Le féminisme, tel qu’il se manifeste aujourd’hui, n’a plus rien à voir avec son objectif initial : la lutte pour l’égalité des droits entre hommes et femmes. Aujourd’hui, il s’agit d’un tribunal où l’homme est systématiquement coupable. Coupable d’être né homme, tout simplement. Peu importe qu’il soit innocent, que son histoire soit plus complexe. Le verdict est déjà rendu par une société gangrenée par les cris des réseaux sociaux, où la présomption de culpabilité a remplacé la justice, et où les médias se délectent de cette mise à mort publique.
Je suis excédé par ces féministes de pacotille qui imposent une vision déformée des rapports entre les sexes. On nous répète à longueur de journée que les hommes sont des prédateurs, que chaque interaction est suspecte, et que chaque homme est un oppresseur en puissance. Ces généralisations, inadmissibles si elles visaient une religion ou une ethnie, passent ici sans la moindre réprobation. Au contraire, elles sont encouragées, amplifiées, et se répandent comme une gangrène dans les médias, les institutions et jusque dans nos foyers.
Oui, il y a des malades mentaux, des prédateurs, des monstres, des violeurs, des salauds. Ils doivent être arrêtés, jugés et condamnés pour cela (et expulsés définitivement lorsqu’ils sont étrangers). Ils doivent payer fort le prix de leurs méfaits.
Mais que dire du tribunal d’Internet, ce tribunal populaire où chacun, derrière son écran, devient juge, juré et bourreau ? Un homme est accusé et, avant même que les faits soient établis, il est détruit. Sa carrière, ses relations, sa vie tout entière sont brisées. La justice ? Elle n’a plus de place ici. Il suffit d’une accusation, d’un mot clé bien choisi, et l’inquisition féministe se met en marche, avec des conséquences irréversibles.
L’Abbé Pierre ne peut plus se défendre, il est mort. Tant pis, on pisse sur sa tombe et sur son cadavre, et collectivement. Les poursuites pour viol sur Ersilia Sourdais par son ex-mari son classées sans suite : cela n’innocente pas son mari, il est peut être coupable après tout, le salaud ! C’est cela en permanence. On fonce vers le totalitarisme féministe au nom de la protection (légitime) de la femme.
Où est l’égalité dans tout ça ? Cette société que les féministes rêvent de façonner, c’est une société où hommes et femmes ne pourront bientôt plus coexister. À force de vouloir détruire l’image de l’homme, à force de criminaliser chaque geste, chaque parole, nous créons une fracture profonde et dangereuse. Comment les hommes et les femmes pourront-ils vivre ensemble demain si chaque homme est perçu comme un danger potentiel, un prédateur à neutraliser ? Déjà, aujourd’hui, les jeunes, de 18, 20, 25 ans, n’osent même plus s’aborder, se rencontrer, s’embrasser, avoir des relations intimes. Ou beaucoup moins qu’avant. La peur de mal faire, la peur du gendarme. Vais-je être poursuivi pour agression sexuelle si je tente d’embrasser en boite de nuit la jeune femme avec qui je danse sensuellement depuis une heure ? Dois-je faire signer un contrat de consentement si cette autre jeune femme, qui a consommé de l’alcool, comme moi, se retrouve dans mon appartement, avec l’envie de passer une folle nuit au départ ? Qui sait, demain, ne va-t-elle pas dire qu’elle avait bu ? Puis-je encore ouvrir la porte par galanterie à une femme chez le médecin sans me faire traiter de suppôt du patriarcat ? Dois-je laisser ma voisine du 5ème étage monter seule ses courses, au nom de l’égalité des sexes y compris dans la force physique ?
Il est temps de se poser cette question, car cette dynamique féministe totalitaire est en train de provoquer un changement anthropologique majeur dans la société européenne. Un changement où la confiance entre les sexes disparaît, où la famille, socle de notre civilisation, se fissure. Il n y a pourtant pas besoin de Sandrine Rousseau, ni de l’Etat Riboublicain, pour inculquer à ses enfants qu’on ne frappe pas les femmes, qu’on les respecte, y compris sexuellement et physiquement. Il n y a pas besoin de se déconstruire, simplement de se comporter en homme, en vrai, en chevalier.
Le féminisme actuel prétend œuvrer pour l’égalité, mais cette égalité est un leurre. Vouloir effacer les différences biologiques, physiques, psychologiques entre hommes et femmes est un projet voué à l’échec, à moins de modifier génétiquement l’humanité. Les hommes et les femmes ne sont pas identiques, et cette quête d’égalitarisme absolu est non seulement impossible, mais aussi dangereuse. Elle mène à une société où les relations humaines sont déshumanisées, où la méfiance règne, et où la moindre interaction est scrutée à la loupe.
Nous devons nous opposer à cette dérive. Nous devons refuser de vivre dans une société où la justice est rendue dans les médias et sur Twitter, et non dans les tribunaux. Nous devons défendre la présomption d’innocence, un principe fondamental de toute société libre et juste. Car si nous continuons sur cette voie, hommes et femmes finiront par ne plus vouloir vivre ensemble. Et sans cette union, il n’y aura plus de vie telle que nous la connaissons.
Le féminisme, dans sa forme actuelle, n’est plus une lutte pour l’égalité. C’est un poison qui ronge notre civilisation, un outil de contrôle idéologique qui menace notre survie. Il est temps de dire non. Non à cette dictature de la pensée, non à cette guerre des sexes, non à ce tribunal médiatique orwellien qui détruit des vies sous prétexte de justice.
Il est urgent de sauver ce qui reste de notre société.
Julien Dir
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16 réponses à “Le féminisme moderne : simple justice ou gangrène de notre société ? [L’Agora]”
Je ne pense pas que toutes ces « femanzies » risquent quoi que ce soit. Il suffit de les regarder pour partir en courrant.
Les jeunes ados ou hommes normaux d’aujourd’hui devraient apprendre à se méfier de toutes relations qui pourraient les faire « coucher » mais en taule. Je les incite à retourner à la belote et autres activités sans danger pour leurs intégrités physiques et morales en attendant des jours meilleurs dans cette société pourrie et d’être en mesure de trouver un femme, une vraie à pouvoir chérir et respecter, car la gent féminine n’est pas seulement composée de wokistes ou de « dildo’s girls » malgré les apparences.
a mettre dans le sac de dinguerie que le mouvement lgbt destinés a détruire le pays autant que les hommes et j’ajouterais de déconstruire et sexualisé les enfants : vaste programme satanique en somme
Ce sont des folles-cinglées qui s’abandonnent à leur hystérie bien féminine et insupportable qui les révèle pour ce qu’elles sont naturellement : subalternes !
C’est un féminisme de femmes pas gâtées par la nature et aigries
Le féminisme oui, mais lequel ? Celui qui ignore et rejette les femmes juives qui manifestent dans les défilés dénonçant la boucherie islamiques du 7 octobre ? Ce féminisme qui crie a la récupération d’extrême droite, après chaque reportage parlant des viols des femmes Françaises par des clandestins illégalement sur notre sol? Ce féminisme dévoyé, devenue le vassal des mouvements LGBT +++ , se couchant allègrement devant les théories des Ayatollahs gays et lesbiens ? Si ce féminisme a géométrie variable incarne le féminisme originel de nos mères , et celui-ci était respectable ! Alors , le féminisme fonce dans le mur à grande vitesse.
Dans un temps pas si lointain, les rapports sexuels seront programmés et organisés par l’Etat; ainsi , pas de contestation possible , il y aura des moments et des temps bien déterminés pour chaque individu et les accouplements seront gérés sans recours possible. Science fiction peut être mais c’est à voir ….
Bonjour,
C’est effectivement la femme du quotidien, notre problème.
Cdt.
M.D
Bonjour,
Il y a une contradiction dans la pensée de cet article. L’égalité de droit, suppose l’égalité tout court. Les féministes modernes ont très bien compris qu’admettre les différences entre hommes et femmes, biologiques, psychologiques, c’était nécessairement déboucher sur une inégalité du droit dont elles ne veulent pas, et qu’elles combattent donc de toutes leurs forces. Elles sont cohérentes avec elles mêmes contrairement à la plupart de leurs détracteurs. La proposition est donc à renverser : pourquoi les hommes ont-ils accordé des droits identiques à des êtres de nature différente ? Pourquoi les hommes ont-ils refusé d’envisager les conséquences sociales d’une telle égalité d’avec les femmes et se plaignent-ils désormais de voir toutes les différences être abolies alors qu’ils sont à l’origine de cette « avancée » ?
En somme, rien ne justifie une différence philosophique entre égalité de droit et égalité tout court. Et comble de la honte pour les hommes, les féministes modernes sont plus rationnelles qu’eux. Les hommes ne le sont plus en usant de compromis philosophiques. Si des êtres sont différents, ils doivent avoir des responsabilités différentes dans la loi et dans la société. D’ailleurs, en pratique, les femmes sont toujours largement avantagée devant la justice : moins condamnées, elles décident du sort des enfants en cas de conflit parental. Les hommes devraient se réveiller un peu sur la vraie nature de cette « égalité » qui n’a jamais été conçue que comme un rapport de force par les socialistes.
« Dieu se défie des personnes qui dénoncent les problèmes dont ils chérissent les causes ».
Cdt.
M.D
Ces femmes sont folles ! elles voudraient détruire la famille qu’elles ne s’y prendraient pas autrement. Des hommes formidables j’en ai eu un à mes côtés pendant 40 ans et je le pleure encore.
Quand j’étais plus jeune dans le métro les femmes savaient se défendre une main aux fesses un bon coup de talon aiguille dans les pieds du monsieur et il remettait sa main dans sa poche.
On savait se défendre.Bien évidemment je ne parle pas des personnes victimes de viol,
Ça c’est une abomination qu’il faut punir avec rigueur
A Georges ,,d ou leur fiel ,j expliquais a mes petis fils qu a l ecole une instite vieille fille me maltraitait ,,idem pour un de mes fils ,,et mes petits fils Adam et Samuel ,,,Quand une refoulée aigrie voit un garcon beau gosse ,sa rancoeur se projette sur lui .Truismique et insoutenable pour celles qui pourraient se reconnaitre .
Ah, j’ai compris !…Manifestement, ces femmes (toutes blanches) manifestent en soutien aux musulmanes pour défendre leurs droits à ne pas être infériorisées par les règles patriarcales imposées par le Coran…C’est bien çà ?
La Bete ;l empire angloamericain ,Reve de Nebucanetzar ,du prophete Daniel .On lui doit entre autre du féminisme toutes les pollutions sataniques ,lgb,ivg ,malbouffe ,wokisme ,les guerres ,epidemies ,etc etc ,,Ce sont les gauchistes qui sont chargés d appliquer ces « valeurs « ,Tout comme le con bandit du printemps 68 de la cia ,,Voir les propheties concernant la Bete ,,,https://saintebible.com/daniel/7-3.htm
Il est malheureusement vrai que les « femmes », les vraies, celles pour qui j’ai toujours eu une affection débordante, et un respect inconditionnel, même pour les péripatéticiennes. Ces femmes se sont laissé prendre en otage par ces groupuscules de « furies », appartenant pour la majorité, à ces associations LGBTQ….. qui eux se servent d’elles pour parvenir à leurs fantasmes les plus tordus, et sordides, et faire admettre leurs théories pourries par tout le monde.
Même s’ils sont une minorité, ils ont réussis à faire passer quelques uns de leurs préceptes contre-Nature.
Mais ils ne parviendront jamais à faire faire un enfant à un homme, et les lesbiennes ne pourront enfanter que grâce à la contribution d’un homme, fusse par insémination…
des féministes qui ne jugent que par leur idéologie blanc= méchant, homme=blanc= prédateur
Ces féministes , workistes, LGBT++++ ne défendent plus légalité des femmes , elles ce sont transformer en misandre haïssant l’Homme, ce violeur en puissance ; veulent le mettre hors d’état de nuire à leur rêve le plus chère, un monde fait uniquement de femme ou l’homme ne serait la que pour donner sont sperme par prélèvement , la GPA est la pour cela; hors de question que cette être impure touche une femme , le reste du temps il devra tel un chien obéir aux ordres, les servir , faire les travaux dur physiquement , le tout bien sur sans attendre quoi que ce soit d’elle.
Les Femmes ont tout a perdre en soutenant ces furies , adepte d’olisbos , l’homme blanc est pour elles un être maléfique alors que « l’autre » de contrés lointaine apporte le plaisir et la descendance.