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La partie d’échec en 3D de Vladimir Poutine

Ci-dessous une analyse intéressante de Sylvain Laforest, journaliste canadien qui fait apparaître le rôle de l’économie et du pétrole dans le bras de fer OTAN-Russie actuel. A lire.

Vous trouverez toujours quelqu’un pour ridiculiser une théorie élaborée en la comparant à «une partie d’échecs en 3D», comme si personne n’était capable de jouer aux échecs en 3D. Or, il est divertissant de constater que Vladimir Poutine mène depuis 2008 une partie d’échecs en 3D pour mettre un terme au mondialisme, l’idéologie maîtresse pour dominer la planète d’une toute petite élite internationale composée des banques internationales, grands fonds d’investissements et leurs multinationales.

Il ne sert à strictement rien d’observer le monde à travers une loupe politique, puisque le FMI, la BRI, la Banque mondiale, la FED, BlackRock et Vanguard mènent le monde à travers leur contrôle sur les pétrolières, multinationales, pharmaceutiques, médias, ONG et leur porte-parole visible qu’est le Forum économique mondial de Davos.

La CIA et l’OTAN n’écoutent pas les présidents et Premiers ministres, ils sont tous à la solde de cette clique mondialiste dont les terminaisons américaines sont le Council on foreign relation et la Commission Trilatérale. Biden, Macron, Trudeau et Scholz sont de simples exécutants, de vulgaires pions sur l’échiquier.

Ainsi, la lutte à mort actuelle entre deux idéologies est strictement économique. Ce n’est pas celle des USA contre la Russie ou la Chine, mais celle des Mondialistes vs les Nationalistes. Le New World Order, qui contrôlait depuis 1944 la civilisation mondiale, est aujourd’hui menacé par ceux qui veulent qu’on respecte la souveraineté et l’indépendance des nations, un mouvement amorcé par un seul homme, Vladimir Poutine. Car voilà, les politiciens nationalistes ne se contentent pas d’être des pions, mais utilisent réellement le pouvoir dont on les a investis. Heureusement, Poutine n’est plus seul, parce qu’il a mené d’une main de maître sa partie d’échecs en 3D, qui arrive à son terme.

Avant de continuer, je justifie immédiatement l’utilisation de l’expression anglaise « New World Order », plutôt que la francisée « Nouvel Ordre Mondial ». D’abord c’est un concept anglo-saxon, et non français. Ensuite, c’est une erreur importante de traduction : le New World Order date de 1944 et coïncide avec la conférence de Bretton-Woods ayant imposé le dollar américain comme monnaie de réserve internationale, suite à la seconde guerre mondiale. Comme essentiellement, le monde transitait de l’empire britannique à l’empire américain, ce qu’on devrait appeler l’Ordre Mondial du Nouveau Monde fut imposé en 1944, et est aujourd’hui menacé par une partie de la planète qui se rebelle.

Pour comprendre l’état du monde en cet automne 2023, on doit posséder une boite à outils complète : clouer une vis avec un marteau n’a jamais rien donné de bon, et en ce moment, la plupart des journalistes et analystes, indépendants tout comme mainstreams, tentent de percer des trous avec un rabot, parce que la plupart ignorent quelques préceptes de base, à la source de TOUTE la géopolitique mondiale actuelle.

L’importance primordiale de l’analyse économique sur sa déclinaison politique en est un, et en voici un autre encore plus important.

Un talon d’Achille

Entre 1999 et 2008, Vladimir Poutine a tout essayé pour intégrer la Russie à la communauté internationale, à la seule condition que la souveraineté de la Russie y soit respectée. Le 10 mars 2007, suite à l’annonce du président américain Bush jr que l’Ukraine et la Géorgie devenaient candidats pour l’OTAN, Poutine lance un premier avertissement à l’organisation qui doit cesser ses provocations par son expansion illégitime, puisqu’une promesse avait été faite en 1990 à Gorbatchev que l’OTAN ne s’étendrait pas vers l’est, ce qu’elle n’a jamais cessé de faire depuis jusqu’aux frontières de la Russie. Avec la guerre de Géorgie en 2008, Poutine comprend enfin que jamais la clique mondialiste ne laissera la Russie se gérer comme elle l’entend. Il n’avait que deux options : laisser tomber le peuple russe et livrer son pays aux banques, ou alors, détruire le mondialisme. Chose plus facile à dire qu’à faire, puisque la clique contrôle la création monétaire et l’économie mondiale, et par extension, la plupart des armées du monde.

J’ai l’impression que Poutine a identifié assez tôt dans sa croisade que le talon d’Achille de l’empire des Banques était le secteur du pétrole. Pas les autres énergies, juste le pétrole. Il y a longtemps que l’Occident craint de perdre le contrôle du marché de l’or noir qu’il tenait jadis au creux de la main par les menaces militaires aux pays producteurs. Au début des années 70, Libye, Syrie, puis un peu plus tard l’Iran, sont sortis de ce contrôle, ce qui activa le Plan B du «réchauffement climatique causé par le CO2» (produit de la combustion du pétrole), et la soudaine importance d’envisager un jour une transition énergétique vers d’autres sources énergétiques pour sauver la planète du brasier imaginaire.

Malheureusement pour la clique qui en rêvait au début du Plan B, ils n’ont jamais trouvé une énergie capable de remplacer le pétrole pour les cargos de marchandises, les avions, l’agriculture et les armées. Et ce n’est pas faute d’avoir cherché une alternative, mais à ce jour, le pétrole reste la seule énergie pour faire fonctionner l’économie mondiale, basée sur les transports des biens.

Et puis il y a le double problème du pétrodollar : comment justifier la valeur d’une monnaie sur une énergie hors de son contrôle ? Le dollar sans le pétrole, ni l’or abandonné en 1971, est une monnaie de singe. Ah mais, le Canada et les USA sont en haut de la liste des producteurs mondiaux ? Absolument, mais leurs exploitations compliquées sont trop coûteuses, elle perd même de l’argent aux États-Unis, où il est plus avantageux d’acheter du pétrole que de le produire. Et ils ne peuvent plus réguler les prix pour rentabiliser leur production. Or, qui contrôle le pétrole contrôle le monde. Soit, tu vends la seule énergie qui fait fonctionner l’économie, soit tu en es un client.

Dans un contexte de cette production Nord-Américaine onéreuse, et de réserves décroissantes aux USA, le château de cartes mondialiste tremble donc sur cette énergie évanescente.

Et c’est ici qu’opère la magie du maestro des échecs en 3D, qui se mit en tête de saigner à blanc le mondialisme en lui retirant son sang, le pétrole. Pour y arriver, il lance en 2008 une refonte complète de l’appareil militaire russe qu’il doit rendre quasi-invincible. Au fil de la décennie suivante, la Russie se met à inventer les meilleurs systèmes défensifs que sont les S-400 et Pantsir ; les meilleurs brouilleurs électroniques tel que le Mourmansk-BN ; une panoplie de missiles offensifs hypersoniques inarrêtables, dont les Kinjals et Zircons ; les meilleurs avions et bombardiers de la gamme Soukhoïs ; enfin, les cauchemars nucléaires dissuasifs Sarmat, Avangard et Poséidon qui exposent les flancs de l’Occident sans aucune défense possible. Outre les sous-marins, Poutine n’a pas perdu son temps à fignoler la marine, fleuron et seul avantage notable de l’Occident, car en cette époque de missiles hypersoniques, les porte-avions sont désormais des canards flottants en attente de couler.

En couplant ce réarmement d’une refonte de l’armée russe, étatisant au passage la production des armes pour contrer les coûts prohibitifs qui viennent avec le secteur privé comme celui qui draine les économies occidentales, puis en créant la société privée Wagner, il a bel et bien créé une machine militaire invincible, et souple. D’où son attaque en 3D, bouffant les pions sur trois étages, en permettant aux producteurs de pétrole de gagner leur indépendance, avec la promesse de protéger leurs arrières par la désintégration du contrôle des mondialistes sur ce marché crucial.

Les globalistes attaqués

Les banques internationales ont vu venir le coup et ont tenté de prendre Poutine de vitesse, en lançant dès 2011 le Printemps Arabe dans 9 pays stratégiques, dont la Syrie, l’obstacle principal bloquant le vieux plan d’élargissement d’Israël (The plan for Greater Israel, publié en 1982), soit une métaphore pour la prise de contrôle de presque tout le pétrole de la péninsule arabique par Israël, le mandataire du New World Order au Moyen-Orient. En 2011, la Russie n’était pas encore militairement prête pour intervenir, et Poutine observa avec horreur le sort réservé à Kadhafi, grand nationaliste qui avait préservé la Libye du chaos occidental pendant quatre décennies.

La Russie n’était toujours pas prête en 2014 et il a regardé la CIA faire la révolution en Ukraine et commettre de nouvelles atrocités, dont un massacre à Odessa, les bombardements sur la population du Donbass, et le souffle chaud de l’OTAN qui se rapprochait.

Dès l’année suivante, même si la Russie n’avait pas encore complété son nouvel arsenal, Poutine a compris qu’il fallait risquer de perdre sa reine pour empêcher Bashar el-Assad de tomber en Syrie, et le 29 septembre 2015, il s’attaque enfin aux faux terroristes/vrais mercenaires occidentaux que sont ISIS et al-Qaida, mandatés pour mettre la Syrie au diapason occidental. Cette aide déterminante à l’armée syrienne fut un premier coup de pied direct du leader russe sur le New World Order. En empêchant les mondialistes d’écraser la Syrie, Poutine les a empêchés de rassembler tous les derricks d’Irak, Syrie, Koweit et en partie, ceux de l’Arabie saoudite et de l’Égypte, ou en d’autres mots, le contrôle assuré du marché du pétrole. Pour l’Occident, Poutine est devenu l’ennemi juré n°1.

En février 2022, la Russie était enfin prête. S-400, Kinjals, Zircons, brouillage électronique, artillerie, drones, dernière génération de Soukhoï, Sarmat et Avangard, tout y était. En entrant en Ukraine, Poutine savait qu’il affronterait l’OTAN au complet, qui y investirait argent, équipements et hommes, pour se rendre à l’évidence que face à la nouvelle armée russe, rien de l’onéreux arsenal de l’OTAN ne tient la route. La seule chose que son équipement militaire fait mieux que l’équipement russe, c’est de brûler. Pour les Ukrainiens conscrits qui ne se réclament pas de Stepan Bandera, la débâcle est une indicible tragédie, mais si Poutine avait laissé faire, ce serait une apocalypse qui embraserait bien au-delà de l’Ukraine.

Sabordage économique

Pour les mondialistes, la plandémie de coronavirus fut un prélude nécessaire pour terroriser les peuples et s’assurer de leur obéissance pour quand viendrait le pénible changement d’une démocratie vers le totalitarisme austère prévu au programme du Forum économique. Avec l’abandon d’une partie du pétrole, l’Occident déclenchait du même coup l’autodestruction de ses économies. De plus, l’élimination des petits commerces en faillite favorise à la fois les affaires des multinationales et libère l’espace nécessaire pour la construction de villes 15 minutes, d’autres objectifs des ploutocrates.

Toutes les absurdités scientifiques actuelles, que ce soit le réchauffement climatique anthropique, la propagande du véganisme, le plastique dans les océans, la transition aux éoliennes et autres thèmes saugrenus, sont reliés au simple fait que l’occident est devenu client du pétrole, dont elle ne contrôle plus le prix, ni l’approvisionnement. Comme leurs médias perdent massivement le contrôle sur la pensée du peuple, ils n’ont d’autre choix que de sombrer dans le totalitarisme via l’identité numérique et le crédit social, s’ils veulent éviter de se faire lyncher sur la place publique pour 3 ans d’assauts continus contre la population.

Le surendettement massif des nations au nom du soutien pour un virus imaginaire était aussi voulu, pour justifier une relance par le Grand Reset (ou Grande Réinitialisation) des monnaies, incluant l’annulation des dettes nationales en échange de l’abandon de la propriété privée et la création d’une seule monnaie commune crypto, sans papier imprimé, les CBDC. Dans la situation actuelle, cette monnaie n’aurait aucune valeur, car une partie trop importante de la planète ne veut pas de cette réinitialisation de quelques pays ayant volontairement creusé leur tombe et qui n’ont rien pour insuffler une valeur à cette monnaie, même pas la confiance.

La botte secrète de Vlad

Le problème pour l’Occident est que pour fonctionner, le Grand Reset doit être global, et encore une fois, Poutine a paré l’attaque en créant un système économique parallèle au SWIFT, avec l’aide de la Chine et de l’Inde. Plusieurs facettes de ce système économique russo-chinois sont devenues des noms familiers : Coopération de Shanghai, nouvelle route de la soie, les BRICS.

Ils travaillent tous dans le même sens, réglant leurs importations avec les monnaies nationales, dans un élan commun de dédollarisation. Le système SWIFT commence sa dérive, plus personne ne veut traiter avec les menteurs occidentaux qui saisissent et sanctionnent au gré des humeurs, et comme la Russie est maintenant la plus forte, les pays n’ont plus peur de sauter la clôture du nationalisme, en devenant des transfuges du mondialisme.

Du côté des producteurs de pétrole, Iran, Venezuela, Algérie et Qatar sont déjà à l’abri, et est venu en 2023 un coup fumant sur l’échiquier, quand l’Arabie saoudite et les Émirats arabes unis se sont mis en tête d’adhérer aux BRICS. L’Occident a perdu ses deux tours. Il ne reste pratiquement qu’à évacuer les USA de Syrie, d’Irak et de Libye pour que Poutine termine de rallier tous les producteurs importants.

Le bulldozer multipolaire travaille sur plusieurs plans : après que Russie, Inde et Chine aient tous boudé la COP-21 de Glasgow en 2021, il devient de plus en plus difficile pour l’Occident de maintenir son narratif réchauffiste, alors qu’une partie du monde ne fait plus semblant de sauver la planète. Si vous doutez de l’implication de la Chine, sachez que Xi vient officiellement d’abandonner les Accords de Paris sur le climat (juillet 2023), handicapant l’histoire officielle du réchauffement de la planète par le CO2, ce carbone instrumentalisé pour démolir la vie des gens qu’on veut plonger dans un totalitarisme orwellien. Les pays du BRICS ont choisi de continuer à développer leurs économies avec la seule ressource disponible pour les transports, le pétrole. Leur motivation est loin du mondialisme imposé par l’impérialisme militaire, mais cherche la prospérité engendrée par la coopération. Les BRICS ont choisi la réalité et l’humanité.

L’Afrique se soulève

Le tsunami de nationalisme engendré par la dextérité géopolitique de Poutine est en cours et gonfle comme voile au vent. Le cas tout récent du renversement de la marionnette occidentale au Niger, au moment exact où se tenait le sommet Russie-Afrique, est symptomatique des temps : la Russie est en train de rallier trois continents presque entiers à sa cause. En voyant l’Asie, l’Afrique et l’Amérique du sud lui filer entre ses doigts, annonçant la fin-finale de la colonisation, la clique mondialiste perd après le pétrole le restant des ressources qu’elle pillait chez autrui. Les anciennes colonies ne craignent plus les dettes du FMI, parce qu’il y a maintenant une porte de sortie et qu’elles se savent protégés. Si vous doutez encore de la peur que provoque l’arsenal militaire et nucléaire russe aux mondialistes, consultez vite la liste d’une trentaine de pays ayant déjà signifié leur intérêt pour joindre le nouveau système économique russo-chinois.

Tout au long de sa partie en 3D, Poutine a fait les bons choix. Désormais, les gouvernements occidentaux sont placés devant un mur, et pour l’abattre, ils n’ont d’autre choix que d’abandonner l’idéologie mondialiste et le système économique érigé en tyrannie mondiale par les banques internationales et autres ploutocrates, pour monter dans le train multipolaire économique des nationalistes, où autonomie et souveraineté seront respectés. Ils doivent sacrifier reine et roi pour survivre. L’alternative est de risquer la révolution des peuples en les enfonçant dans un marasme social et un trou économique dont les banques ne se sortiraient jamais. Mais que faire des dettes ? On n’a qu’à couper le fil avec les banques, qui seront emportées par le poids des dettes qu’elles ont provoquées, et faire ce qui est à la mode du côté de la multipolarité, c’est-à-dire opter pour des monnaies nationales.

L’empire du mensonge n’a plus de plan B ni C, ni D. L’Occident est isolé, son armée est nue, ses missiles désuets, ses médias en disgrâce et ils perdent la main sur toutes les ressources qui abreuvent sa richesse factice. Sous des pressions internes qui ne veulent plus d’un plan de destruction économique sans résolution possible au bout, les gouvernements mondialistes des Young leaders du FEM tombent ; Ardern en Nouvelle-Zélande, Sanchez en Espagne, Rutte au Pays-Bas et les autres suivront. Et on devra les remplacer par de vrais nationalistes, pas des mondialistes déguisés à la Giorgia Melloni. Si Trump pouvait déloger les Démocrates en 2024, ce serait le clou final sur le mondialisme, entraînant son wokisme, son réchauffement imaginaire et son lent génocide médical des peuples dans la poubelle de l’histoire.

Désormais, vous pouvez prendre avec un grain de sel les multiples analyses géopolitiques qui distinguent les intérêts politiques des USA de ceux de l’UE, ou qui disent que «Biden défend à Zelensky de négocier» ; ce sont des attributs de la même ploutocratie, qui elle-même veut sacrifier l’Europe pour renflouer sa reine, américaine. Et puis, tout ce qui ne tient pas compte dans son cadre analytique de ce que Poutine a accompli via le pétrole est de la bouillie pour les chats. Et le plus tragique est que, même si ça devient aussi évident que les yeux dans le visage, à peu près personne n’a encore compris. C’est le précepte de base à tout ce qui se passe aujourd’hui en 2023, et c’est pourquoi Bobby Fisher a décidé de ne pas jouer la partie de retour. Poutine a une avance militaire insurmontable et il n’attendra certainement pas que le complexe industriel militaire américain le rattrape : cette fois, il n’arrêtera pas tant que l’Occident ne couche son roi. Si ça ne vient pas après l’Ukraine, il continuera, et à quelques coups de l’échec et mat, il serait bien fou d’abandonner sa croisade.

Sylvain Laforest, journaliste canadien

Crédit photos :  DR
[cc] Breizh-info.com, 2023, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine

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23 réponses à “La partie d’échec en 3D de Vladimir Poutine”

  1. alienor dit :

    merci cet articke met du baume au coeur, la Grande Russie va gagner, elle est dirigée par un grand homme d’état comme on en a oas vu depis longtemps

  2. Gaï de ROPRAZ dit :

    Sylvain, c’est très bon !!! Tu as vu juste, et je m’en rejouis.
    Je suis Russe d’origine et de langue maternelle, Français de langue littéraire (J’ecris des Thrillers en Francais) et j’habite au Canada (Toronto). Et je te donne raison . Just in one word : BRAVO !

    Bref, je ne vais pas à nouveau saupoudrer mon texte d’éloges envers Poutine, mais j’avoue que tu as vu juste. Dans le contexte actuel, ce que tu appelles avec juste raison « L »Empire du mensonge » s’essouffle, et l’Occident perd totalement ses sources d’approvisionnement (Nommées avec juste raison dans le texte : « Factices »). And Yes Sir : La Croisade est en marche. BOLCHOÏA SPACIBA !!! (Pour les non-initiés : Merci Beaucoup en Russe).
    [email protected]

  3. Ar Baot dit :

    Un énorme merci à Sylvain Laforest et Breizh Info pour cet excellentissime article qui devrait permettre aux « analystes » de la DGSE de partir en vacances, tranquilles, pour un bon moment !

    Olé !!! Haut les cœurs, et vive la Russie de Poutine, comme je l’ai toujours pensé.

  4. Durandal dit :

    Bonjour,

    Tout n’était pas prévu d’avance. M Poutine a tendu la main à l’occident bien après 2009, tout en s’armant. Quant à l’histoire en Libye, c’était sous M Médvédev. Il y a eu un flottement à l’époque. De même, on a vu avec Wagner, qu’il y avait des flottements.

    Cordialement.

    M.D

  5. Pierre-Marie Portejoie dit :

    Analyse simple et claire. Remarquable. Merci.

  6. Gillic dit :

    Article fabuleux quand à sa clarté et aux vérités qu’il assène !! Le grand président Vladimir Poutine et son équipe nous font aimer la Grande Russie !!! Davaï …….

  7. Pschitt dit :

    Sylvain Laforest répète une fois de plus sa thèse complotiste : les dirigeants du monde entier sont des marionnettes entre les mains des banquiers. On se demande bien pourquoi Vladimir Poutine leur échapperait (sauf à considérer qu’il fait lui-même partie des banquiers, et après tout certains assurent qu’il est multi-milliardaire depuis qu’il a été le bras droit du maire de Saint-Pétersbourg). Il suffit de prolonger le storytelling de Laforest : le pétrole n’est pas seulement un enjeu géostratégique, c’est avant tout un enjeu financier. Et Poutine fait la guerre en Ukraine pour que les banquiers puissent spéculer sur l’énergie. Se non e vero, e ben trovato, et si Laforest est un type sérieux dans son délire, il ne devrait pas tarder à défendre cette thèse !

  8. Hermione dit :

    Remarquable analyse! Bravo.
    Il suffit aujourd’hui d’aller en Russie pour se rendre compte de la psychose mensongère du monde occidentale.
    Petite fille, je vénérais JFK. Le complexe militaro-industriel et ses taupes dans le propre gouvernement de JFK, ont tué John Kennedy, le seul homme qui avait le courage de s’opposer à leur hégémonie dangereuse. Soixante ans plus tard, non seulement la clique qui règne à Washington refuse encore de libérer les archives de l’assassinat, prouvant ainsi qu’ils ont quelque chose à cacher, mais ces « pourris » sont devenus le bras droit de cet ordre hégémonique, qui se fait au dépend des peuples , arabes, hier, européens, aujourd’hui. Il suffit d’aller aujourd’hui en Russie pour constater qu’on y vit bien, que la fable du « tyran » ne tient pas, que les Russes respectent leurs mères et leurs grand-mères et adorent leurs enfants, qu’ils n’ont pas, Dieu soit loué, basculé dans la transgression et la décadence qui envahissent notre société soi-disant libre, à chaque heure du jour. L’idée même de démocratie, dont on se sert aujourd’hui pour coloniser les autres, est aujourd’hui mise en péril par ceux-là même qui la revendiquent, et l’anéantissement du système scolaire en France n’est pas prêt d’en créer les défenseurs. Et ce n’est pas en accusant ceux qui osent parler vrai de « complotisme » que les choses vont changer!!!

  9. Decrop Xavier dit :

    Superbement éclairant. Je voudrais développer un peu la « pandémie Covid », par un commentaire déjà publié en avril, et effacé de nombreuses fois, ci dessous :
    Médecin généraliste ayant pratiqué 15 ans ma spécialité de Santé Publique, et constatant l’uniformité médiatique sur des mesures surprenantes de Santé Publique, contraires à tous droits constitués, comme à toute science et efficacité, je me suis interrogé sur ce qui ferait sens à cet épisode totalitaire.
    Voici celui que je suis parvenu à cerner :
    – La mise au point de la technologie Arnm comme vaccin a précédé de quelques années la fuite du Labo de Wuhan travaillant sur les gains de fonction des virus arn provenant des chauves souris, sur financements US. Cette fuite était hautement prévisible, du fait de l’inexpérience chinoise dans le gestion des risques d’un labo P4. La réponse chinoise de confiner la province, mais laisser ses ressortissants diffuser le virus dans le monde relève d’un “retour à l’envoyeur” hostile, en réponse au piège tendu par les services de guerre bactériologique US. Tout s’est déroulé comme prévu, des mesures de contrôle social soutenues par la peur des populations occidentales, à la vaccination forcée par les “vaccins” de cette nouvelle technologie, malgré tout ce que l’on savait déjà de leur efficacité limitée, et les lourds effets indésirables de court et moyen terme (ceux de long terme restent inconnus).
    Que se jouait-il réellement ? La même chose que pour les bombes A larguées sur le Japon en 1945 : “Nous, USA, avons le plus gros gourdin, et nous invitons toutes les nations à se ranger sous notre parapluie nucléaire, et sous notre tutelle unilatérale”. La technologie ARNm, apanage US, se devait la “parade absolue” contre les affections microbiennes émergentes -naturelles ou artificielles-, et tous les pays ont été “invités” à se ranger sous le “Parapluie US” dans l’ordre mondial unipolaire sous son autorité. Carte ultime pour sauvegarder la déclinante suprématie US, peu regardante des dommages collatéraux. Les lourds dégâts, comme les morts de l’Irak, de Lybie, de Syrie, “valant la peine”, selon Mme Allbright.
    Mais partie perdue très vraisemblablement, la majorité du globe faisant le choix du multilatéralisme, se structurant sous nos yeux à l’occasion du conflit US Russie par Ukraine interposée. Hasardeuse entreprise qui pourrait faire passer du déclin à la chute !
    De cela nous gardons l’expérience traumatisante d’une écrasante “mise en faisceau des esprits” occidentaux par le pilonnage des médias Oligarchiques, et de la neutralisations totales des institutions qui devaient nous prémunir justement de ce retour du fascisme, dont la “mise en faisceau des esprits” est l’exacte définition. Xavier Decrop

    • Paul Hemiste dit :

      La fuite du P4 de Wuhan… Un célèbre « chasseur d’espion » britannique qui avait opéré sur les nombreux réfugiés d’Europe continentale pendant la seconde guerre mondiale en dénichant parmi eux les espions infiltrés, le colonel Oreste Pinto, expliquait que quand un quidam vous sort une version B après une version A, c’est que la vérité est probablement cachée dans la version C qui vous reste à découvrir. Donc, si on abandonne la romance de la Chauve-Souris et du Pangolin, vient la fuite du P4, version B de la saga covid « ad usum Delphini ».
      Quelle plus belle cible, dans une guerre commerciale ouverte, pour la domination économique mondiale (excusez du peu), que Wuhan, centre industriel majeur, nœud de communications où se croisent tous les axes du pays, et ce labo qui fait le suspect idéal ? Les Chinois, ces pauvres « ignorants », « incompétents », bref, des incapables faméliques nourris d’un bol de riz avec des baguettes en bambou ? Ben voyons… :)

      Comment expliquer les cas étranges de syndromes grippaux atypiques apparus dès l’été 2019, et la diffusion explosive des cas en 2020, sans une circulation bien antérieure du virus ?

      Où en sont les actions judiciaires contre Fauci, portant sur le financement de recherches sur les gains de fonction, interdites aux USA, qui auraient été effectuées à Wuhan, financées par le biais de sociétés écrans ? Serait-ce un rideau de fumée couvrant les labos bio-militaires secrets disséminés sur les bordures de la Russie et de la Chine ? Ah oui, la version B a, elle aussi, des fonctions multiples !
      Mais ces gains de fonctions ne sont-ils pas le fond des très volumineux brevets déposés par ModeRna (Acronyme de Modified RNA) dès 2012, qui couvrent ces codons que l’on retrouve chez l’Homme mais dans aucun génome viral ? Gain de fonction traduit par une augmentation d’infectiosité en ciblant un récepteur omniprésent dans les tissus, le récepteur Angiotensine II ? Vaccin ou proto-virus synthétique ?
      En bref, le P4 de Wuhan est-il une source coupable ou la victime d’une manipulation proprement diabolique ?
      Mais c’est certain, ces questions n’ont aucun intérêt, tout est bien plus simple. Vilains Chinois qui mangent des pangolins cobayes de labos ! Et la Marmotte….

  10. Philippe dit :

    Comme souvent dans ce genre d’analyse qui se veut « parfaite », l’auteur cherche davantage à mettre un sens au chaos du monde (un sens qui va dans le sien, bien sûr), qu’à analyser objectivement les faits. Les acteurs de la géopolitique actuelle ne sont pas des êtres infaillibles. Néanmoins, il y a effectivement, à mon sens, une nouvelle guerre qui ne dit pas son nom entre les mondialistes occidentaux et les autres, qui sont loin de former un bloc efficace pour l’instant, mais qui ont pour eux le nombre et l’énergie -dans tous les sens du terme. L’intérêt de la France et des Européens passe évidemment par plus de souveraineté et moins de soumission, et une diplomatie plus équilibrée qu’aujourd’hui.

  11. Abadie Marc dit :

    On est d’accord mais le problème ici c’est que le régime Russe est celui de Putin qui est un criminel, mafieux, qui ne respecte rien. Quel crédit peut-on lui porter. Ce pays est très riche (gaz, pétrole, métaux précieux, et) mais en dehors de Moscou, St Pétersbourg et quelques autres villes, la population vit dans la pauvreté, loin de nos standards. Les richesses sont accaparées par Putin et ses copains maffieux. Les pratiques sont celles de l’Union Soviétique (assassinats, déplacement de population, justice, presse, etc). Juste un exemple, celui du vol des enfants d’Ukraine à qui on change l’histoire familiale en fait un criminel de guerre et un crime contre l’humanité !!

    • MadeInCH dit :

      Le vol des enfants:
      Faux!!
      .
      Evacuations d’enfants d’une zone menacée de bombardements.
      .
      Les ukrainiens ont aussi évacués des enfants.
      .
      Ici, c’est simplement des gens qui se sont dit: « Il faut trouver un truc! Et si on déformait cette réalité pour accuser Poutine d’enlèvments d’enfants? »
      .
      Pour le « bien-vivre » de la population, je ne sais pas… J’entends des trucs très contradictoires de personnes diverses.

    • Henri dit :

      Mafieux ? Criminel ? Comment appelez-vous un pays où l’on a trucidé des ministres comme Boulin, Fontanet, un juge comme Renaud, des députés comme Jean de Broglie et Yann Piat ? sans compter les accidents bizarres comme celui de Barouin, ou les cinq défenestrations des frégates de Taï Wan. Si la Russie est dirigée par un mafieux, quel crédit peut-on porter à cette Vème République poutinienne ?

    • Paul Hemiste dit :

      Que connaissez vous de la Russie et de l’Ukraine pour avoir de telles certitudes ? Avez-vous pénétré une fois de votre vie dans des toilettes publiques ukrainiennes ? Faites cette expérience inénarrable et inoubliable, on reparlera après du développement de ces pays… MdR !

    • Paul Hemiste dit :

      Pour votre gouverne, la dame procureur ukrainienne chargée de ce dossier d’enlèvements d’enfants a été limogée par son gouvernement, pour la simple raison qu’elle a été incapable de fournir la moindre preuve à ces allégations, ce qui a discrédité totalement cette propagande grossière.

  12. mouchet dit :

    Excellent article géopolitique qui décrit la situation mondiale de deux mondes l’un voulant la suprématie, l’autre voulant rester indépendant. Alors pourquoi certains veulent dominer comme certaines hommes veulent dominer la femme ? La réponse vient du plus profond aspect physiologique venant du règne végétal minéral ou animal. Psychologique, sociologique, éducatif, social, de la prise de conscience de la vie de chaque être humain en relation avec le nombre et les masses des populations manipulées, les différentes religions qui se veulent supérieures, donc le partage qui n’est pas accepté par tous. Nos deux premières guerres mondiales furent le conflit social des années 1900 et la seconde guerre mondiale celle de la suprématie des uns sur les autres par des obédiences associée avec la guerre des énergies. Conclusion : Pourquoi nos lointains cousins européens déshérités, pauvres colons des USA, ont tout d’abord exterminé 10 millions d’amérindiens puis leur guerre de sécession, pour ensuite vouloir conquérir le monde comme Hitler en son temps ? L’espèce humaine est ainsi manipulatrice et destructrice pour le pouvoir. Tous les dirigeants actuels acceptent l’idée d’extraterrestres, mais se demandent pourquoi cette civilisation refusent de dialoguer ? Le film Russe « Attraction » le mentionne bien dans ses 5 dernières minutes. L’observation qui dure depuis des millénaires a fait le constat de notre agressivité et de notre clonage imparfait. Un peu comme si nous nous approchons mieux d’une fourmilière que d’un nid de frelons agressifs. En conclusion le plus effarant c’est que nous sommes toutes et tous conscients de la situation d’exploiter autrui pour le confort mais ne voyons pas l’effondrement derrière nous. Monsieur Poutine est un grand homme qui a su entrevoir l’occident machiavélique par son obscurantisme du pouvoir.

  13. Toto dit :

    Et donc, on vote pour qui en 2027?

    • mouchet dit :

      Pour le parti politique rassemblant le peuple de France sous la bannière la France et sa population d’abord les autres ensuite. Donc le rassemblement national semble le plus adapté pour arrêter cette chienlit comme le citait le Général de Gaulle, la faillite du pays avec plus de 4’500 milliards de dettes en comprenant tout, déficits budgétaires pertes reportées etc..Education nationale et hôpitaux dans un état lamentable trop d’élus trop bien payés, afin qu’ils obéissent au 49-3, trop de taxes nous sommes les 1ers au monde, secret défense sur l’épidémie à détruire tout de suite, loi militaire scélérate à changer et arrêter d’être sous le dictat des USA et de l’Europe en créant une Europe Fédérale dans des pays fédéraux jusqu’à l’Oural. Voter donc selon votre conscience et la réalité économique du pays.

      • Paul Hemiste dit :

        Mouais… Mais la position de Monsieur Bardella sur le conflit ne semble pas montrer un niveau de clairvoyance nécessaire à un Chef d’État, ni le courage de dire « non », ni l’existence de conseillers connaissant l’histoire.

        Cette fois, c’est un peu trop de « naïveté ». Le vote « utile » dit « patriote », on a déjà donné fidèlement depuis Maastricht, et c’était pas pour entendre un écho de la Bien-Pensée orwellienne. Ciao, Jordan…

  14. Paul Hemiste dit :

    Excellente analyse. Hitler aussi a été vaincu par le manque de pétrole, incapable de synthétiser les quantités requises par son offensive à l’est, et aussi de l’essence à haut indice d’octane indispensable pour des moteurs d’avions à haute performance. C’est la nécessité de s’accaparer les puits de Bakou qui l’a forcé à s’avancer vers le Caucase, et donc l’obligeait à neutraliser Stalingrad qui ne pouvait rester sur les arrières de son offensive. Et ce fut le début de la fin d’un Reich dont certains sont nostalgiques.

  15. Paul Hemiste dit :

    Quelques remarques sur les conclusions de l’auteur :

    Les Russes ont annoncé dès le début le but de « l’opération spéciale » : la dénazification et la démilitarisation de l’Ukraine. Non pas par caprice, mais pour garantir la sécurité de leur pays, mais aussi de l’Europe, en prévenant la possibilité d’une attaque surprise qui laisserait moins de 5 minutes avant la destruction des grandes villes par les missiles hypersoniques manœuvrant que les occidentaux finiront bien un jour par produire, puisque eux les possèdent déjà. Prévenir de passer du piège de Thucydide à MAD (Destruction Mutuelle Assurée !), car nous n’en sommes plus au feu grégeois ni aux miroirs d’Archimède.

    Démilitarisation, donc, sur l’ensemble du territoire ukrainien, alors que l’occident y pratique une escalade de technique militaire dont les résultats feraient arrêter le jeu par tout dirigeant sensé.

    Dénazification, car la propagande folle a généré une haine hystérique de tout ce qui est russe ou apparenté, déclarant que les gens du Donbass ne sont pas des hommes et qu’on peut les bombarder, faire vivre leurs enfants dans les caves, puis brûlant une dizaine de millions de livres des bibliothèques publiques et privées, détruisant les statues de ce pauvre Pouchkine et d’autres, et aveuglant les réfugiés bien à l’abri en UE en leur faisant vouloir la poursuite du conflit, quitte à ne pas pouvoir comprendre que leur pays est sacrifié sur l’autel de Bandera, agent de la Gestapo dès 1933, auxiliaire encombrant des Einzatsgruppen, employé de Radio Free Europe à Munich de 45 à son exécution par le NKVD en 56, héros national du régime actuel.

    Ces deux buts et ces deux problèmes sont ceux d’une guerre civile (et religieuse avec la pseudo église néo-formée), ce qui explique que le conflit doive durer pour détruire l’armée du régime de Lvov installé à Kiev par Nuland. Poutine a retourné la situation en utilisant les bastions-forteresses créés pour isoler et bombarder le Donbass depuis 2014, comme Artemiosk-Bakmout, les transformant en points de fixation et d’usure, comme le fut Verdun. Mais l’irrédentisme entretenu par les occidentaux ne peut déboucher que sur la nécessité de poursuivre la démilitarisation, peut-être jusqu’à la situation d’avant la dislocation de l’URSS, c’est à dire la neutralisation de la bordure ouest, maintenant étendue de la Finlande à la Bulgarie, couvrant le feu bloc du Pacte de Varsovie, qui, il faut le rappeler, n’a été créé que 6 ans après l’OTAN…
    Nier l’échec de l’annexion de l’Ukraine à l’OTAN en en faisant depuis 1945 un bélier contre la Russie, menacer de transformer cette manipulation politique en conflit généralisé qui renverra l’Europe occidentale avant le néolithique, n’est ce pas une folie furieuse que les européens vont être les premiers à payer ?

    Ou est-il encore temps de renverser la table et de rompre une sujétion suicidaire ?

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