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Pleumeur-Bodou (22) : un collectif de gauche contre la vidéo-surveillance

Chère gauche pavlovienne qui niera le réel jusqu’au bout…

A Pleumeur-Bodou, la municipalité a décidé de frapper un grand coup contre l’insécurité en installant des caméras de vidéo-surveillance. Le projet, à hauteur de 83 000€, entend notamment lutter contre les incivilités autour du City Park, entre pétards et rodéos, sans parler des dégradations diverses dans les propriétés avoisinantes ainsi que sur le mobilier urbain.

Mais la question des caméras ne plaît pas à tout le monde, notamment au collectif « Stop Caméra Pleumeur » qui a opportunément réactivé une pétition de 2021. Selon le collectif proche de l’opposition « citoyenne, écologiste et de gauche » au conseil municipal cet équipement « serait susceptible de mettre en danger les libertés individuelles ». Sans parler des incivilités qui existent à peine, résultat probablement d’un simple « sentiment ».

Ironie de l’histoire : l’un des leaders de ce collectif n’est autre que P. Le Guillou, par ailleurs président de l’association gestionnaire du Village gaulois de Pleumeur, VGPA (Un village gaulois pour l’Afrique), incendié plusieurs fois au cours de ces derniers mois.

Crédit photo : DR
[cc] Breizh-info.com, 2024, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine

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3 réponses à “Pleumeur-Bodou (22) : un collectif de gauche contre la vidéo-surveillance”

  1. May dit :

    Embaucher des policiers sur le terrain ce qui mettrait tout le monde d’accord !

  2. patphil dit :

    surtout laissez les islamogauchistes libres de tout détruire

  3. Eric Letty dit :

    Je suis très loin d’être de gauche et je n’en crains pas moins le flicage des citoyens au nom de la sécurité. Il existe d’autres moyens de la préserver (en autres, mais nécessairement, l’enseignement et le respect de saines normes morales. Dans l’Archipel du goulag, Soljenitsyne écrit : « nous n’aimions pas assez la liberté ». Quand on visite la Maison de la Terreur à Budapest, on prend conscience que les systèmes de surveillance de la population par l’Etat policier étaient dérisoires par rapport à ceux dont disposent aujourd’hui les autorités publiques. Il faut une belle naïveté pour être certain que ce qui s’est produit hier ne se reproduira pas demain et il me semble qu’une expérience récente (confinement, pass sanitaire, etc.) devrait inciter à la prudence.

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