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Géorgie. Nona Mamulashvili : « Les Occidentaux doivent comprendre que la Russie est une menace existentielle pour les pays civilisés » [Interview]

Entretien avec Nona Mamulashvili, membre du Parlement géorgien depuis novembre 2020 pour le Mouvement national uni (Opposition unie). Nona Mamulashvili est titulaire d’un diplôme en administration des affaires de l’Université internationale de la mer Noire, d’un master en diplomatie et relations internationales de l’Université de Westminster (Londres) et d’un master en histoire des civilisations arabes et islamiques de l’Université de la Sorbonne (Paris). Elle est titulaire d’un doctorat en relations internationales de l’Université de la Sorbonne. Elle est présidente de l’Association des entreprises géorgiennes et suisses et vice-présidente de l’Union des femmes d’affaires géorgiennes.

Entretien réalisé par  notre confrère Alvaro Pena (https://elcorreodeespana.com/) et traduit par nos soins.

NDLR :  nous recevons fréquemment des messages interpellant sur les propos tenus par plusieurs interlocuteurs d’Europe centrale et de l’Est vis à vis de la Russie. C’est bien pour susciter le débat, mais surtout pour chercher à comprendre ce qu’il peut y avoir dans l’esprit de certains voisins de la Russie, que nous proposons ces interviews. C’est sans doute d’ailleurs parce que l’Europe a, depuis des décennies, été incapable de proposer une construction politique, militaire, souveraine, cohérente, une troisième voie, qu’elle en est rendue aujourd’hui, une fois de plus , à être le terrain de jeu, la serpillère, d’intérêts impérialistes qui jouent contre elle, qu’ils soient américains (et cela depuis un siècle grâce à des marionnettes que nous voyons encore à l’oeuvre aujourd’hui), mais aussi russes.

Le 24 février 2021, le chef de l’opposition Nika Melia a été arrêté pour avoir organisé la prise d’assaut du parlement deux ans plus tôt. Que s’est-il passé depuis ?

Nona Mamulashvili : Il n’a passé que quelques mois en prison grâce à la pression de l’Union européenne. Mais la situation en Géorgie n’a pas grand-chose à voir avec une démocratie normale. En 2012, notre parti, sous la présidence de Mikheil Saakashvili, a perdu les élections. Les gens étaient assez mécontents de certaines erreurs du MNU et c’est le prix politique qu’il fallait payer. Les gens voulaient chasser le MNU du gouvernement et c’était précisément le slogan de l’opposition, “mettre fin au régime Saakashvili”.

La nouvelle coalition qui a pris le pouvoir, “Rêve géorgien”, a été fondée et dirigée par Bidzina Ivanishvili, un oligarque qui a grandi et fait fortune en Russie, de sorte que, bien que Géorgien, il avait plutôt une mentalité de KGB. Le nouveau gouvernement a rapidement montré son intention d’abandonner la voie pro-européenne et de ramener le pays sous l’influence russe, et il a détruit une à une toutes les fondations construites par le gouvernement précédent pour rapprocher la Géorgie du monde occidental. Malheureusement, nos amis européens ne l’ont pas cru à l’époque, mais dix ans plus tard, il est clair qu’il s’agissait d’une opération spéciale, c’est ainsi que les Russes l’appellent. Jusqu’en 2016, “Rêve géorgien” a maintenu cette image pro-occidentale, mais il a pris le contrôle des institutions, du gouvernement, du système judiciaire, du parlement, des médias et même d’une partie de l’opposition. En fait, lorsque l’UE a lancé le processus d’adhésion de la Géorgie, de l’Ukraine et de la Moldavie en mars, notre gouvernement a fait en sorte que la Géorgie ne réponde à aucune des exigences européennes. Ce que le gouvernement voulait, ce n’était pas prendre position contre l’adhésion, mais que l’UE dise que nous ne sommes pas prêts.

Cependant, l’UE a dit qu’elle voulait intégrer la Géorgie…

Nona Mamulashvili : Oui, mais le gouvernement géorgien a fait en sorte que cela ne soit pas possible. Il y a un mois, ils ont arrêté le directeur général de la plus grande chaîne d’opposition. Il était en procès depuis cinq ans et ils décident de l’arrêter juste maintenant, en violation de ses droits, afin que l’Union européenne puisse déterminer qu’il n’y a pas de liberté de la presse en Géorgie. Comme si cela ne suffisait pas, ils ont également accusé à de nombreuses reprises les fonctionnaires européens et américains de s’ingérer dans la politique intérieure de la Géorgie. Et ils ont finalement réussi : le 21 août de l’année dernière, l’UE a exclu la Géorgie en raison de son “manque de garanties démocratiques”. La vérité est que la Géorgie ne remplit aucune des conditions, car nous suivons la voie russe.

Mais la majorité de la population est favorable à l’entrée dans l’UE non ?

Nona Mamulashvili : C’est vrai, 85 % de la population géorgienne, selon les sondages, est favorable à l’adhésion à l’Union européenne et à l’OTAN.

L’ancien président Saakashvili a été emprisonné et a entamé une grève de la faim en octobre dernier, avant d’être hospitalisé. Quelle est sa situation actuelle ?

Nona Mamulashvili : Il est toujours en prison. Il est rentré en Géorgie quelques jours avant les élections municipales et a été arrêté, raison pour laquelle il a entamé une grève de la faim. Sa santé s’est beaucoup dégradée, mais il n’a pas été autorisé à quitter la prison. Puis il a été transféré à l’hôpital d’une autre prison pour le nourrir de force. Tous ses droits ont été violés, et il n’a pas été autorisé à avoir des contacts avec qui que ce soit, pas même avec sa famille, pas même par téléphone. Il a été maintenu en isolement par peur, car le gouvernement savait que Saakashvili avait de nombreux partisans (plus de 700 000 Géorgiens ont voté pour lui au sein du MNU). Aujourd’hui, sa situation est encore pire, il souffre de plusieurs maladies et de problèmes neurologiques. Une demande a été faite pour le transférer dans une clinique à l’étranger pour des raisons humanitaires, mais le gouvernement a refusé. En tant que député, j’ai le droit de lui rendre visite en prison, mais je suis le seul député à ne pas avoir reçu l’autorisation de la Chambre pour le faire.

Pour quelle raison ?

Nona Mamulashvili : Je ne sais vraiment pas. Je suppose que c’est parce que je l’ai accompagné dans la plupart de ses voyages à l’étranger et c’est peut-être la raison pour laquelle je ne suis pas autorisé à avoir un contact direct avec lui.

Vous avez mentionné plus tôt les élections municipales de 2021. Lors de ces élections, il y a eu de nombreuses accusations de fraude.

Nona Mamulashvili : Oui, bien sûr. Le gouvernement a de nombreux moyens de falsifier le résultat des élections et ils savent comment le faire, en particulier dans ce cas, ils ont utilisé les restrictions du Covid et le petit nombre d’observateurs internationaux. En outre, un corps électoral central a été créé qui, comme de nombreux autres organismes d’État, ne sait pas par qui il est formé. En fait, l’État est le plus grand employeur par la création d’agences qui, en fait, ne servent qu’à donner un salaire à ses électeurs. Ces “fonctionnaires” représentent 20% de la population. Et puis il y a les éléments criminels qu’ils emploient pour surveiller les bureaux de vote et menacer les gens de voter pour le gouvernement. Malheureusement, les observateurs internationaux se contentent de respecter des critères minimaux, mais lorsqu’ils ne sont pas présents, toutes ces choses se produisent. Nous avons fourni toutes les informations sur la fraude électorale aux observateurs, qui ont admis que les élections n’étaient pas “équitables”, mais rien n’a changé et la plupart des chaînes de télévision contrôlées par le gouvernement ont parlé d’élections “libres et équitables”. Il y a également eu des cas de second recomptage, sans la présence d’aucun candidat de l’opposition.

La Géorgie pourrait-elle devenir un pays comme le Belarus, où les élections ne sont qu’une simple formalité pour le régime ?

Nona Mamulashvili : Si l’on considère que nous avons un oligarque qui est prêt à tout sacrifier pour maintenir son pouvoir et son confort financier, nous ne sommes pas si loin de la Biélorussie. Même si nous sommes techniquement une démocratie, le parlement est sous le contrôle des oligarques, tout comme le gouvernement, le pouvoir judiciaire, le bureau du procureur et les médias grand public. Les médias d’opposition subissent une énorme pression financière et judiciaire, car ils sont tous plongés dans des procédures judiciaires. Je ne sais pas si c’est différent de la Russie, mais il me semble que nous jouons selon le manuel de Poutine. Et penser que cela ne peut pas arriver en Géorgie parce que nous sommes un pays avancé est une erreur, car ils s’assurent que beaucoup de gens quittent le pays et en même temps l’immigration russe arrive et forme une véritable minorité. Et très bientôt, ils demanderont des privilèges. Le plus curieux est qu’ils disent qu’ils quittent la Russie à cause du régime de Poutine, un régime qui occupe 20% de notre territoire, mais si vous leur demandez s’ils sont contre cette occupation, ils répondent qu’ils ne veulent pas se mêler de politique.

Nous avons vu cela dans d’autres pays, les Géorgiens vont travailler en Europe et aux États-Unis, tandis que les Russes viennent ici et créent une minorité. Démographiquement, nous étions 3,5 millions, mais depuis l’arrivée au pouvoir du “Rêve géorgien” en 2012, plus de 600 000 Géorgiens sont partis travailler à l’étranger, et plus de 300 000 Russes sont venus en Géorgie. D’un point de vue démographique, cela va être un défi très important pour notre pays.

Et une minorité russe est l’excuse parfaite pour déclencher un conflit…

Nona Mamulashvili : Exactement. Nous connaissons bien cette leçon.

Comment la guerre en Ukraine est-elle perçue en Géorgie ?

Nona Mamulashvili : Pour nous, la guerre de 2008 est encore très récente. Lorsque la Russie a attaqué la Géorgie en 2008, elle a utilisé le même scénario que celui qu’elle a utilisé en Ukraine en 2014 et qu’elle utilise à nouveau maintenant. Pour Poutine, la Géorgie était un terrain d’essai où il a utilisé ses tactiques de guerre hybride. Ce qui s’est passé six mois après la guerre de Géorgie, c’est que le département d’État de l’administration Obama a appuyé sur le bouton de réinitialisation et a recommencé les relations avec la Russie. Poutine a compris qu’il pouvait faire ce qu’il voulait car personne ne réagirait. Tout le monde voulait du gaz bon marché et des relations diplomatiques avec la Russie après la guerre, ou comme le dit maintenant Macron, “n’humiliez pas la Russie”. Malheureusement, c’est la mentalité du mercantilisme et de la “realpolitik”, comme ils l’appellent, mais cela ne fonctionne pas car Poutine a compris que l’Europe veut une vie confortable qu’il pourrait lui offrir avec son gaz bon marché. Cependant, en réalité, il n’est pas bon marché, il est très cher car il coûte la vie des populations d’Ukraine et de Géorgie. C’est ce que nous pensons.

Votre frère Mamuka est le commandant de la Légion nationale géorgienne qui combat en Ukraine.

Nona Mamulashvili : Oui, notre famille est en guerre contre la Russie depuis le 19e siècle, on peut donc dire que nous suivons la tradition familiale.

Neuf légionnaires sont tombés en Ukraine, leurs proches reçoivent-ils un soutien ?

Nona Mamulashvili : Non. Nous avons essayé d’introduire une loi au Parlement pour que ces personnes tombées en Ukraine soient considérées comme celles qui sont mortes pour l’indépendance de la Géorgie et bénéficient de la même assistance que celles tombées lors de la guerre de 2008, mais le gouvernement a refusé. Néanmoins, des particuliers et des organisations religieuses aident ces familles.

Le gouvernement a également tenté de décourager les volontaires potentiels, mais sans grand succès…

Nona Mamulashvili : Au début de la guerre, de nombreux Géorgiens souhaitaient s’engager, d’autant plus lorsque le président Zelensky a annoncé la création d’une légion internationale. L’ambassade d’Ukraine a organisé le voyage et a mis en place un processus de recrutement pour accepter des volontaires ayant une expérience militaire, et non des aventuriers recherchant le romantisme de la guerre. De nombreux volontaires ont été recrutés, mais lorsque nous attendions à l’aéroport avec le personnel de l’ambassade, les autorités ont interdit l’atterrissage des avions qui devaient les emmener en Ukraine. Les volontaires ont donc dû partir individuellement ou en petits groupes, en volant vers des pays tiers et en traversant la frontière par voie terrestre. En 2015, le gouvernement a préparé une loi qui transformait les volontaires combattant en Ukraine en “combattants illégaux”, “terroristes” ou “mercenaires”, avec l’excuse plutôt absurde d’empêcher quiconque d’aller combattre en Syrie. Cependant, le gouvernement n’a pas fait passer la loi en raison de l’énorme soutien populaire dont bénéficiait la Légion.

Beaucoup pensaient que l’Ukraine ne tiendrait pas une semaine, mais nous sommes maintenant six mois plus tard, que pensez-vous qu’il va se passer dans cette guerre ?

Nona Mamulashvili : Ce que l’Ukraine a fait, c’est montrer au reste du monde que la Russie n’est pas aussi effrayante qu’elle le prétend. La deuxième meilleure armée du monde s’est avérée être une piètre armée régulière qui ne sait pas comment manier ses armes de la Seconde Guerre mondiale. Voilà le vrai visage de l’armée russe. Ce qu’ils ont, ce sont des armes nucléaires qu’ils utilisent pour menacer le monde civilisé et c’est leur seule puissance, avec le gaz. Je pense que l’Occident dispose de tous les instruments pour s’assurer que Poutine, ou quiconque viendra ensuite, car il s’agit d’un problème de mentalité et de régime, soit vaincu. C’est un problème de système et non de personne, car si Poutine est vaincu mais que le système ne change pas et que la Russie n’est pas punie comme l’Allemagne nazie, d’autres comme lui apparaîtront. La mentalité impérialiste russe qui croit que la Russie a le droit d’écraser la souveraineté de ses pays voisins afin de sauver le monde d’on ne sait qui. C’est ce que nous avons vécu au cours des 200 dernières années, et beaucoup nous ont traités d’exagérés, mais ensuite la guerre vient frapper à votre porte. Les Occidentaux doivent comprendre que la Russie est une menace existentielle pour les pays civilisés.

Le problème vient peut-être du fait qu’il n’y a pas eu de Nuremberg pour le communisme, pour ce que représentait l’Union soviétique et ses millions de victimes..

Nona Mamulashvili : Il n’y a jamais eu de procès pour tous les crimes que l’Union soviétique a commis contre sa propre population. Alors que l’Allemagne nazie attaquait d’autres nations, l’Union soviétique faisait la guerre à son propre peuple.

Je voulais vous interroger sur Staline.

Nona Mamulashvili : Il n’est pas notre meilleur point de référence.

Bien sûr, je veux dire, y a-t-il une quelconque controverse à son sujet ? Dans sa ville natale, Gori, il y a un musée, mais y a-t-il des partisans de Staline ?

Nona Mamulashvili : Malheureusement oui, il y a encore des Géorgiens qui croient que Staline était un grand leader et qu’il devait se comporter comme il l’a fait pour le bien de tous.

Le communisme a toujours eu une très bonne presse…

Nona Mamulashvili : Oui, et il en va de même pour la Russie. La propagande russe a été sous-estimée, maintenant elle est partout, et nous payons le prix pour ne pas l’avoir prise au sérieux.

Crédit photo : DR
[cc] Breizh-info.com, 2022, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine

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42 réponses à “Géorgie. Nona Mamulashvili : « Les Occidentaux doivent comprendre que la Russie est une menace existentielle pour les pays civilisés » [Interview]”

  1. Philippe Perchirin dit :

    Très intéressant, et confirme assez ce que j’ai écrit dans mon article « Ukraine, la partie de poker menteur ». Ce qui se passe en Géorgie ressemble, toutes choses étant égales par ailleurs, aux événements de février-mars 1921, au cours desquels l’Armée Rouge était venue « à la rescousse des prolétaires géorgiens opprimés par la bourgeoisie capitaliste du pays » et avait fini, en contradiction avec la politique proclamée par Lénine de respect des nationalités au début du Communisme de Guerre (1917 – 1921), par annexer la Géorgie « par solidarité prolétarienne ». Ce qui explique pourquoi les pays précédemment sous la coupe de l’ex-URSS (et précédemment de l’empire russe) voient la politique d’interventions de Poutine avec angoisse.

    On voit que le gouvernement russe est à la manœuvre – et on peut imaginer que les Occidentaux s’efforcent de leur côté de soutenir les pro-occidentaux.

    Mais il y a d’autres choses qui interpellent : par exemple le fait que les élections soient manipulées…

    En France en effet, dans le camp des « démocraties »,
    – nous avons eu une en 2017 des élections présidentielles qui, grâce à une intervention quasi immédiate de la justice (alors que tout le monde connaît la lenteur ubuesque d’un appareil judiciaire totalement grippé comme l’a encore prouvé tout récemment le cri de désespoir de maître Éric Morain) pour mettre, en pleine élection (!), en examen un candidat soupçonné suite à un article de journal, concomitante à une campagne de presse inouïe dont le seul but était d’avoir des élections à candidat unique !

    … ou encore le clientélisme massif observé, notamment par le biais du recrutement massif en Géorgie de « fonctionnaires » qui représentent 20 % de la population. En France, le gouvernement socialo-communiste a recruté après 1981 plus de 2 millions de fonctionnaires ! En France, voir mon article sur la réforme des retraites, nous avons des régimes spéciaux qui portent la marque odieuse du clientélisme le plus abject…

    Heureusement que nous, au moins, vivons en démocratie… En fait, on a l’impression que nous sommes juste dans un régime illibéral à peine un peu plus subtil que des régimes critiqués (avec raison) comme ceux de la Russie, de l’Ukraine ou en le cas d’espèce la Géorgie. Des pays dont l’indépendance est compromise par les interventions permanentes d’empires extérieurs. C’est vrai que nous, en revanche, n’avons pas du tout un gouvernement sous la coupe d’une commission européenne non élue imposée par le coup d’État de 2005…

  2. gautier dit :

    bravo pour cet ecrit philippe.
    L’amitié Franco Russe existe depuis bien logtemps, mais l’OTAN a toujours cassé les raprochements entre les peuples qui n’etaient pas tournée vers eux, n’en deplaise à certains, mais la fin de la guere 39/45 a bien ete gagné par les russes et a bien evité des centaines de milliers de morts, les U.S voulaient que la France une bascule vers l’Amerique, de plus et avait la ferme intention de faire de la France son 53e etats ! les E.U. n’ont jamais respecté les accords, il ont toujours louvoyé les accords, les russes ne sont pas des Anges, mais les Americains sont des démons, et l’Ukraine a prit des deux, nasisme et voyous.

    • cendu dit :

      100% d’accord avec vous.
      J’ajoute que la plupart des gens semblent n’avoir toujours pas compris que l’URSS n’existe plus depuis 1990 (la Russie a rendu leur indépendance à tous les pays satellites de l’ex URSS), que nous sommes revenus au temps des tsars grands amis de l’Europe (et admirateurs de la France en particulier) et que le cauchemar des USA serait “l’Europe de l’Atlantique à l’Oural” qui signerai la fin de leur hégémonie.
      J’ai le sentiment que les rôles sont inversés : la nouvelle URSS sont les USA et la Russie est redevenue celle qu’elle a toujours été avant la parenthèse soviétique (inspirée de la révolution française).
      J’ai aussi le sentiment que 82% du monde désapprouve les USA et leur vassal qu’est l’UE, ce qui me donne à penser que l’UE va couler avec le Titanic américain tôt ou tard.

    • Gillic dit :

      Bravo, vous avez tout dit !!

  3. gaudete dit :

    Ah bon, nous sommes en démocratie depuis quand, nous sommes en démoncratie c’est sur, mais à part ça, je ne vois pas où est la démocratie. Le poudré fait ce qu’il veut, les innocents sont les coupables, qui gouverne les LGBTQXYZ les médias à la solde du fuhrer, ils iraient très bien avec Goebbels. Quand on voit comment a été gérée la crise du covid je ne vois pas où est la démocratie, on n’a rien à envier à ces républiques bananières, ce sont des oligarques qui gouvernent : mac insay, mac ron, rotschild par mac ron interposé, pfizer par van der layette( je mets exprès des miniscules parce que je ne dois rien à ces voyous en col blancs et ils ne méritent aucunement le respect des français

    • Tout à fait d’accord avec vous, Gaudete ! Nous ne sommes pas en démocratie, nous sommes en dictature soft : la dictature c’est “ferme ta gueule”, la “démocratie à la française c’est “cause toujours”. La gestion de la crise du Covid par Macron, énarque donc fonctionnaire comme le quart des Français, l’a démontré.

  4. Targui dit :

    La Russie un danger pour les pays occidentaux ??? Mais il ne faut pas oublier que les américains ont exterminé les indiens pour leur prendre leur Terre … et c’est ce qui attend aux Européens si nous restons dans l’OTAN !.. Alors moi je choisis la Russie !!!

    • cendu dit :

      Les américains ont fait 12 millions de victimes civiles au Moyen Orient, ont été les seuls à oser envoyer deux bombes atomiques sur des villes qui n’étaient en rien des sites militaires, détruit des villes allemandes qui, elles non plus n’étaient pas des sites militaires, sans parler des villages vietnamiens et autres.
      Bref, les USA ont fait des dizaines de millions de victimes civiles et sont scandalisés quand les russes font trois victimes civiles. Il parait que c’est normal car les USA sont le “camp du bien” et ceux qui ne veulent pas leur être soumis sont le “camp du mal”.

    • Castel dit :

      @ Le Polygraphe (n°2) qui a répondu à 13h03 ce 29 août 2022 au Polygraphe (n°1)

      Merci beaucoup de faire cette précision car cela fait quelques temps que je lis les commentaires des pseudos “Le Polygraphe”, “O.S.A.” (mais aussi “S.O.A.”) que je trouve généralement bien argumentés et rédigés. Or, certains (rares) avaient provoqué mon étonnement car ils relevaient d’un “dédoublement de personnalité”. Ceci explique donc cela….

      @ la Rédaction de BI : vous n’avez donc pas de filtre sur les pseudos ??? (i.e. tel pseudo attaché obligatoirement à telle adresse électronique ?) Si tel est le cas, merci de rectifier rapidement car cela peut finir par être préjudiciable à certains…. Et par les temps qui courent avec le projet de directive contraignante que l’UE vient d’adopter dans le cadre de la Convention d’Istanbul, mieux vaut être prudent…

    • Le Polygraphe dit :

      Castel 29/08/2022 21:45 à 21 h 45 min

      Hé oui, cela dure depuis un bon moment sous plusieurs pseudos différents.
      Le déclencher est la déculottée mise à l’imposteur qui se prétendait “général”, seuls un civil peut tenir certains propos et méconnaitre à ce point les officiers sup, leurs us et coutumes, mode d’expression et ce qu’impliquent certains cursus .

      Il ne fait pas bon ne pas être russophobe, rien que cela nous dit beaucoup sur la “personne” à qui nous avons à faire.
      Là où ce machin a tout faux c’est que j’assure toujours le suivi de mes commentaires, donc je n’ai manqué aucune de ses manips.

      Quelque part, déranger autant un troll c’est comme décrocher une breloque supplémentaire.
      In fine c’est gratifiant d’avoir des propos assez pertinents pour que des tarés se fassent un malaise et aient besoin de vous discréditer.

  5. PL44 dit :

    A tort ou à raison bien sûr, les bolchéviks ont accusé les menchéviks géorgiens d’avoir réprimé avec une extrême violence des soulèvements paysans, notamment en Ossétie. Ecrits attribués à Valiko Djoughéli :
    “De tous côtés, autour de nous, brûlent les villages ossètes… Pour servir les intérêts de la classe ouvrière en lutte, les intérêts du socialisme qui vient, nous serons cruels. Oui, nous le serons.”

  6. Pschitt dit :

    Lecture vraiment instructive. Une phrase essentielle : “Lorsque la Russie a attaqué la Géorgie en 2008, elle a utilisé le même scénario que celui qu’elle a utilisé en Ukraine en 2014 et qu’elle utilise à nouveau maintenant.” Poutine obéit à un schéma mental très simple, aux applications répétitives. Dans les pays où il ne réussit pas à instaurer un régime à sa botte comme en Biélorussie ou en Tchetchénie, il passe aux menaces puis s’il le faut à la force. C’est au fond la géopolitique de l’URSS poursuivie de nos jours par un ancien du KGB.
    L’évaporation de l’OTAN au XXIe s. et l’esprit munichois qui règne en Europe lui permettent de continuer inlassablement (“à condition qu’il n’aille pas plus loin”, dit-on à chaque reculade — on pense en particulier à la Crimée). Si ça fonctionne une fois de plus en Ukraine, les pays baltes sauront que leur tour va venir.

  7. Collonia Agripinensis dit :

    Cette interview démontre encore une fois que Breizh Info donne la parole à tout le monde, même à une député larmoyante géorgienne, qui prétend “que la Russie est une menace pour le monde civilisé”. Je crois bien que le monde occidental dit “civilisé” n’est plus qu’une vue de l’esprit ou tout est inversé et que les valeurs défendues aujourd’hui par la Russie sont transformées en cancel culture et woke. J’ai pris plaisir à lire ce papier qui me conforte dans l’idée d’un lavage des cerveaux à l’est par l’occident est considérable. Pourvu qu’il restent des esprits éclairés, comme les Hongrois, afin que le déclin civilisationnel ne soit pas total en Europe en tout cas. Comment des peuples qui possèdent des ressources sous-terraines, peuvent-ils vouloir adhérer à une espèce d’organisation molle qui n’en possède aucune, qui joue les matadors, sans en avoir les moyens. Je vise l’UE, quand les US ont des ressources. La molle UE n’a strictement rien et se soumet à un atlantisme échevelé, dont elle fera les frais au profit toujours des US, qui déstabilisent le monde et qui ne gagne à la fin aucune guerre inaugurées par eux. Tragique.

    • Dominique dit :

      @ collonia
      Donnez la parole soit, mais pas à n’importe qui ni sans permettre la réplique lorsque la personne est une idéologue et de nos ennemis..
      Cette activiste pro néo-conservateurs américains est en effet une admiratrice du nazisme, une “femme d’affaires” liée aux Anglo-saxons : elle et la directeur de Pfizer pour la Géorgie. CQFD.
      En conclusion, Breiz joue ici contre Breiz et ses lecteurs ! Je ne marche pas.

      • patphil dit :

        ne pas donner la parole à certains, c’est les censurer! le lecteur est apte à comprendre, non? d’ailleurs votre réponse le prouve;

      • Erwan Berric dit :

        @Dominik, cool Raoul! “La parole soit, mais pas à n’importe qui” c’est bon pour libé, slate ou les incouilles de mes rocks, pas pour Breizh-Info qui donne la parole à tout le monde, même à toi qui veux la limiter à ta petite personne.
        C’est avec toi que je ne marche pas.

  8. CREOFF dit :

    Cette dame a bien retenu la narrative occidentale. Elle fait l’impasse sur le fait que les Anglo-Saxons ont financé les bolchevics pour détruire la Russie de l’interieur, puis les Nazis, pour contenir les premiers. DAEH pour règner partout. Les Anglo-saxons ont le pillage et la guerre par proxy dans leurs gènes? Les Russes en ont fait les frais pendant 100 ans. Les RUsses ont relevé la tête et valorisé leur pays. Auhourd’hui n’est pas l’URSS et l’Europe, pillée, s’écroule. La Géorgie a tout à gagner dans le camp Russe!

  9. Toto dit :

    “…pour les pays civilisés…”: pouvez vous préciser lesquels? Les Américains par exemple? J’aimerais avoir des noms, dans le monde, et que soit donnée la définition d’un pays civilisé, pour qu’on sache qui l’est et qui ne l’est pas. Le monde n’est pas manichéen, le blanc, le noir, le bien, le mal, etc… et prétendre qu’il n’y a pas de nuances de gris, me paraît très prétentieux, et heurte mon esprit critique… C’est mon avis…

  10. Mouchet dit :

    L’erreur fondamentale de l’Europe comme le citait le General de Gaulle visionnaire, était de faire l’Europe jusqu’à L’Oural. Et nous aurions déjà une Europe très forte indépendante des USA. Nous ne sommes même pas autorisé a proposer un vrais vaccin Valneva par exemple et bien d’autres. Nous étions presque à bout touchant avec les 250 entreprises européennes en Russie l’ouverture du gaz par Nord Stream 2 mais seulement les USA étaient et sont toujours contre en nous faisant une épidémie et armant l’Ukraine avec laboratoires à virus, armement et achetant pour 35% du territoire ukrainien. Car ‘ hégémonie du dollars disparaitrait, mettant à mal leur économie et surtout leurs dettes immenses de 175’000 milliards irremboursables plus le systèmes des dettes cachées que sont les hors bilans bancaires qui sont ni plus ni moins que des garanties, avals, cautionnement, basées sur du vent autant que les dettes officielles. Les USA entraînent donc l’Europe dans les dettes irremboursables avec d’autres pays, afin de conditionner et mettre un dictat financier en imposant le dollars hégémonique. La Russie refusant le système, absolument pas endettée comme la Chine, plutôt créancières des USA pour 3’200 milliards refusent la cotation en dollars comme les BRICS. D’où un conflit voulu organisé pour affaibli la Russie et se venger de la Syrie qui a échappé au dictats des USA. L’Irak et la Lybie ont explosé avec plus de 450’000 morts. Le tout va exploser comme un tsunami effondrement du système capitalisme 10 fois 2008 car les BRICS ne céderont jamais c’est une question de cigale contre les fourmis.

  11. Marcaugier dit :

    De nouveau l’expression de la fracture entre la belle droite pro russes et l’extrême-droite pro Occident/US.
    Il faut maintenant admette que la France a vocation à sortir de l’UE, sortir de “l’Occident” (US, Israël, Australie, Canada, etc…)

  12. andrea dit :

    L’occident a l’air d’être une excellente machine à décerveler, formater ce qu’il reste comme esprit! Qu’à l’est on croit encore à la liberté à l’ouest prouve que la propagande est bien faite, ou que les esprits sont très abîmés.
    je propose des transferts de population: que les occidentaux de sang ou de cœur restent ou viennent vivre en occident, qu’ils nous laissent le reste du monde, nous nous en contenterons.

  13. Dominique dit :

    Sa famille est dans la Légion : ” c’est une tradition familiale “. Tout est dit.
    des nostalgiques des Warren S ?

    • Marcaugier dit :

      Pourquoi ne pas être nostalgique de la Waffen-SS? Ces quelques milliers de jeunes venus de l’Europe des patries charnelles, pour lutter contre le bolchevisme et ce que l’on constate aujourd’hui, contre la mondialisation sous domination US-israël-GB.

  14. Dominique dit :

    @ PPercherin
    Rectification : Vous êtes russophoBE

  15. Dominique dit :

    Breiz est tombé dans un piège des globalistes américains. La bio de cette activiste est très incomplète et la fait passer pour une intellectuelle.
    Elle exerce surtout en tant que membre d’ une organisation américaine basée à Wahington chargée de retourner l’Asie centrale, en faveur de l’Empire anglo-saxon. Elle est une traitre à son pays. Une sorte de BHL.
    ( Dis moi qui tu es et je saurais pourquoi tu mens. )

    https://www.mei.edu/profile/nona-mamulashvili

    https://www.mei.edu/programs/frontier-europe

    • Castel dit :

      Merci Dominique pour ces liens essentiels qui permettent effectivement de savoir d’où parle cette femme et donc d’identifier les filtres à utiliser pour “remettre son discours à l’endroit”.

      @ la Rédaction de BI : il eut été judicieux que vous missiez vous-mêmes, et spontanément, le “pedigree” INTEGRAL de cette femme.

      Comme l’a écrit Collonia Agripinensis, c’est vraiment bien de donner la parole à tout le monde car il n’y a que de cette façon que nous pouvons, petit à petit, nous approcher de “la” vérité. Toutefois, la réponse que Dominique lui a faite est plus que pertinente.
      Avis !

      • Le Passant dit :

        Castel
        Ne rêvez pas, j’ai rédigé deux commentaires avec le pédigrée intégral de cette femme et les deux commentaires ont été censurés.
        Il n’y a aucune coïncidence .

  16. Yann Le Godec dit :

    Cette femme est ridicule !
    Qui donc peut avoir peur de la Russie qui en est réduite à lancer des cheminées sur les toits des centrales nucléaires pour se bombarder elle-même ?

    Tout ce qu’on sait, c’est que le délire Ukrainien est l’occasion pour nos corrompus de faire sortir des millions d’euro du pays, millions qui de toute évidence n’arrivent pas tous à destination.

    C’est une bonne occasion de se mettre “légalement” de l’argent à l’étranger pour nos corrompus.
    “Je t’envoie dix millions d’euro, tu en gardes trois et tu m’en place six sur un compte numéroté, merci mon ami Zelenski”

    Regardez donc sur Google (Wiki) “Liste de l’aide étrangère à l’Ukraine pendant la guerre russo-ukrainienne”
    C’est délirant, inédit pour un conflit de si faible intensité circonscrit à une minuscule zone frontalière.
    Une telle débauche délirante cache forcément quelque-chose d’inavouable, car non-avoué !

    La Colombie et l’Argentine font partie de la liste et finissent de disqualifier l’opération .
    A cette vitesse même le Cartel de Sinaloa va finir par apporter sa contribution comique millionnaire mythomane Ukraino-Israélien Volodymyr Oleksandrovytch Zelensky ^^

    • Dominique dit :

      @ Yann
      A peine croyable de la part des dirigeants de l’Argentine, pays où un bon gvt chrétien et libéral ( au sens la liberté selon Frédéric Bastiat ) fut renversé par Washington il y a plus de 20 ans. Mais wiki est un menteur, alors est ce vrai ?

      • Yann Le Godec dit :

        Dominique
        Votre question de la véracité a du sens, par chance je parle Espagnol (entre autres) j’ai pu vérifier l’info sur les chaines C5N et TV Pùblica, apparemment c’est vrai et c’est comme chez-nous, leurs corrompus sont fiers de dépouiller l’armée locale pour achalander l’Ukraine (un des pays les plus corrompus du monde)

        Je vous rassure, rien n’arrive pour rien, à mon sens la “guerre” pour que l’Ukraine puisse continuer à martyriser les Russophones répond à un agenda.
        Par augmentation et raréfaction artificielle et volontaire du gaz et du pétrole, cette guerre ne fait qu’accélérer le déclin de l’europe et de l’occident, de façon délibérée.

        Les étapes préalables à l’organisation délibérée de notre déclin nous les connaissons :
        -Délocalisations donc plus de production de rien et dépendance

        -Immigration massive venue d’afrique en pleine période de chômage de masse, donc le continent le plus illettré, inculte et criminogène au monde selon l’ONU

        -Explosion délibérée de la cellule familiale

        -Obsession du Q, que ce soit LGBT ou autre

        -Abandon du nucléaire pour le remplacer par des éoliennes et panneaux solaires accompagnées de centrales à charbon pour les rendre “pilotables” tout en vous culpabilisant pour le Co2, Co2 qui est produit à plus de 99.6% par les forêts et les océans !!! (photosynthèse)

        -Démoralisation par la repentance INTERGENERATIONNELLE
        + le wokisme
        + accusations de racisme supposé (hiérarchisation) même quand vous ne parlez que de limites
        + accusations permanentes de fascisme socialiste italien et de nazisme socialiste allemand chez les Français et plus de 70 ans après la fin de ces mouvements
        + la culpabilité climatique (tout en sachant que tout est causé par les tâches solaires qui empêchent le rayonnement cosmique, donc la formation de nuages)

        -Surendettement des Français délibéré (voir le rapport Posokhow, l’immigration nous coûte 85 milliards/an depuis 50 ans, soit plus de 2000 milliards d’euro)

        -Interdiction de consommation énergétique et arrêt délibéré du nucléaire, ce qui signifie ni plus ni moins que le retour à l’âge de pierre, la régression forcée que SEULS nos corrompus imposent à leur peuple (les lois de l’énergétique et la thermodynamiques sont immuables : Beaucoup d’énergie = beaucoup de création de richesses, pas d’énergie = déclin assuré)

        Aucun pays non occidental ne se restreint au niveau énergétique, bien au contraire ils développent les filières énergétiques THERMIQUES ET NUCLEAIRES
        (la Chine a construit des dizaines de centrales charbon et nucléaires cette dernière décennie)
        Aucun pays non occidental ne se voit infliger une repentance éternelle intergénérationnelle, ni le wokisme, ni l’invasion migratoire permanente, ni de religion climatique, ni d’abandon de l’énergie, ni des décisions politiques dogmatiques de délocalisations etc…

        Ce n’est pas un “suicide Français” c’est un assassinat de l’occident, c’est extrêmement différent, et nous savons qui sont les donneurs d’ordres US + les corrompus exécutants locaux responsables et coupables de haute trahison à 1000% .

  17. Dominique dit :

    Une conclusion des commentaires est que des lecteurs de BI savent démasquer les salauds de l’oligarchie globaliste dont fait partie cette BHL géorgienne à la famille néo-nazie ( cf. la ” légion ” ).
    Mais est ce le rôle des lecteurs de montrer à la rédaction ses erreurs ? Certainement pas.
    Et surtout, d’autres lecteurs, qui ne lisent pas les commentaires, auront pu être entrainés vers la russophobie
    Pour cet article c’est une mauvaise note à Breiz.

  18. ubersender dit :

    “gouvernement sous contrôle des oligarques, ainsi que le pouvoir judiciaire, le bureau du procureur et les médias grand public” …. ça ne vous rappelle rien ?

  19. Erwan Berric dit :

    Trop drôle ! Une bande de bretons dont le pays est opprimé et asservi par la raie publique depuis 500 ans, non seulement prend la défense de la puissance qui agresse Ukraine et Géorgie, mais prétend connaître mieux qu’une parlementaire géorgienne la situation de son pays et prétend aussi savoir mieux qu’elle ce qui est bon pour son pays!!! Vous n’avez pas honte?

    • Erwan Berric dit :

      Et ce qui me démonte chez la plupart des tapineuses qui encombrent ces commentaires, c’est leur anti américanisme pavlovien, digne des pires éditoriaux de l’Huma et de Voix Ouvrière, et leur extrême indulgence à l’égard du communisme. Je m’attendais presque à lire des éloges de Kim Il Jung, de Madurro et des Ortega’s Brothers! Cette Géorgienne paye de sa personne, elle peut être arrêtée ou assassinée à tout moment, elle a plus de burnes à elle seule que tous les commentateurs réunis, les toutous de Poutine et de Méluche. Dehors les doryphores!

  20. Didier Toutain dit :

    Bravo Erwan,
    Je désespérais de lire un commentaire intelligent. Ce que je lis ici (je parle des commentaires) fait froid dans le dos. La haine des usa fait dire n’importe quoi…
    Les ressorts utilisés par Poutine sont les mêmes qu’utilisaient ceux qu’il est censé combattre à savoir le national socialisme : contrôle de l’information – jeunesse poutinienne – intimidation – procès fantoche – défilés militaires… N’oublions pas que le seul dirigeant allié d’Hitler en 1939 encore au pouvoir en 1950, s’appelait Joseph Staline…

  21. -Abandon du nucléaire pour le remplacer par des éoliennes et panneaux solaires accompagnées de centrales à charbon pour les rendre « pilotables » tout en vous culpabilisant pour le Co2, Co2 qui est produit à plus de 99.6% par les forêts et les océans !!! (photosynthèse)
    Génial, vraiment génial ces éoliennes ! Et vous savez qu’il y a beaucoup plus néfaste que le CO2, (car je le répète, CO2= Photosynthèse indispensable à la vie, des plantes comme des humains et des animaux) Donc beaucoup plus dangereux que le CO2, c’est le CO. N….
    A bon entendeur Salut. Cordialement : Kephas

  22. Dominique dit :

    Cher Breiz Info
    Censurez vous mon dernier message ?
    Il ne contient pourtant aucun propos offensant.
    Il résume la situation tragique de la France et l’avenir apocalyptique qu’a préparé les ” cabinets de conseil ” de l’Empire pour le tyran. Il les exposera à ses soit-disant ministres lors de réunions de son ” conseil de défense ” qui seront tenues secrètes.
    Cette description d’un avenir me parait vraisemblable. Vous épouvante t elle au point de vous tétaniser ?
    Vous êtes pourtant bien placé et votre mission de journaliste n’est elle pas de lancer des alertes ? Alors, au boulot Breiz Info. Merci 😊

    • Rédaction dit :

      Bonjour

      Les commentaires sont limités en nombre de mots, c’est tout. Sinon cela devient ingérable à modérer.

      Cdlmt

    • Erwan Berric dit :

      Personne n’est à ta disposition ici pour reproduire, toutes affaires cessantes, tes copiers-collers de Sputnik et de Tass, kamarade! Alors finis ta bouteille de Moskovskaïa et va cuver chez Slate.
      Non mais.

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