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Féminisme identitaire. Pour protéger les femmes européennes : la remigration, par Alice Cordier

« Assimilation ? Séparation ? Communautarisation ? Remigration ? » Voilà le thème du VIe Forum de la Dissidence. Cet événement – ayant exceptionnellement eu lieu dans les locaux de TVLibertés, Covid-19 oblige – entendait donc étudier les différentes possibilités de régler la grave question identitaire et démographique à laquelle la France est confrontée depuis des décennies. Au cour de cet événement, Alice Cordier, féministe identitaire membre du collectif Nemesis, a expliqué que les femmes françaises et européennes étaient gravement menacées par l’immigration extra-européenne.

Le féminisme identitaire que propose Némésis a trois objectifs : dénoncer les violences faites aux femmes, réconcilier l’homme et la femme et promouvoir la civilisation européenne comme berceau de l’épanouissement de la femme. Tout naturellement, pour arriver à ces objectifs, plusieurs moyens nous sont donnés et nous aimerions en proposer deux essentiels que sont la remigration et le communautarisme.

La remigration pour protéger les femmes de l’immigration

Plus que jamais les femmes françaises, et plus largement européennes, sont victimes de ce fléau qui s’explique par le choc culturel de la rencontre entre des hommes qui cachent leurs femmes derrière des voiles dans le meilleur des cas, ou les excisent dans le pire, et des femmes françaises libres et respectées. Cet écart de culture mène à des drames, comme l’illustrent la terrible nuit du 31 décembre 2015 à Cologne où beaucoup d’Allemandes ont subi des agressions sexuelles commises par des migrants, ou encore les viols de masse commis à Telford et à Rotherham au Royaume-Uni.

Les chiffres l’attestent : oui, les personnes issues de l’immigration extra-européenne sont surreprésentées dans les violences faites aux femmes.

Nous en voulons pour preuve les chiffres suivants. En Allemagne en 2016, l’office fédéral de la police nationale rendait publiques les statistiques de la criminalité.

Pour un million de migrants, il y avait 875 viols ou agressions sexuelles, contre 54 pour un million de personnes de nationalité allemande.
Même constat pour la Suède où la chaîne de télévision SVT rapportait qu’en 2018 les statistiques montraient que 58 % des hommes condamnés pour viol et tentative de viol au cours des cinq dernières années étaient des migrants nés hors de l’Union européenne, plus précisément nés en Afrique du Nord ou Afrique subsaharienne. Dans les cas où les Suédoises ne connaissaient pas leurs agresseurs, la proportion de délinquants sexuels nés à l’étranger était supérieure à 80 %.

Ce constat implacable rend la notion de remigration essentielle dans la lutte féministe qui doit cesser d’être intersectionnelle. L’idée de remigration fait encore frémir dans les chaumières, mais combien de viols et d’agressions sexuelles à répétition éviterons-nous par cette arme redoutable ? Combien de femmes devront encore subir les frustrations sexuelles de peuples fraîchement arrivés et aux antipodes de notre culture ? Combien de femmes seront les victimes innocentes et silencieuses vendues à cette guerre des peuples qui ne fait que s’accroître en France et en Europe ?

Oui, nous sommes en temps de guerre et il est grand temps que les femmes françaises, allemandes, suédoises, que nos sœurs européennes arrêtent de servir de butin.

Cette arme qu’est la remigration ne sera évidemment utile que si, derrière, les frontières sont fermées à une immigration de masse et extra-européenne. La remigration est la seule solution viable dans un pays qui a perdu toute notion d’identité et d’unité. Car, oui, non seulement nous devons réagir face à ces flux de migrants, mais tout cela sera bien inutile si nous restons un peuple décousu, incapable de fraternité et d’entraide.

Le communautarisme, voie de la survie de notre civilisation

Tout naturellement, je voudrais vous parler maintenant du communautarisme, un terme pourtant si sain, plein de bon sens et trop souvent décrié. Quand on entend ce terme-là, on pense généralement au communautarisme des autres cultures, qu’elles soient asiatiques, africaines, maghrébines et j’en passe, mais rarement au communautarisme entre Européens.

On entend beaucoup dire aujourd’hui en France que le mâle blanc cis dominateur hétérosexuel serait l’ennemi numéro un à abattre, et le responsable de toutes les tares de cette société. Nous devons farouchement défendre les mâles blancs car ils sont nos pères, et seront plus tard les pères de nos enfants, puis nos fils.
Si les statistiques françaises sont exactes et que les Français de souche se retrouveront en minorité en 2050, l’enjeu tient de la survie.
En tant que femmes et féministes, notre rôle aujourd’hui est de défendre nos hommes, nos mâles blancs et de redorer le blason du communautarisme entre personnes qui considèrent la France comme leur unique nation et la culture européenne comme la leur, culture qui d’ailleurs a toujours placé les femmes sur un piédestal.

Nous ne cesserons de citer Jean-Yves Le Gallou : « La civilisation européenne, c’est la civilisation qui honore la femme : déesse, mère ou guerrière. »
Choisissons un féminisme communautaire, et oublions cette mascarade qu’est le féminisme intersectionnel que nous rebaptiserons comme gauchisme utilisant l’argument féministe pour transmettre leur idéologie.

Soyons fières de nos racines, n’ayons pas peur de vivre entre nous et assumons-le. Nous sommes face à des personnes ayant des valeurs fortes et une fierté de leur identité, et qui souhaiteraient importer leurs cultures dans des pays européens. Cela attire d’ailleurs bon nombre de jeunes Européens, ce qui se traduit dans les styles musicaux ou les éléments de langage qui s’africanisent.
Pouvons-nous sérieusement en vouloir à cette jeunesse qui cherche un idéal et qui se retrouve confrontée à des sociétés fortes et fières quand la leur sombre dans la honte de leur histoire et de leur couleur ? Quand on entend des raclures comme Aurélien Taché prôner la polygamie et les certificats de virginité ? Soyons communautaires, mais pas avec les traîtres.

Même les critères de beauté féminine tendent tantôt vers des formes africaines à cause de certains médias qui essaient de mettre de la diversité partout avec la complicité de Netflix, tantôt vers un enlaidissement prôné par un pseudo-féminisme qui définit la féminité comme un asservissement au patriarcat.

Le juste milieu entre ces deux extrêmes se situe dans la revalorisation de notre culture, de notre langue et de notre histoire.

Remettons en avant nos propres Vénus, celles de Botticelli ou de Milo, étudions Jeanne d’Arc, Blanche de Castille, Anne de Bretagne, gardons la sensualité d’une Bardot et l’esprit d’une Marie de Médicis, inspirons-nous de la sagesse de la Sainte Vierge et du courage de la déesse Némésis. Montrons que nous sommes fortes et fières, et nous conquerrons les foules.

Alice Cordier. Allocution diffusée le 27 novembre 2020

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Une réponse à “Féminisme identitaire. Pour protéger les femmes européennes : la remigration, par Alice Cordier”

  1. Mickaël Cohuet dit :

    BRAVO pour ce texte.
    MERCI aux femmes du Collectif Némésis d’exister.
    (Le nom du Collectif est très bien trouvé !).
    Partage de quelques citations…

    « Une nation* n’est pas conquise tant que le cœur de ses femmes n’est pas à terre. Une fois que c’est fait, peu importent la bravoure de ses guerriers et la force de leurs armes. »

    Proverbe Cheyenne. *[et/ou une civilisation].

    « Ce n’est pas dans la mollesse, mais dans la fermeté de l’esprit et la résolution du cœur que sera engendré notre avenir. »

    Dominique Venner, Histoire et tradition des Européens, éditions du Rocher, 2002.

    « (…) De surcroît, la notion de “virilité” ne doit en aucun cas se confondre avec celle de “machisme” ni avec la revendication stupide d’un quelconque “privilège social masculin”. Dans leur comportement quotidien, beaucoup de femmes se montrent plus “viriles” que bien des hommes. La virilité d’un peuple est la condition de son maintien dans l’histoire. »

    Guillaume Faye, extrait du livre, Pourquoi nous combattons, Manifeste de la résistance européenne, L’Æncre, 2001.

    « (…) être européen c’est avant tout « transmettre l’héritage ancestral, défendre le bien commun ». C’est tout l’enjeu de notre combat : transmettre nos valeurs pour les défendre mais aussi transmettre en les défendant. Car il existe un lien indéniable entre la vitalité d’un peuple et sa volonté de combattre. (…) »

    Nicolas L., Institut Iliade, Promotion Marc Aurèle, 06/07/2019.

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