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L’indifférence des autorités face au massacre de jeunes Français : le tragique assasinat de Nicolas, 22 ans.

Une nouvelle tragédie frappe la jeunesse française, cette fois en Ardèche, où Nicolas, un rugbyman de 22 ans, a perdu la vie après avoir été grièvement blessé par balle devant une discothèque à Saint-Péray. Cet acte de violence gratuite vient s’ajouter à une longue série de drames similaires, tous témoins d’une insécurité galopante que les autorités semblent incapables de freiner. Pire encore, elles cherchent à réprimer les voix qui tentent de rendre hommage à ces victimes, laissant un sentiment d’indifférence s’installer face au chaos ambiant.

Une violence qui frappe de plein fouet

La nuit du 1er novembre 2024, aux abords de la discothèque « Le Seven » de Saint-Péray, a viré au cauchemar. Vers 2h30, alors que l’établissement accueillait des centaines de fêtards venus célébrer Halloween, un homme cagoulé a ouvert le feu, blessant trois personnes. Nicolas, touché d’une balle en pleine tête, a succombé à ses blessures quelques heures plus tard. La violence aveugle qui frappe au hasard n’a épargné ni lui, ni ses amis, qui ont dû se mettre à l’abri pour échapper à la pluie de balles.

Ce drame résonne douloureusement avec celui de Thomas, un autre jeune rugbyman tué dans des circonstances tout aussi brutales l’an dernier lors d’un bal à Crépol. Les deux jeunes hommes, qui appartenaient au même club, le Rugby Club Romans-Péage (RCRP), sont devenus malgré eux les symboles d’une jeunesse sacrifiée, confrontée à une montée inexorable de la violence.

La gestion des hommages, un silence assourdissant des autorités

Face à cette série de tragédies, l’indignation gronde. Les autorités, pourtant attendues pour rassurer et agir, paraissent étrangement silencieuses, voire hostiles à l’idée de permettre des manifestations d’hommage. Récemment, des tentatives pour organiser des rassemblements commémoratifs ont même été entravées, créant une incompréhension et un sentiment d’abandon parmi les familles et proches des victimes. Cette inertie institutionnelle est interprétée par beaucoup comme une approbation tacite de l’anarchie régnante, un message alarmant pour ceux qui voient leur sécurité se détériorer.

L’inaction face à l’ultraviolence

Les appels à renforcer les dispositifs de sécurité et à imposer un cadre législatif plus strict n’ont cessé d’émaner des élus locaux et des familles endeuillées, mais en vain. Bruno Retailleau, ministre de l’Intérieur, a lui-même reconnu « la nécessité d’un réarmement législatif » face à cette « ultraviolence » qui gangrène le quotidien. Toutefois, ces paroles, sans répercussions tangibles, se vident de leur sens à mesure que les crimes violents se multiplient. Le spectre d’un manque de volonté politique se profile, laissant les citoyens démunis face à la prolifération des armes et des règlements de comptes, souvent liés au trafic de stupéfiants.

Comme l’a souligné Denis Iglesias, secrétaire national adjoint du syndicat Alliance dans la Drôme, « il y a désormais des armes à feu à tous les coins de rue ». Cette présence accrue d’armes, bien souvent issues du narcotrafic, ajoute un niveau de dangerosité supplémentaire à une société déjà fragilisée par une criminalité en hausse. Dans ce climat où l’insécurité devient la norme, des jeunes comme Nicolas et Thomas en paient le prix fort, tandis que les responsables peinent à déployer les moyens nécessaires pour enrayer cette spirale infernale.

Devant l’inaction, les appels à une justice renforcée et à une responsabilité accrue des dirigeants politiques se font pressants. La population ne demande rien d’autre que de vivre en paix, de pouvoir profiter de sorties nocturnes sans craindre de ne pas rentrer. Les familles de ces jeunes disparus attendent des réponses, des actions et une réelle prise en compte de leur désarroi. Un simple hommage ne suffit plus : il est temps que ceux qui nous gouvernent rendent des comptes sur la protection des citoyens. Sinon demain, si plus rien ne lie l’Etat aux citoyens dont il n’assure plus la sécurité, alors ils se mettront à faire justice eux mêmes, c’est irrémédiable, car aucun père de famille, aucune mère, aucun ami, ne peut accepter très longtemps de voir les siens mourir devant la passivité des autorités, sans riposter.

YV

Photo  d’illustration : DR
[cc] Breizh-info.com, 2024, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine

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7 réponses à “L’indifférence des autorités face au massacre de jeunes Français : le tragique assasinat de Nicolas, 22 ans.”

  1. Bran ruz dit :

    Bientôt les citoyens de ce pays envisagerons de répondre à cette violence par leurs propres moyens. La police ne pouvant être présente partout et à tous moments sur le territoire, la création de milices d’autodéfense doit être à l’ordre du jour. Refusons de devenir les victimes expiatoires de ces voyous qui pour beaucoup n’ont rien à faire sur notre sol .

  2. Ronan dit :

    Allo Ween Salud d’un breton en colère dénommé Ronan ; Oui allo Ronan que puis- je pour vous ? « Encore une sale affaire Nicolas tué au lendemain de ta fête. Ween répond «  j’ai rien fait ce n’est pas moi cette personne est un bagarreur satanique sûrement . Réponse de Ronan désarmé amer : « mais c’est jamais personne qui avoue ses péchés devant Dieu alors et qui demande notre pardon ma doué et être condamné à de la tôle ou aller casser des cailloux ( travaux d’intérêt général / TIG)ou s’il est étranger à se casser tout de suite de notre pays » ouf colère exprimée comme ça comme hier pour le fait des voitures brûlées dans le 22. Kenavo

  3. gautier dit :

    Il ne reste qu’une seule solution à la France, et ce n’est pas de gaité de cour que je dis cela, mettre dans les ports des bateaux à destination, et donner pouvoir à l’armée pour nettoyer les arrondissements et les villes des racailles, qui tuent des innocents, abrutissent les gens avec leur drogue ! qui ne reconnaissent pas la France, pour les étrangers respectueux des règles ils n’en seront que les premiers bénéficiaires avec les Français, ils l’ont fait à la France en Algérie, nous sommes chez nous !!

  4. Georges29 dit :

    Et cela ne peut que s’aggraver, car : « Pourquoi n’est-il pas interdit en France d’éduquer des enfants à tuer autrui ? » : https://ripostelaique.com/pourquoi-est-il-permis-en-france-deduquer-des-enfants-a-tuer-autrui.html (immigration musulmane …)

  5. kaélig dit :

    Il était jeune , beau, intelligent, avait tout l’avenir devant lui…Une insulte pour la Mer…e qui l’a dégommé.

  6. Obstinate944 dit :

    Quand je pense au chaos qui a embrasé tout le pays d’usure à la neutralisation d’une crapule nommée Nahël !

  7. patphil dit :

    un jeune français tué par une racaille! bof, habituel, pas même de fleurs rien du côté de macron pourtant prompt dans d’autres circonstance (affaire nael par exemple où le gendarme avait été fermement dégommé )

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