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Un habitant de Crépol scandalisé par la visite d’Olivier Véran : « La guerre d’Algérie n’est pas finie »

Le porte-parole du gouvernement Olivier Véran s’est rendu à Crépol dans la Drôme, le village où Thomas a été tué par des racailles. Il a été hué et chahuté à son arrivée. Il ne s’agit pas d’une « rixe », a dit Olivier Véran, qui redoute « un basculement de notre société ».

Un habitant de Crépol scandalisé par la visite d’Olivier Véran : « La guerre d’Algérie n’est pas finie »

Crédit photo : DR (photo d’illustration)
[cc] Breizh-info.com, 2023, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine

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6 réponses à “Un habitant de Crépol scandalisé par la visite d’Olivier Véran : « La guerre d’Algérie n’est pas finie »”

  1. KC dit :

    Voici messieurs les journaleux un Monsieur digne de transparence … Un exemple de simplicité et d’une parfaite Citoyenneté sur lequel nombre d’élus corrompus devrait prendre exemple . Ni oubli Ni pardon !

  2. Romuald Goujon dit :

    « Nous devons regarder la réalité en face et avoir le courage de dire les choses » (O. Véran)
    La « réalité », il y a belle lurette que ce menteur la cache et la travestie ainsi que ses acolytes au gouvernement. Comme il a roulé les Français dans la farine et les a pris pour des demeurés avec les mesures dictatoriales du Covid, il continue à nous infantiliser avec la langue de bois.
    C’est la politique d’immigration massive incontrôlée sur laquelle il ferme les yeux qui est responsable du désastre, c’est le laxisme de la Justice, la faiblesse d’un gouvernement de « pétochards » qui nous conduit à cette situation explosive. Véran, comme tous les trouillards aux manettes, a peur : il a peur des cités insoumises, peur des zones de non droit, peur des territoires perdus, peur des voyous qui pourraient à nouveau mettre la France à sac. Les discours « humanistes » ne sont là que pour calmer le jeu et empêcher les colères légitimes de s’exprimer.
    L’incompétence et le déni des réalités conduira à l’explosion du pays.

    Pauvre France !

  3. Alain Bienaimé dit :

    Le ministre Olivier Véran, porte-parole du gouvernement, a tenu aujourd’hui des propos qui me laissent sans voix. « La mort de Thomas n’est pas une simple rixe mais un drame. » a-t-il déclaré. On ne voit pas bien ce que peut ajouter dans la bouche du ministre le fait de qualifier cette simple rixe de drame. On pourrait penser, en effet, qu’une « simple » rixe est déjà en soi un drame, au même titre que n’importe quel accident de la route faisant des victimes. Sans doute veut-il dire qu’elle est un drame parce que cette rixe a mal tourné. Le caractère dramatique de la rixe tient simplement à son bilan humain aux yeux du ministre : un mort et quelques victimes agressées. Qualifier la mort de Thomas de « drame » parce que Thomas est mort, c’est encore un moyen rhétorique pour ne pas nommer ce qui a eu lieu en le qualifiant exactement de « crime », voire de crime à caractère raciste quand on apprend que l’agresseur de Thomas venait à la salle des fêtes de Crépol, avec sept autres « anges » pour « planter du blanc ». Mais sur ce point laissons la justice établir le degré de préméditation dans la perpétration d’un tel crime, et si on peut le qualifier de crime « raciste », en supposant qu’elle soit capable de regarder réellement les faits en face, sans chercher à les biaiser, pour ne pas causer de troubles à l’ordre publique, ou pour parler plus crûment, de ratonnades.
    Non, Monsieur le Ministre, la mort de Thomas n’est pas un drame, une bagarre qui a mal tourné. Un peu de pudeur, M. Véran : si la mort de Thomas est un drame, elle l’est en priorité pour ses parents, ses amis et ses proches. Pour la nation française, ou ce qu’il en reste, rebaptisée désormais par le Président de la République lui-même, par le terme de « communauté nationale » (!?), la mort de Thomas est un crime en bande organisée. Mais visiblement pas pour vous et les membres d’un gouvernement qui craignent que soit connue l’identité patronymique des prévenus et refusent qu’une minute de silence soit publiquement rendue en hommage à la victime pour ne pas provoquer d’amalgames capables de « stigmatiser nos concitoyens de confession musulmane » et garantir le bien « vivre ensemble », selon l’expression consacrée, là où, jadis, on parlait, dans un meilleur français, d’harmonie ou de concorde. Croyez-vous vraiment que le mensonge et le silence soient de bonne politique ? Car à la fin, pour paraphraser Churchill, vous aurez à la fois le déshonneur d’avoir menti et la colère de ceux à qui on aura menti. Le meurtre de Thomas n’est donc pas ainsi qualifié de tel par vous et plus généralement par les médias du service public, pour ne pas verser dans l’ « altérophobie » et ne pas favoriser la récupération par l’ « ultra-droite », qui sont, selon France-Info, les deux seuls maux qui menacent notre pays. Car il va de soi qu’il n’existe pas de problème avec l’immigration massive que nous subissons partout en Europe. Le croire ou simplement poser la question dans sa réalité purement factuelle, sachant qu’il est difficile de dénombrer avec exactitude en la matière, c’est le signe qu’on aurait peur de l’autre ou qu’on adhèrerait aux idées de l’extrême-droite. C’est en somme un moyen rhétorique et commode de renvoyer tous les grincheux à une pathologie phobique strictement individuelle et qu’il leur faut soigner de toute urgence (ce sont eux le problème pas l’immigration out of control) ou à un nationalisme d’un autre âge qu’il faut combattre puisqu’il serait responsable de toutes les guerres du passé (toujours causées par les nations et jamais par les religions, à en croire les historiens du service publique). Mal nommer les choses, disait Camus, c’est ajouter un malheur aux malheurs du monde. Dans votre cas, M. le Ministre, il ne s’agit même plus de mal nommer la mort de Thomas en la qualifiant de drame mais de ne même plus la nommer du tout. Nous sommes ainsi passés d’une rhétorique de l’euphémisme à une rhétorique du silence, dans la mouvance sans doute de la cancel culture, dont Orwell en son temps avait su prophétiser la venue et dont nous subissons aujourd’hui l’inquiétant triomphe.

  4. KC dit :

    @Mr Alain Bienaimé 👏👍 la Souffrance des gens est tel qu’ils ne résonnent plus normalement … En plus , cette « Razzia » anti-Française n’est pas le fruit du hasard ! le truc chez tous ces baltringues pseudo-politique c’est d’allumer plusieurs incendies en de nombreux endroits pour détourner l’attention des gens des réels objectifs criminogènes qu’ils mettent en place afin de protéger leurs privilèges éhontés .

  5. Jérôme Lacombe dit :

    Monsieur Olivier Véran manie comme à son habitude le discours pathétique et solennel pour mystifier l’opinion publique, faire croire aux Français que la décadence de la France provient de l’ « Ulta Droite ». L’Assassinat de Thomas, ce « Crime » qu’il refuse de nommer explicitement en le minimisant par le terme de « Rixe » est la manifestation de la peur qui dicte sa conduite et celle des « responsables » aux manettes. Pour ne pas nommer le coupable de la violence qui est l’immigration incontrôlée, le laxisme judiciaire et l’incompétence politique, O.Véran et ses complices désignent le bouc émissaire : l’Ultra droite et les Nazis, responsables des maux de la France, de la décadence sociale, morale et intellectuelle. Pourtant lors de l’attaque organisée à Crépol par des voyous armés, on n’a pas entendu résonner sur l’asphalte les bottes de cuir ni entonner les chants fanatiques du Troisième Reich.
    Monsieur Véran, les Français ont compris. Ils ne sont plus dupes de vos mensonges.

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