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Après le massacre de Nashville par un transgenre, des questions…

A Nashville (USA), une femme à barbe se considérant “transgenre” a tué 3 enfants et 3 adultes par arme à feu dans une école primaire chrétienne. Selon les autorités américaines, cette femme aurait laissé un “manifeste” expliquant son geste.

Aucun élément sur ce manifeste n’a, à l’heure où nous écrivons ces lignes, été rendu public, nous ne savons donc rien de ses motivations.

https://twitter.com/AstridPrunier1/status/1640747407062253570?s=20

Cette affaire met en lumière un aspect peu connu du milieu transgenre : les pathologies mentales dont certains adeptes du transgenrisme se disent eux-mêmes atteint. On trouve sur les réseaux sociaux beaucoup de ces individus affichés comme tels et qui déclarent, en effet être atteints de diverses pathologies psychiatriques. L’état de leur “santé mentale” étant, de leur propre aveu, une préoccupation majeure, entre rendez-vous chez le psy et périodes dépressives ou délirantes. Mais là où le problème est inquiétant c’est que ces questions de santé mentale sont sur-valorisées dans ce milieu. En gros, être “trans” sans être atteint de différents troubles autistiques ou de schizophrénie ce n’est pas “cool”. D’où la propension de certains jeunes tentés par le transgenrisme de s’inventer des pathologies mentales, voire de s’en créer pour bien rentrer dans le moule de la “communauté”.

Bien entendu, ces questions de “santé mentale” sont généralement attribuées à la “pression” de la société “hétéropatriarcale”, les personnes trans ne pouvant s’y épanouir sereinement, d’où de multiples “traumatismes” et patati patata.

Jusqu’au 27 mai 2019, le transexualisme était considéré par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) comme une maladie mentale. La France l’avait, quant à elle, retiré de ses propres listes de désordres psychiatriques 10 ans plus tôt. Ce choix a-t-il été dicté par une analyse scientifique du phénomène ? Nous laissons chacun mener ses propres recherches.

La vague de transgenrisme que connaît actuellement la jeunesse et les pathologies mentales associées à ce milieu devrait interroger l’Etat. Comme les autorités devraient s’émouvoir du langage de haine utilisé par certains transgenres à l’encontre des personnes normales ou à l’encontre de tout ceux qui remettent en cause l’idéologie trans, devenue dogme religieux incritiquable.

Comment l’Etat réagirait-il si une mode chez les ados et post-ados consistait à se tatouer intégralement le visage ? Comment l’Etat réagirait-il s’il voyait émerger une vague consistant à se couper une main ou s’amputer une oreille ? A se gaver de médicaments sans aucune raison médicale ? La mode du CropTop a donné lieu à une polémique dans les établissements scolaires mais le moindre ado se déclarant du jour au lendemain “transgenre” et s’habillant en rose bonbon ou prenant des hormones en quantité doit faire l’objet de toutes les attentions et ses caprices deviennent paroles d’évangile. Si demain la nouvelle mode du xénogenre amène les jeunes à se prendre pour des bêtes à se faire appeler Médor, faudra-t-il prévoir des buissons spéciaux dans les cours de lycée pour que chacun puisse s’y soulager en reniflant le cul de son voisin ?

Il y a des personnes s’identifiant “transgenre” en grande souffrance psychologique dans la société actuellement. Ces personnes, au lieu d’être soignées, sont sur-valorisés et leurs pathologies célébrées comme étant le nec plus ultra de la modernité heureuse et de la tolérance universelle. Au début du XXè siècle, une secte orthodoxe russe avait pris l’habitude de s’amputer les organes génitaux ou les seins pour se rapprocher de Dieu. A l’époque, ces extrémistes étaient pris pour des fous, leurs descendants spirituels font aujourd’hui l’objet d’une quasi-vénération officielle. Stupéfiant !

Car le transgenrisme est passé en quelques années de la maladie mentale reconnue internationalement à un phénomène de mode turbo-valorisé jusqu’au plus haut sommet de l’Etat, rappelons juste les images stupéfiantes des représentants officiels de l’Etat américain à la dernière réception de l’ambassade française à Washington, le 14 juillet dernier. Jusqu’en 2019, ces deux individus auraient été enfermés dans un hôpital psychiatrique, ce 14 juillet 2022, “iels” étaient respectivement secrétaire adjointe (=secrétaire d’Etat) à la Santé dans le gouvernement Biden et secrétaire adjoint (=secrétaire d’Etat) du combustible usé et de l’élimination des déchets au Bureau de l’énergie nucléaire américain*.

Plus proche de nous, le collectif transgenre du Finistère, le CéTéFesse compte organiser le 31 mars prochain une “journée de la visibilité transgenre” en allant se “rendre visible en ruralité, dans la rue, auprès de lieux et commerces” dans tout le sud-Finistère. En clair, une opération de propagande pour inciter les gens, notamment les enfants, à devenir transgenres à coup d’opérations lourdes et de médicaments !

 

Le massacre de Nashville doit interroger le gouvernement français sur l’influence du lobby trans sur la société actuelle, notamment sur les enfants, et sur la survalorisation des problèmes mentaux que ce milieu véhicule !

* Samuel Brinton a depuis été condamné pour des vols de vêtements féminins dans des aéroports. Depuis, la presse américaine disserte sur la “santé mentale” de ce monsieur dont le principal loisir consiste à dresser des “chiens humains”.

Crédit photo : DR

[cc] Breizh-info.com, 2023, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine

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3 réponses à “Après le massacre de Nashville par un transgenre, des questions…”

  1. Jean-Louis d'André dit :

    Pourquoi les tueries de masse aux États Unis ont-ils toujours lieu dans des écoles (où universités), sinon justement parce que c’est le seul lieu où le port d’arme est interdit !
    Ailleurs, le tireur fou aurait trop peur d’être abattu par un passant, dès son premier coup de feu !

  2. patphil dit :

    à force de leur donner des idées incongrues… et des médicaments

  3. Erwan Berric dit :

    Il n’y a pas de problème avec les armes aux USA quoique disent leurs merdias en déplorant le “Gun Violence”. Il y a, en revanche, les problèmes que l’on ne veut pas nommer et que l’on balaye sous les tapis: Trans Violence, Black Violence, Clandos Violence, Antifa Violence, Immigrant Violence.
    “Gun Violence” est aussi con que de parler de “Violence des Couteaux” ou de “Violence des Scooters en Wheeling” dans nos faits divers.
    Quand on refuse de nommer les choses ou simplement de les montrer du doigt, on a perdu la partie.

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