou de Nantes le démontrent – que depuis longtemps, les patriotes Bretons sont largement en retard y compris sur ce que font des groupes spontanés, de citoyens, pour protéger ce qui doit l’être.

Nous sommes en retard. Pourtant, il y a urgence absolue pour notre peuple !

Mathurin Le Breton

Précision : les points de vue exposés n’engagent que l’auteur de ce texte et nullement notre rédaction. Média alternatif, Breizh-info.com est avant tout attaché à la liberté d’expression. Ce qui implique tout naturellement que des opinions diverses, voire opposées, puissent y trouver leur place.
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11 réponses à “Après les migrants, Macron veut répartir les délinquants sur le territoire : Quel réponse des Bretons ? [L’Agora]”

  1. Mickael BZH.FR dit :

    « Au pire, ils s’opposeront en “twerkant” ! »
    Ahahah merci pour la rigolade :-)
    Sinon tout à fait d’accord avec ce discours, il faut prendre la menace qui pèse sur la Bretagne très au sérieux.
    Bevet Breizh!

  2. Pschitt dit :

    Ne pas se faire d’illusions : la réussite des Jeux Olympiques parisiens EXIGE la délocalisation de dizaines de milliers, voire de centaines de milliers de personnes
    – pour récupérer leurs logements afin d’héberger les touristes,
    – pour des raisons d’image (es médias mondiaux réunis pour les JO se feront un plaisir de montrer les campements de migrants)
    – pour limiter les faits de délinquance contre les touristes (agressions, vols à la tire…)
    – pour alléger le travail de la police afin qu’elle se consacre davantage aux JO
    Inéluctablement, le gouvernement et la municipalité parisienne vont s’entendre pour exploiter les provinces.
    On peut parier que le gros de la « répartition des problèmes » aura lieu sous forme d’offensive éclair dans les semaines précédant le début des JO, pour que les « difficultés » réparties n’aient pas le temps de revenir à Paris et pour que les problèmes en province n’aient pas le temps de devenir trop visibles — or des problèmes, il y en aura fatalement, puisque la migration d’illégaux et de délinquants de Paris vers la province ne sera pas accompagné par la réaffectation de forces de police équivalentes. Il s’agira pour le gouvernement de « tenir » jusque vers le 15 juillet 2024 ; ensuite, on ne parlera plus que des JO pendant des semaines.
    Etant donné les conséquences à craindre en Bretagne et ailleurs, il serait sage de surveiller tous les aménagements effectués ici et là, et peut-être dissimulés sous des prétextes divers (reconstruction d’un centre de vacances, réhabilitation hôtelière, etc.), pour que la Grande Déportation des « difficultés » parisiennes puisse intervenir en temps voulu.

  3. kaélig dit :

    Ah, enfin ! La décentralisation est « en marche » !…Les emm…es pour la Province…les benefs pour Paris !

  4. Pierrick dit :

    J’ai peur 🥴….Paranoïa ou xénophobie 😂 ???

  5. alienor dit :

    c’est décidé, je mets mes chats dans ma vieille disel de 2005 et je retourne en corse ! dommage parce que je suis plus bretonne (mon adn) que corse

  6. Thomas dit :

    Je vous échange 3 de vos chômeurs bretons ( On a besoin de bénévoles en 2024 ) contre 10 dealers, ça vous botte ?
    Attali appelle ça la mobilité des peuples !
    Il faut que tout le monde en profite un peu ! Il n’y a pas qu’à Paris que le vote de gauche arrive en tête !!

  7. lg dit :

    Et si les Jeux Olympiques ne pouvaient tout simplement pas se tenir ?
    Nous avons déjà annulé la visite du Roi Charles ; je crois qu’il en en de même d’une visite de notre Président en Allemagne… Et l’attitude des forces de l’ordre…
    « Tenir jusque vers le 15 juillet 2024, ensuite on ne parlera plus que des JO… » comme le dit Pschitt : c’est bien sûr le souhait des autorités mais dans les provinces, démunies de police, les choses ne se passeront pas forcément comme elle le voudraient. L’actualité, comme le vent, pourrait alors tourner très vite.

  8. Collectif REC dit :

    La France est gangrené de partout grâce à tous ces bons à rien qui nous gouvernent !

  9. patphil dit :

    si les bretons deviennent des gaulois réfractaires, et s’en plaignent, qu’ils cessent de voter pour leur bourreau

    • xavier dit :

      ….et c’est valable aussi pour le reste de la population ! apres avoir eté diriger depuis 50 ans par les memes escrocs on voit bien le resultat aujourd’hui esperont qu’en 2027 il y aura 1 eclair de lucidité et de bon sens….

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