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Tyrannie sanitaire, immigration incontrôlée, islamisation… Quand est-ce que le peuple se réveille ?

Julien Dir, chroniqueur et polémiste officiant régulièrement sur Breizh-Info, est l’invité pour 8 semaines du quotidien Présent. Il poursuivait sa mission mardi dernier, par une tribune évoquant les maux qui rongent aujourd’hui tout le pays. Le ton ne change pas par rapport à ce qu’il écrit sur Breizh-Info. Piquant.

Les jours se succèdent et la France sombre toujours un peu plus. Meurtres, viols, agressions, attentats, mais aussi répression féroce vis-à-vis des dissidents (en Gilets jaunes, ou coupables d’écritures profanes), destruction de la famille traditionnelle et dictature des minorités, sans compter la tyrannie sanitaire. Nous vivons un cauchemar éveillé.

Mais comme tout cauchemar, à un moment donné, on se réveille. Ce réveil, qui n’intervient pas actuellement en Occident, va arriver. Sous quelle forme, difficile à dire. Mais le devoir de tout résistant, de tout dissident, est de le préparer, de le mettre en musique.

Certains pensent que ce réveil sera électoral. Qu’en Europe dans les années à venir, des « vagues populistes » viendront remettre de l’ordre. On les attend toujours. Cela fait plusieurs décennies qu’elles sont annoncées, sans succès. Par ailleurs, on peut également se demander ce que des Salvini, des Strache et même des Orbán font, concrètement, pour protéger leurs populations respectives de l’immigration invasion.

L’Italie a-t-elle mis fin à l’immigration ces dernières années ? Non, bien au contraire, et il suffit de se promener dans les rues de Rome pour se rendre compte de l’africanisation progressive d’un pays qui était pourtant préservé.

L’Autriche a-t-elle mis fin à l’islamisation du pays ? Non, au contraire. Jamais la population musulmane, notamment d’origine turque, n’avait été aussi importante en Autriche. Jamais les mosquées n’avaient été aussi nombreuses dans le pays.

La Hongrie, comme la Pologne ont-elles quitté l’Union européenne, qui conditionne toute aide économique à l’acceptation progressive des valeurs dites « inclusives », des lobbys en tout genre (LGBT en tête) mais également à la répartition des migrants dans les différents pays de l’UE ? Non là encore, ces deux nations ne peuvent pas sortir des tentacules de la pieuvre dirigée par la Commission européenne et sont étranglées…

Quid de la France ? Depuis combien d’années nous promet-on une victoire des forces nationales sans qu’elles n’arrivent ? Peut-être que cela arrivera un jour, mais avec des gens qui se félicitent qu’on jette en prison un écrivain pour ses écrits, avec des gens qui estiment que l’assimilation d’immigrés est toujours possible dans un pays qui en compte déjà des millions qui vivent de facto en état de sécession.

Finalement, peut-être arriveront-elles un jour au pouvoir électoralement, ces forces nationales, quand elles auront enlevé de leur programme l’immigration zéro, le droit du sol, l’opposition à la PMA et à la GPA, et qu’elles ne seront plus du coup… des forces nationales…

Dans tous les pays, électoralement, c’est actuellement le même cinéma : malgré une invasion migratoire sans précédent historique, malgré une dépossession progressive des citoyens de leur sécurité, de leur identité, il n’y a, élection après élection, aucun réveil électoral massif, si ce ne sont quelques illusions (souvent vite refroidies) ici ou là, ponctuellement.

Et pourquoi d’ailleurs attendre d’élus ce que nous-mêmes serions incapables de faire à notre petite échelle ?

Il ne faut toutefois pas baisser les bras. Tout observateur sait que le désespoir est une bêtise absolue en politique. Car si du côté des élections, les choses semblent bloquées pour des renversements sociétaux majeur, l’imprévu dans l’Histoire est une constante.

Et cet imprévu pourrait ne pas avoir des aspects ni démocratiques, ni électoraux. Il suffit d’ailleurs de constater qu’aujourd’hui, c’est un tout autre rapport de force qui permet des avancées dans nos pays.

Les syndicats obtiennent historiquement des avancées sociales par la grève, par la paralysie.

Certaines influentes corporations, agricoles notamment, obtiennent de l’argent en masse par des actions coups de poing, illégales très souvent.

Les associations qui défendent les migrants, l’invasion migratoire, obtiennent des avancées et des concessions par l’agitation permanente, la pleurniche, la communication, la victimisation, mais aussi le coup de force de temps à autre.

Les groupes d’extrême gauche déboulonnent des statues, font annuler des conférences, s’opposent à des manifestations. Ils ne réclament rien. Ils prennent ce dont ils ont besoin. « Tout est à nous, rien n’est à eux » qu’ils chantent. Et pourtant, ils sont minoritaires.

Et il y a le peuple, la majorité silencieuse, celle qui reste (encore) majoritairement opposée à l’immigration, à l’islamisation du pays, à la disparition de son identité. Cette majorité pour qui la famille ce sont avant tout un père, une mère et des enfants. Cette majorité qui aime rire de tout, et qui chérit plus que tout sa liberté, d’entreprendre, de travailler, de s’exprimer.

Elle avait commencé à se faire entendre, bruyamment, dans les Manif pour Tous il y a quelques années, puis pour une autre frange de cette majorité, sur les ronds-points ou lors des premières manifestations de Gilets jaunes. Elle s’est tue, ou a été récupérée par des professionnels de la manipulation politique, mais pourtant, elle existe encore, majoritaire.

Cette majorité, c’est moi, c’est vous. Cette majorité ne doit plus compter sur l’État, qui a fait des petites castes, des minorités, des corporations, des agitateurs, ses interlocuteurs et ses décideurs principaux. Cette majorité doit se réveiller, et tout reprendre. Car l’État vous a, nous a abandonnés. L’État n’est plus notre État, il faut bien le comprendre et l’assimiler.

La France bureaucratique, la France soviétique vous a tenu par la main depuis trop d’années maintenant. Il faut d’abord réapprendre à marcher seul.

À éduquer ses enfants sans et en dehors de l’État, via les écoles hors contrat, via la communauté.

À travailler, à entreprendre, sans attendre aides, subventions, primes, venant d’un État qui de toute façon ne tient plus la route économiquement.

À ne pas transiger avec votre intégrité, avec votre sécurité comme avec celle de vos familles et de vos proches. Vous avez le devoir de faire tout ce qui est en votre possible pour faire en sorte qu’ils puissent à tout moment se défendre et être défendus. Encore une fois, ne comptez plus sur l’État pour le faire, le quotidien vous prouve qu’il ne le fait pas.

Finalement, plutôt que de tout attendre d’un État qui veut votre mise à mort identitaire et sécurité, apprenons à devenir ou à redevenir des hommes libres.

Ensuite seulement, quand nous serons redevenus des hommes libres et déterminés, viendra rapidement le temps d’obliger l’État – qui n’aura pas d’autre choix que de s’exécuter –, à vous écouter, à vous obéir, et à agir pour notre bien commun, civilisationnel, national, et non universel.

Il en va de notre survie. Il en va de notre avenir. Debout, maintenant, partout et encore !

Julien Dir

Photo d’illustration : DR
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Une réponse à “Tyrannie sanitaire, immigration incontrôlée, islamisation… Quand est-ce que le peuple se réveille ?”

  1. Kojak dit :

    “À travailler, à entreprendre, sans attendre aides, subventions, primes, venant d’un État qui de toute façon ne tient plus la route économiquement.”

    Tout à fait d’accord avec cette proposition.Donc il faut remettre en cause le budget sociale de l’État français.A titre personnel et je sais que beaucoup sur ce site seront en complet désaccord,il fait remettre en cause le principe des allocations familiales,le revenu de solidarité active,la couverture maladie universelle,et bientôt car c’est un sujet qui revient le revenu minimum universel.

    La question de fond demeure:les français veulent-ils profondément changer de type de société?

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